Passé 3
28 juin à 18h30
Lectures et discussion à "l'heure du yoga" avec 
Vidya Gastaldon autour de son roman Bleu Extase (art&fiction, 2025)

1994, une rave. Une jeune femme se retrouve prise dans une expérience initiatique. Elle se découvre au cœur d’un océan de perceptions.
 
À venir 5
21 juillet — 14 septembre 202521 July — 14 September 2025
été studieux
Pendant ses vacances, la Salle de bains prête son espace à
Alexandre Caretti qui y installe son atelier d'été

Restitution en septembre (date à venir)
 
À venir 6
2 août — 21 septembre 20252 August — 21 September 2025
Gina Proenza
Saga 1 (Les pains)

à Treignac Projet (Corrèze) - Vernissage le 1er août
 
À venir 7
26 septembre — 22 novembre 202526 September — 22 November 2025
Gina Proenza
Saga 2 (Les loups)

Vernissage le 25 septembre à 18h
 
À venir 8
5 décembre 2025 — 28 février 20265 December 2025 — 28 February 2026
Simon Dybbroe Møller
proposé par Benoît Lamy de la Chapelle

1 rue Louis Vitet — Lyon

Mercredi-Samedi, 15h-19h

    03/2001 Elisabeth Ballet Schluterstrasser, Berlin le matin
    FRENVuesTexte
    Schluterstrasser, Berlin le matin - Elisabeth Ballet

    Schluterstrasser, Berlin le matin

    Du 2 mars au 12 mai 2001From 2 March to 12 May 2001
    L’exposition d’Elisabeth Ballet à La Salle de bains se présente sous deux formes.

    D’une part, une installation vidéo dont le film, réalisé à Berlin en 1996, a déjà été montré au Centre National de la Photographie à Paris. La vue du film est celle d’une cour d’immeuble. Elle remplace, le temps d’une exposition, la cour de La Salle de bains en prenant sa place dans la vitrine. La bande sonore qui accompagne le film joue à l’inverse du home cinéma un son distant de l’image, celui d’une personne déambulant dans un intérieur.

    D’autre part, une photographie éditée en carte postale à 1000 exemplaires et qui fait suite encore une fois à un séjour en Allemagne, à Bonn cette fois. La photographie a été prise dans la rue et nous montre deux vélos recouverts par les liserons jaillissant d’une plate-bande. Véritable icône photographique de l’amour et de l’abandon, l’image s’est imposée d’elle même comme une carte postale.

    Valérie Parenson



    “Ce n’est pas moi qui ai eu l’idée de montrer un exhibitionniste, il est venu à moi et forcément il y a une histoire qui a commencé… L’image montre la façade d’une résidence berlinoise orientée sur cour, le mur est recouvert d’un enduit orange. Entre la vitre de mon appartement et l’immeuble que je regarde s’élève le tronc dépouillé d’un marronnier, il n’y a pas de vent, pas d’oiseaux, pas de bruit ; le film se situe au milieu de l’hiver. Il habite en face, au deuxième, un étage au-dessus du mien. Exclusivement le dimanche ou les jours fériés, un homme nu apparaît et disparaît régulièrement derrière sa fenêtre, il y reste des heures ; de temps à autre il s’éloigne de ma vue, en prenant son temps, doucement, il s’assied sur ce qui doit être son lit. L’homme a une relation muette avec moi, il se tient debout, comme sur le devant d’une scène de théâtre, rideaux fermés ; rideaux à demi clos ; rideaux largement ouverts. Je travaille au premier étage de cet immeuble qui est vide de tout autre occupant le week-end, je suis seule avec lui, j’attends, et je le filme.” - Propos recueillis par Elisabeth Lebovici.



    [PRESSE] Les Petites affiches lyonnaises, Mars 2001

    L’art est une histoire de regard. Le regard que porte l’artiste sur le monde, le monde vu par l’autre qui mate encore et toujours… Une forme qui se confond et se fond sur la toile, le volume ou l’écran, et ne prend sens que dans le parcours des yeux du spectateur. Une histoire de voyeur, avec tout ce que cela peut comporter de sous-entendu puisque, à travers ce désir inassouvi de voir, l’art ne fait que révéler la part d’interdit, une part d’obscénité, cet étrange moment où la scène dévoile le hors-scène.

    On ne peut, dit-on, contempler ni la scène primale, ni Dieu et, du coup, les efforts de reproduire au-delà du simple réel semblent inépuisablement voués à l’échec. La vidéo d’Élisabeth Ballet présentée à la Salle de bains ne parle somme toute que de cette faille existentielle. De la défaite évidente et fragile des mateurs solitaires, dans un cadre simple, sans plans de coupe, une caméra immobile enregistre avec discrétion les agissements inavouables d’un homme encore plus discret. On ne voit qu’une façade dans une cour d’immeuble, un arbre sans feuille qui coupe et compose l’image.

    Dès lors, en arrière fond, le spectateur ne peut que se focaliser sur le seul être vivant de cette nature morte urbaine. Derrière un rideau de dentelle, comme une sentinelle ridicule, il se tient nu dans l’encadrement de la fenêtre. Et il regarde, on ne sait pas ce qui l’absorbe à ce point, on ne comprend pas où se dirige vraiment son regard à lui. Le nôtre est rivé sur ses gestes, la pâle ossature, le corps vieilli qui statufie les bras le long du corps. Puis il bouge, les bras, les mains se mettent à la hauteur du sexe. Le rebord nous cache les jambes, nous subtilise l’objet qui pourrait à tout moment démontrer les émotions par trop réelles de l’individu.

    Par un subtil jeu de miroir, le spectateur se retrouve en position de voyeur, on guette l’impossible, la réalisation de ce désir flottant, l’instant où l’on pourrait basculer enfin vers une libération des tensions sous-jacentes. Le son seul accompagne l’espace d’exposition, des bruits de pas, des va-et-vient furtifs, des déplacements intrigants à l’intérieur d’un appartement. Ce déplacement virtuel nous renvoie alors au face à face incontournable, à l’artiste, l’autre personnage de ce film qui se cache, elle aussi, derrière la caméra, mais pour mieux épier le déroulement de l’histoire. Sur ce scénario très simple, Élisabeth Ballet arrive à injecter une narration pleine de sens, elle joue sur les transgressions du regard, sur le dévoilement de ce dernier et sur sa silencieuse présence.

    L’homme à sa fenêtre, la jeune femme dans sa chambre, un croisement sans réalité, sans chair. Il n’y a aucune issue, entre le désir et son objet. Juste ce corps en silhouette et ce souffle de vie que l’on perçoit. L’homme qui se caresse dans l’immobilité et ce pas qui traverse un espace imaginaire ressemblent à deux territoires étrangers, mais terriblement liés. La force du regard provoque la convoitise et tout simplement la demande. Une demande qui ne peut que se répercuter dans la rage de son refus. L’homme nu n’est plus qu’une figure, celle de l’impuissance et de la solitude qui vous prend plus sûrement à la gorge qu’une liaison heureuse et amoureuse. Dans la rigidité de son décor, il finit par n’être qu’un personnage symbolique d’aspiration et de besoin, mais qui ne peut ou ne veut réellement les assouvir. À la fin de la vidéo, on n’aura pas vu grand-chose, pas de désignation évidente de l’érotisme, pas de sexe en érection, pas de scène frénétique de masturbation, mais cependant, lorsqu’il laisse sa main faire retomber le rideau, comme on peut le faire à la fin d’un spectacle,
    on sait que l’on vient de percevoir le hors champ du désir.

    Cette vidéo a été réalisée à Berlin, sans être mise en scène, Élisabeth Ballet avait un atelier dans un immeuble où elle avait remarqué le manège de cet homme. Deux fois par semaine, régulièrement, il venait se poster nu à cette fenêtre, aussi voyeur qu’exhibitionniste. Elle n’a eu ensuite qu’à caler sa caméra pour le filmer. Cette plongée dans une histoire réelle rend la scène évidemment beaucoup plus intéressante. La Salle de bains a sorti sous une forme de carte postale un autre travail de l’artiste. Il s’agit d’un vélo qui, en pleine rue, se transforme en un support vivant de verdure. Un bout de paysage sur la macadam de la ville.

    Hauviette Bethemont
    L’exposition d’Elisabeth Ballet à La Salle de bains se présente sous deux formes.

    D’une part, une installation vidéo dont le film, réalisé à Berlin en 1996, a déjà été montré au Centre National de la Photographie à Paris. La vue du film est celle d’une cour d’immeuble. Elle remplace, le temps d’une exposition, la cour de La Salle de bains en prenant sa place dans la vitrine. La bande sonore qui accompagne le film joue à l’inverse du home cinéma un son distant de l’image, celui d’une personne déambulant dans un intérieur.

    D’autre part, une photographie éditée en carte postale à 1000 exemplaires et qui fait suite encore une fois à un séjour en Allemagne, à Bonn cette fois. La photographie a été prise dans la rue et nous montre deux vélos recouverts par les liserons jaillissant d’une plate-bande. Véritable icône photographique de l’amour et de l’abandon, l’image s’est imposée d’elle même comme une carte postale.

    Valérie Parenson



    “Ce n’est pas moi qui ai eu l’idée de montrer un exhibitionniste, il est venu à moi et forcément il y a une histoire qui a commencé… L’image montre la façade d’une résidence berlinoise orientée sur cour, le mur est recouvert d’un enduit orange. Entre la vitre de mon appartement et l’immeuble que je regarde s’élève le tronc dépouillé d’un marronnier, il n’y a pas de vent, pas d’oiseaux, pas de bruit ; le film se situe au milieu de l’hiver. Il habite en face, au deuxième, un étage au-dessus du mien. Exclusivement le dimanche ou les jours fériés, un homme nu apparaît et disparaît régulièrement derrière sa fenêtre, il y reste des heures ; de temps à autre il s’éloigne de ma vue, en prenant son temps, doucement, il s’assied sur ce qui doit être son lit. L’homme a une relation muette avec moi, il se tient debout, comme sur le devant d’une scène de théâtre, rideaux fermés ; rideaux à demi clos ; rideaux largement ouverts. Je travaille au premier étage de cet immeuble qui est vide de tout autre occupant le week-end, je suis seule avec lui, j’attends, et je le filme.” - Propos recueillis par Elisabeth Lebovici.



    [PRESSE] Les Petites affiches lyonnaises, Mars 2001

    L’art est une histoire de regard. Le regard que porte l’artiste sur le monde, le monde vu par l’autre qui mate encore et toujours… Une forme qui se confond et se fond sur la toile, le volume ou l’écran, et ne prend sens que dans le parcours des yeux du spectateur. Une histoire de voyeur, avec tout ce que cela peut comporter de sous-entendu puisque, à travers ce désir inassouvi de voir, l’art ne fait que révéler la part d’interdit, une part d’obscénité, cet étrange moment où la scène dévoile le hors-scène.

    On ne peut, dit-on, contempler ni la scène primale, ni Dieu et, du coup, les efforts de reproduire au-delà du simple réel semblent inépuisablement voués à l’échec. La vidéo d’Élisabeth Ballet présentée à la Salle de bains ne parle somme toute que de cette faille existentielle. De la défaite évidente et fragile des mateurs solitaires, dans un cadre simple, sans plans de coupe, une caméra immobile enregistre avec discrétion les agissements inavouables d’un homme encore plus discret. On ne voit qu’une façade dans une cour d’immeuble, un arbre sans feuille qui coupe et compose l’image.

    Dès lors, en arrière fond, le spectateur ne peut que se focaliser sur le seul être vivant de cette nature morte urbaine. Derrière un rideau de dentelle, comme une sentinelle ridicule, il se tient nu dans l’encadrement de la fenêtre. Et il regarde, on ne sait pas ce qui l’absorbe à ce point, on ne comprend pas où se dirige vraiment son regard à lui. Le nôtre est rivé sur ses gestes, la pâle ossature, le corps vieilli qui statufie les bras le long du corps. Puis il bouge, les bras, les mains se mettent à la hauteur du sexe. Le rebord nous cache les jambes, nous subtilise l’objet qui pourrait à tout moment démontrer les émotions par trop réelles de l’individu.

    Par un subtil jeu de miroir, le spectateur se retrouve en position de voyeur, on guette l’impossible, la réalisation de ce désir flottant, l’instant où l’on pourrait basculer enfin vers une libération des tensions sous-jacentes. Le son seul accompagne l’espace d’exposition, des bruits de pas, des va-et-vient furtifs, des déplacements intrigants à l’intérieur d’un appartement. Ce déplacement virtuel nous renvoie alors au face à face incontournable, à l’artiste, l’autre personnage de ce film qui se cache, elle aussi, derrière la caméra, mais pour mieux épier le déroulement de l’histoire. Sur ce scénario très simple, Élisabeth Ballet arrive à injecter une narration pleine de sens, elle joue sur les transgressions du regard, sur le dévoilement de ce dernier et sur sa silencieuse présence.

    L’homme à sa fenêtre, la jeune femme dans sa chambre, un croisement sans réalité, sans chair. Il n’y a aucune issue, entre le désir et son objet. Juste ce corps en silhouette et ce souffle de vie que l’on perçoit. L’homme qui se caresse dans l’immobilité et ce pas qui traverse un espace imaginaire ressemblent à deux territoires étrangers, mais terriblement liés. La force du regard provoque la convoitise et tout simplement la demande. Une demande qui ne peut que se répercuter dans la rage de son refus. L’homme nu n’est plus qu’une figure, celle de l’impuissance et de la solitude qui vous prend plus sûrement à la gorge qu’une liaison heureuse et amoureuse. Dans la rigidité de son décor, il finit par n’être qu’un personnage symbolique d’aspiration et de besoin, mais qui ne peut ou ne veut réellement les assouvir. À la fin de la vidéo, on n’aura pas vu grand-chose, pas de désignation évidente de l’érotisme, pas de sexe en érection, pas de scène frénétique de masturbation, mais cependant, lorsqu’il laisse sa main faire retomber le rideau, comme on peut le faire à la fin d’un spectacle,
    on sait que l’on vient de percevoir le hors champ du désir.

    Cette vidéo a été réalisée à Berlin, sans être mise en scène, Élisabeth Ballet avait un atelier dans un immeuble où elle avait remarqué le manège de cet homme. Deux fois par semaine, régulièrement, il venait se poster nu à cette fenêtre, aussi voyeur qu’exhibitionniste. Elle n’a eu ensuite qu’à caler sa caméra pour le filmer. Cette plongée dans une histoire réelle rend la scène évidemment beaucoup plus intéressante. La Salle de bains a sorti sous une forme de carte postale un autre travail de l’artiste. Il s’agit d’un vélo qui, en pleine rue, se transforme en un support vivant de verdure. Un bout de paysage sur la macadam de la ville.

    Hauviette Bethemont
    800px-Ballet4
    Schluterstrasser, Berlin le matin, 2001
    Affiche
    Elisabeth Ballet, née en 1957 (France).
    Vit et travaille à Paris.
    Elisabeth Ballet, née en 1957 (France).
    Vit et travaille à Paris.
    550px-Ballet1

    La Salle de bains

    1 rue Louis Vitet,

    69001 Lyon, France

    Ouverture

    du mercredi au samedi

    de 15h à 19h

    La Salle de Bains reçoit le soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, de la Ville de Lyon et du Ministère de la Culture - DRAC Auvergne-Rhône-Alpes.

    Elle est membre des réseaux AC//RA et ADELE.

    La Salle de bains est une association loi 1901 fondée par Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot en 1998 à Lyon.

    Les activités de La Salle de bains reposent sur la production d’œuvres, d’expositions, d’éditions d’artistes contemporains nationaux et internationaux de générations différentes, et d’événements liés de manière transversale à la programmation annuelle du lieu.

    La Salle de bains assure l’accès et l’accompagnement de cette programmation auprès de divers types de publics issus de son territoire d’implantation.

    Elle travaille au développement de réseaux et à la conception de projets.

    En 2008, la structure a déménagé du 56 de la rue Saint-Jean, située dans le centre historique de Lyon (5e arrondissement), au 27 de la rue Burdeau (1er arrondissement) sur les pentes de la Croix-Rousse.
    En 2016, La Salle de bains se déplace au 1 rue Louis Vitet dans le 1er arrondissement de Lyon. L’espace se propose comme un lieu de convergence et de redéploiement d’une activité élargie hors du cadre de l’exposition.


    La direction artistique a successivement été confiée aux personnes suivantes :

    • 2025 : Julie Portier
    • 2024 : Pierre-Olivier Arnaud, Nadine Droste, Julie Portier
    • 2017 – 2023 : Pierre-Olivier Arnaud et Julie Portier
    • 2016 – 2017 : Armando Andrade Tudela, Elsa Audouin, Pierre-Olivier Arnaud, Magalie Meunier, Julie Portier
    • 2013 – 2016 : Caroline Soyez-Petithomme
    • 2009 – 2013 : Caroline Soyez-Petithomme et Jill Gasparina
    • 2004 – 2008 : Olivier Vadrot et Vincent Pécoil
    • 2002 – 2003 : Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot
    • 1999 – 2001 : Olivier Vadrot, Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue

    Crédits — Mentions légales

    Crédits

    Le site web a été conçu et réalisé en 2022 par l’atelier Diakité x Comerro.
    Design graphique : Lucie Comerro
    Programmation informatique : Samuel Diakité
    Interface : CMS Extra Backoff (Système de Gestion de Contenu initié en 2011 par Samuel Diakité)
    Font : Brut Grotesque, Bureau Brut

    La refonte du site web et son identité s’inscrivent dans le prolongement de la précédente version réalisée en 2016 par Elsa Audouin et l’équipe de La Salle de bains.

    Mentions légales

    Le présent site est la propriété de l’association « La Salle de bains » , établissement privé situé au 1 rue Louis Vitet 69001 Lyon (France) - Courriel : infos@lasalledebains.net.

    La directrice de la publication du site Web est Madame Agathe Chevallier en qualité de coordinatrice.

    Ce site Web a été designé par la graphiste, Lucie Comerro (Courriel : lucie.comerro@gmail.com - Site Web : https://comerro-studio.com/), et programmé informatiquement par Samuel Diakité (Courriel : sdiakite@extrafine.fr).

    Ce site Web est hébergé par la société OVH située, 2 rue Kellermann - 59100 Roubaix (France) Tél : +33(0) 9 72 10 10 07 ou 1007, Site Web : http://ovh.com/fr/support.

    Le présent site s’appuie sur la solution ExtraBackoff et utilise exclusivement des technologies et des scripts open source. Les images et photographies sont la propriété exclusive de l’association La Salle de bains ou des ayants-droits au titre d’auteurs, et ne sont pas libres de droit.

    L’internaute du site Web « lasalledebains.net » reconnaît disposer de la compétence et des moyens nécessaires pour accéder et utiliser ce site. Il reconnaît également avoir vérifié que la configuration informatique utilisée ne contient aucun virus et qu’elle est en parfait état de fonctionnement. Enfin, l’internaute reconnaît également avoir pris connaissance de la présente notice légale et s’engage à la respecter.

    L’accès au site Web ainsi que son utilisation du Site impliquent l’acceptation sans réserve ni restriction de ses présentes conditions d’utilisation.
    Si vous n’acceptez pas ses présentes conditions d’utilisation, nous vous prions de quitter immédiatement ce site.

    En conformité avec les dispositions de la loi du 6 janvier 1978 modifiée relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, le traitement automatisé des données nominatives réalisées à partir du site Web « lasalledebains.net » n’a pas à faire l’objet de déclaration auprès de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) en vertu de la dispense de déclaration n°7 (J.O. n°128 du 3 juin 2006).

    L’internaute est informé que lors de ses visites sur le site, un cookie peut s’installer automatiquement sur son logiciel de navigation. Un cookie est un élément qui ne permet pas d’identifier l’internaute mais sert à enregistrer des informations relatives à la navigation de celui-ci sur le site Web. Le paramétrage de votre logiciel de navigation permet d’informer de la présence de cookies et éventuellement de la refuser selon la procédure décrite à l’adresse suivante : www.cnil.fr.


    Le site Web « lasalledebains.net » utilise le service d’analyse d’audience « Matomo » qui utilise des « cookies » permettant d’analyser la façon dont les internautes d’utilisent le site Web « lasalledebains.net ». Les informations générées par les cookies sont stockées sur le serveur de La Salle de bains et ne sont pas communiquées à des tiers.

    Sur la base du premier paragraphe de l’article 6 du Règlement général sur la protection des données (RGPD), La Salle de bains a un intérêt légitime à analyser le comportement des utilisateurs afin d’optimiser le site Web « lasalledebains.net » et sa publicité.

    Cependant, vous avez la possibilité d’empêcher la collecte et le stockage de vos données au sein de la configuration de votre navigateur Web.


    L’internaute dispose d’un droit d’accès, de modification, de rectification et de suppression des données qui le concernent (article 38 et suivants de la loi « Informatique et Libertés »). Pour l’exercer, l’internaute peut s’adresser à l’association La Salle de bains (voir au début de ce présent document).

    La Salle de bains intègre pleinement les exigences strictes des autorités françaises et européennes en matière de protection des données lors de l’utilisation des différents services cités précédemment.

    Toute reproduction ou représentation totale ou partielle de ce site (textes et images) par quelque procédé que ce soit, sans l’autorisation expresse de La Salle de bains, ou de ses représentants légaux est interdite et constituerait une contre façon sanctionnée par les articles L335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

    Les bases de données figurant sur le site Web sont protégées par les dispositions de la loi du 11 juillet 1998 portant transposition dans le Code de la propriété intellectuelle (CPI) de la directive européenne du 11 mars 1996 relative à la protection juridique des bases de données.
    Sont notamment interdites l’extraction et la réutilisation, quantitativement ou qualitativement substantielles, du contenu des bases de données contenues sur ce site Web. Tout contrevenant s’expose aux sanctions visées aux articles L343-1 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
    Les marques de l’association La Salle de bains et de ses partenaires, ainsi que les logos figurant sur le site sont des marques (semi-figuratives ou non) et sont déposées. Toute reproduction totale ou partielle de ces marques ou de ces logos effectuées à partir des éléments du site, est prohibée, au sens des articles L713-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

    Le site Web de La Salle de bains offre des liens vers d’autres sites Web ou d’autres ressources disponibles sur Internet. La Salle de bains ne dispose d’aucun moyen pour contrôler les sites en connexion avec son site Web. La Salle de bains ne répond pas de la disponibilité de tels sites et sources externes, ni ne la garantit. Elle ne peut être tenue pour responsable de tout dommage, de quelque nature que ce soit, résultant du contenu de ces sites ou sources externes, et notamment des informations, produits ou services qu’ils proposent, ou de tout usage qui peut être fait de ces éléments. Les risques liés à cette utilisation incombent pleinement à l’internaute, qui doit se conformer à leurs conditions d’utilisation.

    Les informations contenues sur ce site sont aussi précises que possibles et le site est périodiquement remis à jour, mais peut toutefois contenir des inexactitudes, des omissions ou des lacunes. Si vous constatez une lacune, erreur ou ce qui parait être un dysfonctionnement, merci de bien vouloir le signaler par email en décrivant le problème de la manière la plus précise possible (page posant problème, action déclenchante, type d’ordinateur et de navigateur utilisé, …). Tout contenu téléchargé se fait aux risques et périls de l’internaute et sous sa seule responsabilité. En conséquence, La Salle de bains ne saurait être tenu responsable d’un quelconque dommage subi par l’ordinateur de l’internaute ou d’une quelconque perte de données consécutives au téléchargement.

    La Salle de bains met en œuvre tous les moyens dont elle dispose, pour assurer une information fiable et une mise à jour fiable de son site Web. Toutefois, des erreurs ou omissions peuvent survenir. L’internaute devra donc s’assurer de l’exactitude des informations auprès de La Salle de bains, et signaler toutes modifications du site qu’il jugerait utile. La Salle de bains n’est en aucun cas responsable de l’utilisation faite de ces informations, et de tout préjudice direct ou indirect pouvant en découler.

    Nous remercions les internautes du site de nous faire part d’éventuelles omissions, erreurs, corrections, en nous contactant le cas échéant.