À venir 4
28 juin à 18h30
Lectures et discussion à "l'heure du yoga" avec 
Vidya Gastaldon autour de son roman Bleu Extase (art&fiction, 2025)

1994, une rave. Une jeune femme se retrouve prise dans une expérience initiatique. Elle se découvre au cœur d’un océan de perceptions.
 
À venir 5
2 août — 21 septembre 20252 August — 21 September 2025
Gina Proenza
Saga 1 (Les pains)

à Treignac Projet (Corrèze)
 
À venir 6
26 septembre — 22 novembre 202526 September — 22 November 2025
Gina Proenza
Saga 2 (Les loups)
 
À venir 7
5 décembre 2025 — 28 février 20265 December 2025 — 28 February 2026
Simon Dybbroe Møller
proposé par Benoît Lamy de la Chapelle

1 rue Louis Vitet — Lyon

Mercredi-Samedi, 15h-19h

    05/2025 Ute Müller Entre-deux
    FRENVuesTexte
    Entre-deux - Ute Müller
    Entre-deux - Ute Müller
    Entre-deux - Ute Müller
    Entre-deux - Ute Müller
    Entre-deux - Ute Müller
    Entre-deux - Ute Müller
    Entre-deux - Ute Müller
    Entre-deux - Ute Müller
    Entre-deux - Ute Müller
    Entre-deux - Ute Müller
    Ute Müller, Entre-deux, la Salle de bains, Lyon, 2025
    Photos : Jesús Alberto Benítez et Ute Müller
    Ute Müller, Entre-deux, la Salle de bains, Lyon, 2025
    Photos : Jesús Alberto Benítez and Ute Müller

    Entre-deux

    Du 15 mai au 12 juillet 2025From 15 May to 12 July 2025

    Ute Müller fait des peintures. Mais pas uniquement. Comme la plupart des artistes de notre temps – à part peut-être les peintres – elle réalise aussi des sculptures, des installations, des éditions, seule ou en groupe, et ne se définit pas en tant que spécialiste d’un médium. Si elle s’intéresse à la peinture pour ses qualités propres – qu’elle explore depuis de nombreuses années sur de très grands formats, dans des compositions denses et référencées –, elle s’y intéresse aussi en tant que média. En effet, l’artiste se pose la question de ce qui transite par la peinture pour atteindre celui ou celle qui la regarde : quelle quantité d’information est reçue (sachant qu’elle est souvent bien supérieure à la quantité émise) et quelle relation cela engage ; en somme : que se passe-t-il dans cette situation conventionnelle, quand une peinture se présente aux (deux) yeux des spectateur·ices, c’est-à-dire au moment de leur exposition?
     

    À première vue, la problématique est soulevée on ne peut plus directement par les nouvelles œuvres présentées à la Salle de bains. En passant de l’une à l’autre, on notera qu’en plus de figurer des yeux pour nous parler du regard, elles amènent le sujet de l’apparition et de la disparition par un effet de littéralité tout aussi caricatural, compris dans la matière même de la peinture : un tissu technique conçu pour être visible dans le noir.
     

    L’on sait pourtant que la tautologie, en tant que mantra du modernisme – comme la formule trop souvent citée de Frank Stella, « Ce que vous voyez est ce que vous voyez » –, a été source de discorde et de malentendu. Elle est comme court-circuitée par ces diptyques miniatures où, à force de repousser le regard à la surface du tableau, cette fois, c’est la peinture qui nous observe.
     

    Le caractère comique de la série une fois surnommée Hooked and Crooked (crochu et tordu) par l’artiste semble mettre à distance cet héritage du minimalisme, auquel se réfère la palette de gris et de teintes “neutres” chez Ute Müller, laquelle est employée ici pour donner vie à des paires d’yeux expressifs. Cette note d’humour semble au moins prévenir les écueils de l’esprit de sérieux, qui a reconquis une partie de la peinture contemporaine revendiquant son formalisme. D’un autre côté, elle ironise sur une tendance à rendre tout explicite, de peur de compromettre la relation avec le public. C’est pourquoi l’on fait tant parler les œuvres : une véritable industrie du doublage.
     

    D’ailleurs, ces personnifications de la peinture post-médium, sous les traits du cartoon ne sont pas dotées de bouches. Ce sont ces yeux flottant dans l’écran noir qui, dans le langage du dessin animé depuis ses origines (ou presque), signifient une présence cachée dans l’obscurité, et qui, si elle n’est pas menaçante (comme les souris qui surveillent le chat Sylvestre dans la- maison hantée 1), est prise dans un état de confusion ou de solitude, voire de promiscuité gênante quand plusieurs paires d’yeux se trouvent coincées dans un placard. On laissera éventuellement les visiteur·euses transposer cela à leur situation.
     

    Le titre Entre-deux pourrait alors inviter à accueillir le vacillement comme condition propice à l’expérience esthétique, qui promet ici le plus de réflexion (au sens propre comme figuré) dans l’intervalle entre les tableaux, engageant les corps des spectateur·ices dans un mouvement cinématique à l’intérieur de l’espace d’exposition. La locution qualifie aussi l’indétermination de ces objets : tableaux à peine peints qui deviennent sculptures et figures par leur système d’accroche, renvoyant à tous les autres éléments qui conditionnent leur mise en vue – le mur, l’éclairage, le sol gris “neutre”.

    Ute Müller makes paintings. But not only that. Like most artists today – except for painters maybe – she also produces sculpture, does installations, and publishes, either alone or in a group, and cannot be pinned down as a specialist in any one medium. While she is keen on painting for its intrinsic qualities – which she has explored for many years in very large format canvases and dense multi-referential compositions – Müller is interested in those things as media. And indeed the artist wonders what it is that painting conveys to the person looking at it. What quantity of information is picked up (given that it is often more than the quantity emitted) and what sort of relationship that initiates. In a word, what happens in this conventional situation when a painting is shown to the (two) eyes of viewers, that is, at the moment they are exposed to the piece? 
     

    At first glance, the problematic is raised as directly as possible by the new works on view at La Salle de bains. Moving from one piece to next you notice they not only represent eyes that are meant to say something to us about the gaze, they also raise the concept of appearance and disappearance thanks to an effect of literalness that is just as much a caricature as well, since the effect is grounded in the very materials making up the painting. The pictures use a so-called technical fabric, one that is designed to be visible in the dark.
     

    It’s widely known that the tautology “What you see is what you see,” a mantra of modernism in the overly quoted form coined by Frank Stella, has been a source of disagreement and misunderstanding. It seems to be short-circuited by these miniature diptychs where the painting pushes the eye back to the surface of the picture and this time it is the painting that is observing us.
     

    The comic nature of the series, which the artist once dubbed Hooked and Crooked, seems to distance the legacy of minimalism, which Müller’s gray palette and “neutral” tones reference. Here it’s used to bring to life expressive pairs of eyes. This touch of humor seems at least to warn us of the pitfalls of the serious mind, which has recaptured part of contemporary painting staking its claim in formalism. On the other hand, she is poking fun at a tendency among artists to make everything obvious for fear of compromising their connection with the audience. It’s why they make artworks speak out so much, a veritable dubbing industry.
     

    Moreover, these personifications of post-medium painting, depicted as cartoon figures, have not been given mouths. In the idiom of animation going back to its roots (or nearly), those eyes floating in the dark of the blank screen have meant there is a presence hiding in the dark. And if that presence is not threatening (like the mice keeping a sharp eye out for Sylvester the cat in the haunted house1), it is caught in a state of confusion or solitude, even embarrassing promiscuity when several pairs of eyes find themselves jammed together in a closet. Visitors are free to transpose this to their own situation.
     

    The title Entre-deux might also encompass then the idea of faltering or wavering as a condition that favors aesthetic experience. This promises the greatest degree of reflection (literally and figuratively) in the interval between paintings, involving viewers’ bodies in a cinematic movement inside the exhibition venue. The expression also describes the indeterminism of these objects. They are barely painted pictures that become sculptures and figures through the hanging system they employ, pointing us to all the other elements that determine their display – wall, lighting, “neutral” gray floor. 

    1-  Warner Bros. Claws for Alarm, 1954

     
    1-  Warner Bros. Claws for Alarm, 1954

    Translation : John O'Toole

    Liste des œuvres :
    List of works :

    Untitled (série), 2024-2025
    Gouache sur toile réfléchissante, bois, métal, 28 x 40 x 2cm

    Untitled (series), 2024-2025
    Gouache on reflective cloth, wood, metal, 28 x 40 x 2cm
    Ute Müller, Entre-deux
    Entre-deux, 2025
    Affiche
    Ute Müller (née en 1978) vit et travaille à Vienne (Autriche). Elle a étudié à l’université des arts appliqués de Vienne, et au Royal College of Art de Londres. Son travail à été récemment exposé à la Fondation CAB, St. Paul de Vence en 2023, à Komagome SOKO, Tokyo en 2022, à Beige, Bruxelles en 2021, au mumok - Museum Moderner Kunst Stiftung Ludwig, Vienne en 2018. Elle a publié avec Christoph Meier et Nick Oberthaler le fanzine BLACK PAGES (2009-2022, 100 numéros). Elle a aussi pris part au projet de réinterprétation de l'American Bar d'Adolf Loos (avec Christoph Meier, Robert Schwarz et Lukas Stopczynski), une sculpture sociale et activable. Elle est actuellement en résidence au WIELS à Bruxelles.
    Ute Müller (born 1978) lives and works in Vienna (Austria). She has studied at the University of Applied Arts Vienna and the Royal College of Art in London. Recent shows featuring her work include the Fondation CAB, St. Paul de Vence, 2023; Komagome SOKO, Tokyo, 2022; Beige, Brussels, 2021; and mumok - Museum Moderner Kunst Stiftung Ludwig, Vienna, 2018. From 2009 to 2020, she published with Christoph Meier and Nick Oberthaler, a fanzine called BLACK PAGES (2009-2022, 100 issues). She also took part in a project to reinterpret Adolf Loos’s American Bar (with Christoph Meier, Robert Schwarz, and Lukas Stopczynski), an activatable social sculpture. She is currently doing an art residency at WIELS, Brussels.

    La Salle de bains reçoit le soutien du Ministère de la Culture DRAC Auvergne-Rhône-Alpes, de la région Auvergne-Rhône-Alpes Region et de la ville de Lyon.
     

    Ce projet est soutenu par le ministère fédéral de l’habitat, de la culture, des médias et du sport de la République d’Autriche ainsi que de Bildrecht.
     

    La Sallede bains est membre des réseaux Adèle et ACRA
    Ute Müller, Entre-deux
    Ute Müller, Entre-deux
    Ute Müller, Entre-deux
    Ute Müller, Entre-deux
    Ute Müller, Entre-deux
    Ute Müller, Entre-deux
    Ute Müller, Entre-deux
    Ute Müller, Entre-deux
    Ute Müller, Entre-deux
    Ute Müller, Entre-deux

    La Salle de bains

    1 rue Louis Vitet,

    69001 Lyon, France

    Ouverture

    du mercredi au samedi

    de 15h à 19h

    La Salle de Bains reçoit le soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, de la Ville de Lyon et du Ministère de la Culture - DRAC Auvergne-Rhône-Alpes.

    Elle est membre des réseaux AC//RA et ADELE.

    La Salle de bains est une association loi 1901 fondée par Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot en 1998 à Lyon.

    Les activités de La Salle de bains reposent sur la production d’œuvres, d’expositions, d’éditions d’artistes contemporains nationaux et internationaux de générations différentes, et d’événements liés de manière transversale à la programmation annuelle du lieu.

    La Salle de bains assure l’accès et l’accompagnement de cette programmation auprès de divers types de publics issus de son territoire d’implantation.

    Elle travaille au développement de réseaux et à la conception de projets.

    En 2008, la structure a déménagé du 56 de la rue Saint-Jean, située dans le centre historique de Lyon (5e arrondissement), au 27 de la rue Burdeau (1er arrondissement) sur les pentes de la Croix-Rousse.
    En 2016, La Salle de bains se déplace au 1 rue Louis Vitet dans le 1er arrondissement de Lyon. L’espace se propose comme un lieu de convergence et de redéploiement d’une activité élargie hors du cadre de l’exposition.


    La direction artistique a successivement été confiée aux personnes suivantes :

    • 2025 : Julie Portier
    • 2024 : Pierre-Olivier Arnaud, Nadine Droste, Julie Portier
    • 2017 – 2023 : Pierre-Olivier Arnaud et Julie Portier
    • 2016 – 2017 : Armando Andrade Tudela, Elsa Audouin, Pierre-Olivier Arnaud, Magalie Meunier, Julie Portier
    • 2013 – 2016 : Caroline Soyez-Petithomme
    • 2009 – 2013 : Caroline Soyez-Petithomme et Jill Gasparina
    • 2004 – 2008 : Olivier Vadrot et Vincent Pécoil
    • 2002 – 2003 : Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot
    • 1999 – 2001 : Olivier Vadrot, Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue

    Crédits — Mentions légales

    Crédits

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