Passé 1
28 juin à 18h30
Lectures et discussion à "l'heure du yoga" avec 
Vidya Gastaldon autour de son roman Bleu Extase (art&fiction, 2025)

1994, une rave. Une jeune femme se retrouve prise dans une expérience initiatique. Elle se découvre au cœur d’un océan de perceptions.
 
En cours 3
21 juillet — 14 septembre 202521 July — 14 September 2025
studio d'été
Pendant ses vacances, la Salle de bains prête son espace à
Alexandre Caretti qui y installe son atelier

Sortie d'atelier du 11 au 13 septembre
 
En cours 4
2 août — 28 septembre 20252 August — 28 September 2025
Gina Proenza
RÊVE GÉNÉRALE 

à Treignac Projet (Corrèze) - Vernissage le 1er août
 
À venir 5
26 septembre — 22 novembre 202526 September — 22 November 2025
Gina Proenza


Vernissage le 25 septembre à 18h
 
À venir 6
5 décembre 2025 — 28 février 20265 December 2025 — 28 February 2026
Simon Dybbroe Møller
proposé par Benoît Lamy de la Chapelle

1 rue Louis Vitet — Lyon

Mercredi-Samedi, 15h-19h

    09/2007 Olaf Nicolai Durst
    FRENVuesTexte
    Durst - Olaf Nicolai
    Durst - Olaf Nicolai
    Durst - Olaf Nicolai
    Durst - Olaf Nicolai
    Durst - Olaf Nicolai
    Durst - Olaf Nicolai
    Photos : La Salle de bains, Lyon
    Photos : La Salle de bains, Lyon

    Durst

    Du 18 septembre au 1 décembre 2007From 18 September to 1 December 2007
    Pour cette exposition de l’artiste allemand Olaf Nicolai à la Salle de bains, les visiteurs sont conviés à prendre des nouvelles des étoiles. Des étoiles, il en est question de différentes façons ; une première fois dans l’extrait du Canto d’Ezra Pound reproduit dans l’entrée : matérialisée dans une forme éphémère, une phrase (Nor with stars stretctched, nor looking back from Heaven [1]) est écrite en cierges magiques, susceptible de disparaître en un instant en se consumant dans une pluie d’étincelles. Une pluie comparable à l’effet optique des traînes des étoiles filantes qu’observent les astronomes, professionnels ou amateurs, comme ceux dont les rapports météorologiques en fac-similés posés au sol dans la deuxième salle, devant l’image d’un amas d’étoiles. Quelques points lumineux dans une immense nuit noire, les plus éphémères et aussi les plus spectaculaires (le moment de la rentrée dans l’atmosphère de météores, et donc de leur destruction), sont ceux choisis par ces astronomes comme objets de leur étude, impliquant des heures et des nuits d’attente pour quelques fractions de seconde d’observation.

    Faisant le tour de la salle, l’image (celle de la nébuleuse de la Carène – Carina Nebula – et plus exactement de son centre, là où naissent et meurent les étoiles) fonctionne comme un panorama, englobant le regardeur de ses masses gazeuses, de ses milliers d’éléments épars sans ordre apparent, sans hiérarchie – le ciel étoilé comme allover ultime. L’image a été prise par le télescope Hubble, un instrument qui avait lors de sa mise en service cette particularité d’être quasi myope, du fait d’une malfaçon d’une lentille au polissage. Mais à vrai dire, comme les astronomes alors confrontés à ce problème, le regard du visiteur, sans objet, sans but assigné, ne peut que s’égarer dans le panorama, sans possibilité de fixer son attention. Difficile de savoir, pour un néophyte en astronomie, ce qu’il y a à regarder dans cette image (une partie au moins de l’image murale évoque une planche d’un test de Rorschach, et donc suggère que le « contenu » de l’image pourrait bien être une projection de l’intériorité psychologique de celui qui regarde) ; à défaut d’un objet (d’un but) l’expérience de sa contemplation se fait plutôt pour elle-même. Renforçant cette idée que le ciel puisse être appréhendé comme un tout supérieur à ses parties, comme une sorte de peinture allover, et valoir pour cette raison, il y a deux ans, pour sa participation à la Biennale de Venise, Nicolai avait invité les visiteurs, à travers son projet Welcome to the “ tears Of St. Lawrence.” An appointment to Watch Falling Stars (2005), à contempler les étoiles filantes dans le ciel d’Italie en une zone et pendant une période précises.

    Depuis la salle, on peut apercevoir dans la cour, par une inversion de la logique entre intérieur et extérieur, une autre étoile – en fait une réplique d’une étoile rouge empruntée à un type de monument commun dans l’ancien bloc communiste, une « flamme éternelle » ; au centre de l’étoile laquelle se consume une flamme – celle de la révolution, ou de l’ardeur révolutionnaire. (Qui d’un autre point de vue, puisqu’il s’agissait souvent de monuments funéraires, peut également être perçue comme une porte donnant sur l’Enfer.) Choisie par les acteurs de la révolution d’octobre comme un symbole de la permanence, comme un repère pour l’orientation (dans l’action comme dans la réflexion), l’étoile rouge s’est avérée filante, elle aussi. Le matérialisme historique se devait d’être un point de repère dans le chaos de l’histoire – en donner un éclairage rationnel, en être la certitude scientifique. Mais comme les étoiles filantes, dont, contrairement aux corps célestes classiques, les mouvements ne peuvent pas être prévus avec exactitude, les lois qui régissent les phénomènes historiques nous échappent. Reste le désir (un sens possible de « Durst », qui est en fait le titre de l’ensemble des œuvres montrées dans la grande salle et la cour) de s’absorber dans leur contemplation, désir de percevoir (et de croire) qui, seul, paraît suffisamment inaltérable pour être une loi.
    Pour cette exposition de l’artiste allemand Olaf Nicolai à la Salle de bains, les visiteurs sont conviés à prendre des nouvelles des étoiles. Des étoiles, il en est question de différentes façons ; une première fois dans l’extrait du Canto d’Ezra Pound reproduit dans l’entrée : matérialisée dans une forme éphémère, une phrase (Nor with stars stretctched, nor looking back from Heaven [1]) est écrite en cierges magiques, susceptible de disparaître en un instant en se consumant dans une pluie d’étincelles. Une pluie comparable à l’effet optique des traînes des étoiles filantes qu’observent les astronomes, professionnels ou amateurs, comme ceux dont les rapports météorologiques en fac-similés posés au sol dans la deuxième salle, devant l’image d’un amas d’étoiles. Quelques points lumineux dans une immense nuit noire, les plus éphémères et aussi les plus spectaculaires (le moment de la rentrée dans l’atmosphère de météores, et donc de leur destruction), sont ceux choisis par ces astronomes comme objets de leur étude, impliquant des heures et des nuits d’attente pour quelques fractions de seconde d’observation.

    Faisant le tour de la salle, l’image (celle de la nébuleuse de la Carène – Carina Nebula – et plus exactement de son centre, là où naissent et meurent les étoiles) fonctionne comme un panorama, englobant le regardeur de ses masses gazeuses, de ses milliers d’éléments épars sans ordre apparent, sans hiérarchie – le ciel étoilé comme allover ultime. L’image a été prise par le télescope Hubble, un instrument qui avait lors de sa mise en service cette particularité d’être quasi myope, du fait d’une malfaçon d’une lentille au polissage. Mais à vrai dire, comme les astronomes alors confrontés à ce problème, le regard du visiteur, sans objet, sans but assigné, ne peut que s’égarer dans le panorama, sans possibilité de fixer son attention. Difficile de savoir, pour un néophyte en astronomie, ce qu’il y a à regarder dans cette image (une partie au moins de l’image murale évoque une planche d’un test de Rorschach, et donc suggère que le « contenu » de l’image pourrait bien être une projection de l’intériorité psychologique de celui qui regarde) ; à défaut d’un objet (d’un but) l’expérience de sa contemplation se fait plutôt pour elle-même. Renforçant cette idée que le ciel puisse être appréhendé comme un tout supérieur à ses parties, comme une sorte de peinture allover, et valoir pour cette raison, il y a deux ans, pour sa participation à la Biennale de Venise, Nicolai avait invité les visiteurs, à travers son projet Welcome to the “ tears Of St. Lawrence.” An appointment to Watch Falling Stars (2005), à contempler les étoiles filantes dans le ciel d’Italie en une zone et pendant une période précises.

    Depuis la salle, on peut apercevoir dans la cour, par une inversion de la logique entre intérieur et extérieur, une autre étoile – en fait une réplique d’une étoile rouge empruntée à un type de monument commun dans l’ancien bloc communiste, une « flamme éternelle » ; au centre de l’étoile laquelle se consume une flamme – celle de la révolution, ou de l’ardeur révolutionnaire. (Qui d’un autre point de vue, puisqu’il s’agissait souvent de monuments funéraires, peut également être perçue comme une porte donnant sur l’Enfer.) Choisie par les acteurs de la révolution d’octobre comme un symbole de la permanence, comme un repère pour l’orientation (dans l’action comme dans la réflexion), l’étoile rouge s’est avérée filante, elle aussi. Le matérialisme historique se devait d’être un point de repère dans le chaos de l’histoire – en donner un éclairage rationnel, en être la certitude scientifique. Mais comme les étoiles filantes, dont, contrairement aux corps célestes classiques, les mouvements ne peuvent pas être prévus avec exactitude, les lois qui régissent les phénomènes historiques nous échappent. Reste le désir (un sens possible de « Durst », qui est en fait le titre de l’ensemble des œuvres montrées dans la grande salle et la cour) de s’absorber dans leur contemplation, désir de percevoir (et de croire) qui, seul, paraît suffisamment inaltérable pour être une loi.
    [1]. Que l’on pourrait traduire par : « Ni couvert par la voûte céleste, ni sans personne vous regardant du Paradis. »


    Vincent Pécoil
    [1]. Que l’on pourrait traduire par : « Ni couvert par la voûte céleste, ni sans personne vous regardant du Paradis. »


    Vincent Pécoil
    Durst-Carton d'invitation
    Durst, 2007
    carton d'invitation
    Olaf Nicolai, né en 1962 (Allemagne).
    Vit et travaille à Berlin.
    Représenté par Eigen+Art.
    Olaf Nicolai, né en 1962 (Allemagne).
    Vit et travaille à Berlin.
    Représenté par Eigen+Art.
    La Salle de bains reçoit le soutien du Ministère de la Culture DRAC Auvergne-Rhône-Alpes,
    de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et de la Ville de Lyon.
    OLAF NICOLAI1
    OLAF NICOLAI2
    OLAF NICOLAI5
    OLAF NICOLAI6
    OLAF NICOLAI3
    OLAF NICOLAI7

    La Salle de bains

    1 rue Louis Vitet,

    69001 Lyon, France

    Ouverture

    du mercredi au samedi

    de 15h à 19h

    La Salle de Bains reçoit le soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, de la Ville de Lyon et du Ministère de la Culture - DRAC Auvergne-Rhône-Alpes.

    Elle est membre des réseaux AC//RA et ADELE.

    La Salle de bains est une association loi 1901 fondée par Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot en 1998 à Lyon.

    Les activités de La Salle de bains reposent sur la production d’œuvres, d’expositions, d’éditions d’artistes contemporains nationaux et internationaux de générations différentes, et d’événements liés de manière transversale à la programmation annuelle du lieu.

    La Salle de bains assure l’accès et l’accompagnement de cette programmation auprès de divers types de publics issus de son territoire d’implantation.

    Elle travaille au développement de réseaux et à la conception de projets.

    En 2008, la structure a déménagé du 56 de la rue Saint-Jean, située dans le centre historique de Lyon (5e arrondissement), au 27 de la rue Burdeau (1er arrondissement) sur les pentes de la Croix-Rousse.
    En 2016, La Salle de bains se déplace au 1 rue Louis Vitet dans le 1er arrondissement de Lyon. L’espace se propose comme un lieu de convergence et de redéploiement d’une activité élargie hors du cadre de l’exposition.


    La direction artistique a successivement été confiée aux personnes suivantes :

    • 2025 : Julie Portier
    • 2024 : Pierre-Olivier Arnaud, Nadine Droste, Julie Portier
    • 2017 – 2023 : Pierre-Olivier Arnaud et Julie Portier
    • 2016 – 2017 : Armando Andrade Tudela, Elsa Audouin, Pierre-Olivier Arnaud, Magalie Meunier, Julie Portier
    • 2013 – 2016 : Caroline Soyez-Petithomme
    • 2009 – 2013 : Caroline Soyez-Petithomme et Jill Gasparina
    • 2004 – 2008 : Olivier Vadrot et Vincent Pécoil
    • 2002 – 2003 : Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot
    • 1999 – 2001 : Olivier Vadrot, Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue

    Crédits — Mentions légales

    Crédits

    Le site web a été conçu et réalisé en 2022 par l’atelier Diakité x Comerro.
    Design graphique : Lucie Comerro
    Programmation informatique : Samuel Diakité
    Interface : CMS Extra Backoff (Système de Gestion de Contenu initié en 2011 par Samuel Diakité)
    Font : Brut Grotesque, Bureau Brut

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