À venir 4
28 juin à 18h30
Lectures et discussion à "l'heure du yoga" avec 
Vidya Gastaldon autour de son roman Bleu Extase (art&fiction, 2025)

1994, une rave. Une jeune femme se retrouve prise dans une expérience initiatique. Elle se découvre au cœur d’un océan de perceptions.
 
À venir 5
2 août — 21 septembre 20252 August — 21 September 2025
Gina Proenza
Saga 1 (Les pains)

à Treignac Projet (Corrèze)
 
À venir 6
26 septembre — 22 novembre 202526 September — 22 November 2025
Gina Proenza
Saga 2 (Les loups)
 
À venir 7
5 décembre 2025 — 28 février 20265 December 2025 — 28 February 2026
Simon Dybbroe Møller
proposé par Benoît Lamy de la Chapelle

1 rue Louis Vitet — Lyon

Mercredi-Samedi, 15h-19h

    09/2000 Sylvie Sepic Sous-Marine
    FRENVuesTexte
    Sous-Marine - Sylvie Sepic
    Sous-Marine - Sylvie Sepic
    Sous-Marine - Sylvie Sepic
    Sous-Marine - Sylvie Sepic

    Sous-Marine

    Du 27 septembre au 28 octobre 2000From 27 September to 28 October 2000
    Sylvie Sepic produit des œuvres qui interrogent de manière ludique et incisive les conditions de production des images. On peut distinguer d’une part une analyse des stéréotypes et d’autre part une mise en scène de l’imaginaire. Alors que les clichés comportementaux sont dévoilés à travers l’usage détourné d’objets quotidiens dans une série de vidéos produites entre 1996 et 2000, sa nouvelle pièce Sous-Marine conçue pour La Salle de Bains nous plonge dans une expérience esthétique originale. La dizaine de courtes bandes vidéo réalisées présente des actions apparemment banales dans leur simplicité mais poussées jusqu’à l’absurde.

    Elles sont toutes Sans titre avec… et déclinent un impressionnant cortège d’opérations à réaliser avec les objets qui nous entourent. Partant souvent d’une incongruité – comme un savon laissé dans une ambiance humide qui semble produire des “poils cristallins” – constatée dans son environnement proche, Sylvie Sepic sait percevoir et magnifier celle-ci jusqu’au comique.

    La platitude apparente de ses descriptifs (“Ma bouche lèche le cul d’une bouteille filmée par son goulot”, 1’13”, “J’use la gomme en la frottant sur la silhouette de mon corps”, 6’ ou “Je fais fondre avec mon haleine un nounours en glaçon”, 7’09”) révèle toute la dimension ironique de ces films. En fait, nous sommes piégés comme spectateurs-voyeurs d’actions pas si innocentes en pour ce qu’elles suscitent dans notre inconscient. Par exemple dans “Sans titre avec savon”, 2’30”, un homme et une femme se font face. Entre eux, un petit canard qu’ils maintiennent avec les lèvres et qu’ils vont sucer jusqu’à ce qu’il fonde sous l’action de la salive et tombe. Ce qui part comme une entreprise ludique et joyeuse évoque dans la durée à la fois la souffrance, lorsque l’on pense qu’il s’agit de savon et d’autre part l’insatisfaction d’un geste qui n’est pas un baiser. Le procédé de la mise en boucle accentue le mal aise et renvoie à l’échec de la rencontre qui n’aboutit pas. Pourtant il n’y a pas de pathos ou de douleur dans les vidéos de Sylvie Sepic, en cela elle s’éloigne de l’art corporel des années 1970-80 d’Abramovic et Ulay par exemple. Il ne s’agit pas d’une tentative d’épuisement. C’est plutôt dans l’ambiguïté du jeu et la suspension d’un état “entre-deux” que s’affirme la dualité du statut du corps. Ramené à un état d’ustensile, il est une machinerie à astiquer, mettre en branle ou porter. C’est l’égalité corps-objet qui est troublante. Ainsi l’homme dansant sur un socle de savon de Soap-solo, 1997, 2’30”, est pathétique dans sa recherche de stabilité même. Projetée à échelle un, l’œuvre évoque le format de la peinture d’histoire représentant des figures héroïques. Le fond sonore est issu des musiques de western mais c’est un homme nu qui danse tentant de maintenir une érection. Les figures qu’il dessine évoquent la statuaire antique mais toute la mise en scène met à bas ces références et nous maintient dans un présent perpétuel. Comme si la modernité de Sysiphe se résolvait dans une volonté de bandaison éternelle. Ce qui nous fait réfléchir sur les stéréotypes idéaux de jeunesse et d’apparence lisse que la société se construit.

    On retrouve la dualité et la création d’une ambiance sonore paradoxale dans la nouvelle installation de Sylvie Sepic Sous-Marine. Un bruit aquatique émane de l’espace d’exposition. Nous sommes invités à pénétrer la galerie plongée dans l’obscurité. Tandis que l’œil s’accoutume à la pénombre, on distingue des petits rais de lumière venant du fond de la pièce. Notre système de perception s’acclimate et l’on réalise que le scintillement lumineux réagit aux vibrations sonores. La post-synchronisation accentue l’étrangeté de l’ambiance. À la fois relaxante par sa répétition et inquiétante parce que sa source reste cachée, cette musique évoque les cavités rocheuses envahies par le ressac.

    Instinctivement guidé vers la lumière, le spectateur se dirige vers la cour où il est ébloui par l’intensité des spots dirigés vers lui. Déstabilisé, il recule et retourne vers l’obscurité connue ou bien peu contourner les éclairages et appréhender le système auquel il a été soumis. Métaphore hypnotique du passage de spectateur à acteur, Sous-Marine possède une forte dimension esthétique qui se mesure à la distance de regard de chacun. Elle joue aussi sur la frustration et l’impossibilité d’être à la fois dehors et dedans, sujet et objet. Ou peut-être est-ce encore la tentative de maintient d’un équilibre précaire entre la surface et la profondeur ? C’est aussi bien sûr une allégorie de l’origine, du mystère de la grotte ou simplement des racines d’une artiste vers les rivages de la Croatie (où les sons ont été enregistrés) et vers la peinture.

    Sylvie Sepic questionne là le statut de la représentation sans nostalgie. Le passage de l’ambiance à l’image mentale qu’elle produit est sans cesse réactivée. En cela elle trouve un mode de fabrication du réel qui prolonge l’imaginaire entre profondeur et surface : fluide.

    Marie de Brugerolle
    Sylvie Sepic produit des œuvres qui interrogent de manière ludique et incisive les conditions de production des images. On peut distinguer d’une part une analyse des stéréotypes et d’autre part une mise en scène de l’imaginaire. Alors que les clichés comportementaux sont dévoilés à travers l’usage détourné d’objets quotidiens dans une série de vidéos produites entre 1996 et 2000, sa nouvelle pièce Sous-Marine conçue pour La Salle de Bains nous plonge dans une expérience esthétique originale. La dizaine de courtes bandes vidéo réalisées présente des actions apparemment banales dans leur simplicité mais poussées jusqu’à l’absurde.

    Elles sont toutes Sans titre avec… et déclinent un impressionnant cortège d’opérations à réaliser avec les objets qui nous entourent. Partant souvent d’une incongruité – comme un savon laissé dans une ambiance humide qui semble produire des “poils cristallins” – constatée dans son environnement proche, Sylvie Sepic sait percevoir et magnifier celle-ci jusqu’au comique.

    La platitude apparente de ses descriptifs (“Ma bouche lèche le cul d’une bouteille filmée par son goulot”, 1’13”, “J’use la gomme en la frottant sur la silhouette de mon corps”, 6’ ou “Je fais fondre avec mon haleine un nounours en glaçon”, 7’09”) révèle toute la dimension ironique de ces films. En fait, nous sommes piégés comme spectateurs-voyeurs d’actions pas si innocentes en pour ce qu’elles suscitent dans notre inconscient. Par exemple dans “Sans titre avec savon”, 2’30”, un homme et une femme se font face. Entre eux, un petit canard qu’ils maintiennent avec les lèvres et qu’ils vont sucer jusqu’à ce qu’il fonde sous l’action de la salive et tombe. Ce qui part comme une entreprise ludique et joyeuse évoque dans la durée à la fois la souffrance, lorsque l’on pense qu’il s’agit de savon et d’autre part l’insatisfaction d’un geste qui n’est pas un baiser. Le procédé de la mise en boucle accentue le mal aise et renvoie à l’échec de la rencontre qui n’aboutit pas. Pourtant il n’y a pas de pathos ou de douleur dans les vidéos de Sylvie Sepic, en cela elle s’éloigne de l’art corporel des années 1970-80 d’Abramovic et Ulay par exemple. Il ne s’agit pas d’une tentative d’épuisement. C’est plutôt dans l’ambiguïté du jeu et la suspension d’un état “entre-deux” que s’affirme la dualité du statut du corps. Ramené à un état d’ustensile, il est une machinerie à astiquer, mettre en branle ou porter. C’est l’égalité corps-objet qui est troublante. Ainsi l’homme dansant sur un socle de savon de Soap-solo, 1997, 2’30”, est pathétique dans sa recherche de stabilité même. Projetée à échelle un, l’œuvre évoque le format de la peinture d’histoire représentant des figures héroïques. Le fond sonore est issu des musiques de western mais c’est un homme nu qui danse tentant de maintenir une érection. Les figures qu’il dessine évoquent la statuaire antique mais toute la mise en scène met à bas ces références et nous maintient dans un présent perpétuel. Comme si la modernité de Sysiphe se résolvait dans une volonté de bandaison éternelle. Ce qui nous fait réfléchir sur les stéréotypes idéaux de jeunesse et d’apparence lisse que la société se construit.

    On retrouve la dualité et la création d’une ambiance sonore paradoxale dans la nouvelle installation de Sylvie Sepic Sous-Marine. Un bruit aquatique émane de l’espace d’exposition. Nous sommes invités à pénétrer la galerie plongée dans l’obscurité. Tandis que l’œil s’accoutume à la pénombre, on distingue des petits rais de lumière venant du fond de la pièce. Notre système de perception s’acclimate et l’on réalise que le scintillement lumineux réagit aux vibrations sonores. La post-synchronisation accentue l’étrangeté de l’ambiance. À la fois relaxante par sa répétition et inquiétante parce que sa source reste cachée, cette musique évoque les cavités rocheuses envahies par le ressac.

    Instinctivement guidé vers la lumière, le spectateur se dirige vers la cour où il est ébloui par l’intensité des spots dirigés vers lui. Déstabilisé, il recule et retourne vers l’obscurité connue ou bien peu contourner les éclairages et appréhender le système auquel il a été soumis. Métaphore hypnotique du passage de spectateur à acteur, Sous-Marine possède une forte dimension esthétique qui se mesure à la distance de regard de chacun. Elle joue aussi sur la frustration et l’impossibilité d’être à la fois dehors et dedans, sujet et objet. Ou peut-être est-ce encore la tentative de maintient d’un équilibre précaire entre la surface et la profondeur ? C’est aussi bien sûr une allégorie de l’origine, du mystère de la grotte ou simplement des racines d’une artiste vers les rivages de la Croatie (où les sons ont été enregistrés) et vers la peinture.

    Sylvie Sepic questionne là le statut de la représentation sans nostalgie. Le passage de l’ambiance à l’image mentale qu’elle produit est sans cesse réactivée. En cela elle trouve un mode de fabrication du réel qui prolonge l’imaginaire entre profondeur et surface : fluide.

    Marie de Brugerolle
    550px-Sepic1
    Sous-Marine, 2000
    Affiche
    Sylvie Sepic vit et travaille à Lyon.
    Sylvie Sepic vit et travaille à Lyon.
    550px-Sepic2
    550px-Sepic5
    550px-Sepic7
    550px-Sepic6

    La Salle de bains

    1 rue Louis Vitet,

    69001 Lyon, France

    Ouverture

    du mercredi au samedi

    de 15h à 19h

    La Salle de Bains reçoit le soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, de la Ville de Lyon et du Ministère de la Culture - DRAC Auvergne-Rhône-Alpes.

    Elle est membre des réseaux AC//RA et ADELE.

    La Salle de bains est une association loi 1901 fondée par Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot en 1998 à Lyon.

    Les activités de La Salle de bains reposent sur la production d’œuvres, d’expositions, d’éditions d’artistes contemporains nationaux et internationaux de générations différentes, et d’événements liés de manière transversale à la programmation annuelle du lieu.

    La Salle de bains assure l’accès et l’accompagnement de cette programmation auprès de divers types de publics issus de son territoire d’implantation.

    Elle travaille au développement de réseaux et à la conception de projets.

    En 2008, la structure a déménagé du 56 de la rue Saint-Jean, située dans le centre historique de Lyon (5e arrondissement), au 27 de la rue Burdeau (1er arrondissement) sur les pentes de la Croix-Rousse.
    En 2016, La Salle de bains se déplace au 1 rue Louis Vitet dans le 1er arrondissement de Lyon. L’espace se propose comme un lieu de convergence et de redéploiement d’une activité élargie hors du cadre de l’exposition.


    La direction artistique a successivement été confiée aux personnes suivantes :

    • 2025 : Julie Portier
    • 2024 : Pierre-Olivier Arnaud, Nadine Droste, Julie Portier
    • 2017 – 2023 : Pierre-Olivier Arnaud et Julie Portier
    • 2016 – 2017 : Armando Andrade Tudela, Elsa Audouin, Pierre-Olivier Arnaud, Magalie Meunier, Julie Portier
    • 2013 – 2016 : Caroline Soyez-Petithomme
    • 2009 – 2013 : Caroline Soyez-Petithomme et Jill Gasparina
    • 2004 – 2008 : Olivier Vadrot et Vincent Pécoil
    • 2002 – 2003 : Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot
    • 1999 – 2001 : Olivier Vadrot, Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue

    Crédits — Mentions légales

    Crédits

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    Design graphique : Lucie Comerro
    Programmation informatique : Samuel Diakité
    Interface : CMS Extra Backoff (Système de Gestion de Contenu initié en 2011 par Samuel Diakité)
    Font : Brut Grotesque, Bureau Brut

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