Passé 1
28 juin à 18h30
Lectures et discussion à "l'heure du yoga" avec 
Vidya Gastaldon autour de son roman Bleu Extase (art&fiction, 2025)

1994, une rave. Une jeune femme se retrouve prise dans une expérience initiatique. Elle se découvre au cœur d’un océan de perceptions.
 
En cours 3
21 juillet — 14 septembre 202521 July — 14 September 2025
studio d'été
Pendant ses vacances, la Salle de bains prête son espace à
Alexandre Caretti qui y installe son atelier

Sortie d'atelier du 11 au 13 septembre
 
En cours 4
2 août — 28 septembre 20252 August — 28 September 2025
Gina Proenza
RÊVE GÉNÉRALE 

à Treignac Projet (Corrèze) - Vernissage le 1er août
 
À venir 5
26 septembre — 22 novembre 202526 September — 22 November 2025
Gina Proenza


Vernissage le 25 septembre à 18h
 
À venir 6
5 décembre 2025 — 28 février 20265 December 2025 — 28 February 2026
Simon Dybbroe Møller
proposé par Benoît Lamy de la Chapelle

1 rue Louis Vitet — Lyon

Mercredi-Samedi, 15h-19h

    03/2008 Stephen Felton, Alessandra Matilde, Matthew McCaslin, Amy O’Neill, Tilman, Dan Walsh, Lars Wolter Revisited
    FRENVuesTexteDocuments
    Revisited - Stephen Felton,Alessandra Matilde,Matthew McCaslin,Amy O’Neill,Tilman,Dan Walsh,Lars Wolter
    Revisited - Stephen Felton,Alessandra Matilde,Matthew McCaslin,Amy O’Neill,Tilman,Dan Walsh,Lars Wolter
    Revisited - Stephen Felton,Alessandra Matilde,Matthew McCaslin,Amy O’Neill,Tilman,Dan Walsh,Lars Wolter
    Revisited - Stephen Felton,Alessandra Matilde,Matthew McCaslin,Amy O’Neill,Tilman,Dan Walsh,Lars Wolter
    Revisited - Stephen Felton,Alessandra Matilde,Matthew McCaslin,Amy O’Neill,Tilman,Dan Walsh,Lars Wolter
    Revisited - Stephen Felton,Alessandra Matilde,Matthew McCaslin,Amy O’Neill,Tilman,Dan Walsh,Lars Wolter
    Revisited - Stephen Felton,Alessandra Matilde,Matthew McCaslin,Amy O’Neill,Tilman,Dan Walsh,Lars Wolter
    Revisited - Stephen Felton,Alessandra Matilde,Matthew McCaslin,Amy O’Neill,Tilman,Dan Walsh,Lars Wolter
    Photos : Aurélie Leplatre / © La Salle de bains
    Photos : Aurélie Leplatre / © La Salle de bains

    Revisited

    Du 15 mars au 16 mai 2008From 15 March to 16 May 2008
    Revisited n’est pas une exposition de Dan Walsh. Ni de Tilman + Amy O’Neil + Matthew McCaslin + Mathilde Alessandra + Lars Wolter + Stephen Felton. Réunissant six de ses amis artistes, Dan Walsh a cherché à produire une véritable exposition collective. Mais quel sens donner à ce terme ? Le protocole de travail des sept artistes a rejoué celui de l’exposition Seven grays [1] en 2002 chez Paula Cooper, celui d’une semi-improvisation. Pendant la préparation de l’exposition, Dan Walsh a délivré progressivement les informations au groupe, empruntant au monde du théâtre un paysage thématique, En attendant Godot de Beckett qui donne son sous-titre au show. Dans Revisited, les allusions à la pièce sont multiples, des simili-potences, des images et tous les signes déceptifs d’un échec certain. Mais si dans cette pièce, il n’y a qu’une unique didascalie qui concerne le décor (« route de campagne avec un arbre »), l’idée n’est évidemment pas de donner une traduction plastique du texte. Dan Walsh a surtout emprunté au théâtre une méthode, celle de la direction d’acteurs : proposant un contexte, et incitant les artistes à la « projection », l’artiste new-yorkais a mis en place les conditions matérielles d’un travail de groupe. Les sept artistes ont alors opéré collectivement, en une semaine, et avec les matériaux à disposition, une dialectique active de propositions/réinterprétations qui a presque duré jusqu’au moment de l’ouverture [2].

    Les dernières décennies ont été, en littérature comme en art, le lieu de la répétition intensive d’une même histoire, racontée d’abord par Barthes et Foucault, comme un écho des événements de 1968, celle de « la mort de l’auteur » [3]. Répété ad nauseam, et transformé en credo, ce récit a finalement vu s’épuiser la puissance de subversion politique qui lui était au départ associée. La contestation de l’autorité s’est transformée en pur style. Quel sens pourrait-il donc y avoir à revisiter aujourd’hui Beckett, l’un des acteurs de cette histoire mythique ? Prenant acte de ce cheminement et de cette digestion lente mais certaine, Dan Walsh propose aujourd’hui avec Revisited, une tragi-comédie en sept actes une alternative joyeuse au deuil maniaque de l’auteur, où la voix blanche laisse place à la possibilité réelle d’un travail collectif. Le résultat est mixte, bricolé et anonyme, un mélange de formes fixes et historiques, d’inventions spontanées, de matériaux trouvés. « Nous voulions utiliser surtout des matériaux de construction, renvoyant clairement à une activité, plutôt que des objets cultivés » explique simplement Dan Walsh. Il y a beaucoup d’objets et beaucoup de peintures dans l’espace de la Salle de Bains, donc, mais il n’y a aucune pièce, aucun reliquat d’action individuelle, aucun échantillon identifiable de l’œuvre d’un artiste : Revisited est un « no-ego show » [4].

    Si le concept du show s’oppose à tout égotisme, son protocole strict s’écarte aussi par avance de la nostalgie associée historiquement aux utopies du travail collectif. Pas d’idéalisme : les indices d’une activité humaine frénétique sont partout présents et partout tournés en dérision. Les drapeaux sont en berne. Et les pupitres, cibles et socles viennent théâtraliser caricaturalement l’idée-même d’une possible activité, en même temps qu’ils tournent en blague l’histoire de l’art, de Jasper Johns au minimalisme en passant par Bruegel. Plus qu’un déroulement dramatique, le show emprunte donc à Beckett sa qualité de vide et sa neutralité auctoriale, ou mieux son absurdité : « une terre vaine sombre, répétitive, elliptique » [5]. Il importe donc peu de savoir qui a proposé quoi dans Revisited. Le show parle d’une voix collective. Et pourtant, le plus étonnant est qu’en dépit de ce protocole de travail, de ces contraintes non-égotiques, et de ce désir de polyphonie, il reste dans ces espaces quelque chose de la « passive pâleur » [6], si personnelle malgré tout des abstractions de Dan Walsh.
    Revisited is not a Dan Walsh show.  Neither is it a Tilman + Amy O’Neil + Matthew McCaslin + Mathilde Alessandra + Lars Wolter + Stephen Felton show.  In bringing together six of his artist friends, Dan Walsh meant to present a truly collective exhibition.  But what does the term “collective” mean in this case?  The protocol for the Lyon exhibition was a replay of Walsh’s Seven Grays [1] exhibition in 2002 at Paula Cooper, which was based on the idea of semi-improvisation.  During the preparation period for the Lyon show, Walsh progressively delivered information to the group, borrowing from the world of theater a thematic landscape: Beckett’s Waiting for Godot, which provides the subtitle for this show.  There are multiple allusions to the play in Revisited, from the mock gallows to various images and all the deceptive signs of definite failure.  But even though there is only one stage direction in the play concerning its setting (“A country road. A tree.”), the idea was obviously not to produce a visual translation of the text.  What Walsh is borrowing above all from the realm of theater is a method of directing actors: by proposing a context and inviting artists to “project,” he brought together the material conditions for collaborative work.  The seven artists then worked collectively for a week with the materials at their disposal, setting up an active dialectical back-and-forth of propositions and reinterpretations that lasted right up to the day of the opening. [2]

    The last few decades have witnessed, in literature as in the visual arts, the intensive retelling of a single story first told by Barthes and Foucault, like an echo of the events of May 1968, that of the “death of the author.” [3]  Repeated ad nauseam and transformed into a dogma, the narrative eventually exhausted the potential for political subversion it contained in the beginning.  The contestation of authority turned into pure style.  What meaning could there be today in revisiting Beckett, one of the actors of this mythical story?  Taking this slow but deliberate evolution into account, Walsh offers, with Revisited: A Tragicomedy in Seven Acts, a joyous alternative to the manic-depressive mourning of the author, where toneless authorial voices give way to the real possibility of collective work.  The result is hybrid, aggregative and anonymous, a mixture of fixed and historical forms, spontaneous inventions and found materials.  “We wanted to use mostly construction materials, clearly referring to an activity, rather than cultivated objects,” Walsh explained simply.  To be sure, there are many objects and many paintings in the space of La Salle de Bains, but there isn’t a single “piece,” a single residue of individual action, or an identifiable sample from an artist’s work.  Revisited is a “no-ego show.” [4]

    If, on the one hand, the concept of the show runs counter to any notion of “egotism,” its strict protocol also resolutely shies away from the kind of nostalgia historically associated with utopias of collective work.  There is no idealism here: clues referring to a frenetic human activity are everywhere and everywhere lightly mocked.  Flags are at half-mast.  And the various school desks, targets and pedestals act as caricatures dramatizing the very idea of a possible activity, at the same time as they poke fun at art history, from Jasper Johns to minimalism, via Brueghel.  What the show actually borrows from Beckett, therefore, is less the unfolding of dramatic action than its notion of a void, its authorial neutrality – or perhaps, its absurdity: “a vain, dark, repetitive, elliptical earth.” [5]  Knowing who did what in Revisited matters little.  The show speaks with a collective voice.  And yet, in spite of the exhibition’s protocol, for all those non-egotistic constraints and that desire for polyphony, there surprisingly subsists in this space something of the decidedly personal “passive pallor” [6] that characterizes Dan Walsh’s abstract work.
    [1] Cette exposition collective organisée par Dan Walsh chez Paula Cooper en 2002, réalisée autour de la théorie des couleurs, incluait notamment des œuvres de Matthew McCaslin, Olivier Mosset, et Michaël Scott. Dan Walsh y invitait des artistes à réinterpréter ses idées au sujet des œuvres.
    [2] Une anecdote : quelques heures avant l’ouverture, Dan Walsh a réinterprété seul les propositions collectives, après avoir demandé aux 6 artistes de quitter l’espace d’exposition.
    [3] « La mort de l’auteur » est un article-manifeste de Roland Barthes publié en 1968 et intégré au recueil Le bruissement de la langue.
    [4] Dan Walsh, mail, 31/03/08
    [5] Dan Walsh, mail, 31/03/08
    [6] Dan Walsh paintings, Ezra Shales, n.p.


    Jill Gasparina

    [1] That collective exhibition, organized by Dan Walsh at Paula Cooper Gallery in 2002, revolved around color theory and included works by Matthew McCaslin, Olivier Mosset and Michael Scott, to name a few.  Walsh invited artists to reinterpret his ideas about the works.
    [2] Let us mention as an anecdote that, a few hours before the opening of the show, Walsh asked the six artists to leave the exhibition space and reinterpreted the collective propositions on his own.
    [3] “The Death of the Author” (published in 1968) is an essay/manifesto by Roland Barthes.  It is included in the collection of essays titled The Rustle of Language.
    [4] Dan Walsh, e-mail, March 31, 2008
    [5] Dan Walsh, e-mail, March 31, 2008.
    [6] Dan Walsh paintings, Ezra Shales, n.p.


    Jill Gasparina
    Translated by Anthony Allen
    Revisited-carton d'invitation
    Revisited, 2008
    carton d'invitation
    Stephen Felton, né en 1975 (USA).
    Vit et travaille à Brooklyn.
    Stephen Felton, né en 1975 (USA).
    Vit et travaille à Brooklyn.
    Alessandra Matilde, née en Italie.
    Vit et travaille à New York.
    Alessandra Matilde, née en Italie.
    Vit et travaille à New York.
    Matthew McCaslin, né en 1957 (USA).
    Vit et travaille à Brooklyn.
    Matthew McCaslin, né en 1957 (USA).
    Vit et travaille à Brooklyn.
    Amy O’Neill, née en 1971 (USA).
    Vit et travaille à New York.
    Amy O’Neill, née en 1971 (USA).
    Vit et travaille à New York.
    Tilman, né en 1959 (Allemagne).
    Vit et travaille à Bruxelles et New York.
    Tilman, né en 1959 (Allemagne).
    Vit et travaille à Bruxelles et New York.
    Dan Walsh, né en 1960 (USA).
    Vit et travaille à New York.
    Représenté par Paula Cooper.
    Dan Walsh, né en 1960 (USA).
    Vit et travaille à New York.
    Représenté par Paula Cooper.
    Lars Wolter, né en 1969 (Allemagne).
    Vit et travaille à Mönchengladbach.
    Lars Wolter, né en 1969 (Allemagne).
    Vit et travaille à Mönchengladbach.
    Commissariat : Dan Walsh
    Commissariat : Dan Walsh
    La Salle de bains reçoit le soutien du Ministère de la Culture DRAC Auvergne-Rhône-Alpes,
    de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et de la Ville de Lyon.
    REVISITED1
    REVISITED2
    REVISITED6
    REVISITED5
    REVISITED3
    REVISITED8
    REVISITED7
    REVISITED4

    La Salle de bains

    1 rue Louis Vitet,

    69001 Lyon, France

    Ouverture

    du mercredi au samedi

    de 15h à 19h

    La Salle de Bains reçoit le soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, de la Ville de Lyon et du Ministère de la Culture - DRAC Auvergne-Rhône-Alpes.

    Elle est membre des réseaux AC//RA et ADELE.

    La Salle de bains est une association loi 1901 fondée par Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot en 1998 à Lyon.

    Les activités de La Salle de bains reposent sur la production d’œuvres, d’expositions, d’éditions d’artistes contemporains nationaux et internationaux de générations différentes, et d’événements liés de manière transversale à la programmation annuelle du lieu.

    La Salle de bains assure l’accès et l’accompagnement de cette programmation auprès de divers types de publics issus de son territoire d’implantation.

    Elle travaille au développement de réseaux et à la conception de projets.

    En 2008, la structure a déménagé du 56 de la rue Saint-Jean, située dans le centre historique de Lyon (5e arrondissement), au 27 de la rue Burdeau (1er arrondissement) sur les pentes de la Croix-Rousse.
    En 2016, La Salle de bains se déplace au 1 rue Louis Vitet dans le 1er arrondissement de Lyon. L’espace se propose comme un lieu de convergence et de redéploiement d’une activité élargie hors du cadre de l’exposition.


    La direction artistique a successivement été confiée aux personnes suivantes :

    • 2025 : Julie Portier
    • 2024 : Pierre-Olivier Arnaud, Nadine Droste, Julie Portier
    • 2017 – 2023 : Pierre-Olivier Arnaud et Julie Portier
    • 2016 – 2017 : Armando Andrade Tudela, Elsa Audouin, Pierre-Olivier Arnaud, Magalie Meunier, Julie Portier
    • 2013 – 2016 : Caroline Soyez-Petithomme
    • 2009 – 2013 : Caroline Soyez-Petithomme et Jill Gasparina
    • 2004 – 2008 : Olivier Vadrot et Vincent Pécoil
    • 2002 – 2003 : Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot
    • 1999 – 2001 : Olivier Vadrot, Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue

    Crédits — Mentions légales

    Crédits

    Le site web a été conçu et réalisé en 2022 par l’atelier Diakité x Comerro.
    Design graphique : Lucie Comerro
    Programmation informatique : Samuel Diakité
    Interface : CMS Extra Backoff (Système de Gestion de Contenu initié en 2011 par Samuel Diakité)
    Font : Brut Grotesque, Bureau Brut

    La refonte du site web et son identité s’inscrivent dans le prolongement de la précédente version réalisée en 2016 par Elsa Audouin et l’équipe de La Salle de bains.

    Mentions légales

    Le présent site est la propriété de l’association « La Salle de bains » , établissement privé situé au 1 rue Louis Vitet 69001 Lyon (France) - Courriel : infos@lasalledebains.net.

    La directrice de la publication du site Web est Madame Agathe Chevallier en qualité de coordinatrice.

    Ce site Web a été designé par la graphiste, Lucie Comerro (Courriel : lucie.comerro@gmail.com - Site Web : https://comerro-studio.com/), et programmé informatiquement par Samuel Diakité (Courriel : sdiakite@extrafine.fr).

    Ce site Web est hébergé par la société OVH située, 2 rue Kellermann - 59100 Roubaix (France) Tél : +33(0) 9 72 10 10 07 ou 1007, Site Web : http://ovh.com/fr/support.

    Le présent site s’appuie sur la solution ExtraBackoff et utilise exclusivement des technologies et des scripts open source. Les images et photographies sont la propriété exclusive de l’association La Salle de bains ou des ayants-droits au titre d’auteurs, et ne sont pas libres de droit.

    L’internaute du site Web « lasalledebains.net » reconnaît disposer de la compétence et des moyens nécessaires pour accéder et utiliser ce site. Il reconnaît également avoir vérifié que la configuration informatique utilisée ne contient aucun virus et qu’elle est en parfait état de fonctionnement. Enfin, l’internaute reconnaît également avoir pris connaissance de la présente notice légale et s’engage à la respecter.

    L’accès au site Web ainsi que son utilisation du Site impliquent l’acceptation sans réserve ni restriction de ses présentes conditions d’utilisation.
    Si vous n’acceptez pas ses présentes conditions d’utilisation, nous vous prions de quitter immédiatement ce site.

    En conformité avec les dispositions de la loi du 6 janvier 1978 modifiée relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, le traitement automatisé des données nominatives réalisées à partir du site Web « lasalledebains.net » n’a pas à faire l’objet de déclaration auprès de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) en vertu de la dispense de déclaration n°7 (J.O. n°128 du 3 juin 2006).

    L’internaute est informé que lors de ses visites sur le site, un cookie peut s’installer automatiquement sur son logiciel de navigation. Un cookie est un élément qui ne permet pas d’identifier l’internaute mais sert à enregistrer des informations relatives à la navigation de celui-ci sur le site Web. Le paramétrage de votre logiciel de navigation permet d’informer de la présence de cookies et éventuellement de la refuser selon la procédure décrite à l’adresse suivante : www.cnil.fr.


    Le site Web « lasalledebains.net » utilise le service d’analyse d’audience « Matomo » qui utilise des « cookies » permettant d’analyser la façon dont les internautes d’utilisent le site Web « lasalledebains.net ». Les informations générées par les cookies sont stockées sur le serveur de La Salle de bains et ne sont pas communiquées à des tiers.

    Sur la base du premier paragraphe de l’article 6 du Règlement général sur la protection des données (RGPD), La Salle de bains a un intérêt légitime à analyser le comportement des utilisateurs afin d’optimiser le site Web « lasalledebains.net » et sa publicité.

    Cependant, vous avez la possibilité d’empêcher la collecte et le stockage de vos données au sein de la configuration de votre navigateur Web.


    L’internaute dispose d’un droit d’accès, de modification, de rectification et de suppression des données qui le concernent (article 38 et suivants de la loi « Informatique et Libertés »). Pour l’exercer, l’internaute peut s’adresser à l’association La Salle de bains (voir au début de ce présent document).

    La Salle de bains intègre pleinement les exigences strictes des autorités françaises et européennes en matière de protection des données lors de l’utilisation des différents services cités précédemment.

    Toute reproduction ou représentation totale ou partielle de ce site (textes et images) par quelque procédé que ce soit, sans l’autorisation expresse de La Salle de bains, ou de ses représentants légaux est interdite et constituerait une contre façon sanctionnée par les articles L335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

    Les bases de données figurant sur le site Web sont protégées par les dispositions de la loi du 11 juillet 1998 portant transposition dans le Code de la propriété intellectuelle (CPI) de la directive européenne du 11 mars 1996 relative à la protection juridique des bases de données.
    Sont notamment interdites l’extraction et la réutilisation, quantitativement ou qualitativement substantielles, du contenu des bases de données contenues sur ce site Web. Tout contrevenant s’expose aux sanctions visées aux articles L343-1 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
    Les marques de l’association La Salle de bains et de ses partenaires, ainsi que les logos figurant sur le site sont des marques (semi-figuratives ou non) et sont déposées. Toute reproduction totale ou partielle de ces marques ou de ces logos effectuées à partir des éléments du site, est prohibée, au sens des articles L713-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

    Le site Web de La Salle de bains offre des liens vers d’autres sites Web ou d’autres ressources disponibles sur Internet. La Salle de bains ne dispose d’aucun moyen pour contrôler les sites en connexion avec son site Web. La Salle de bains ne répond pas de la disponibilité de tels sites et sources externes, ni ne la garantit. Elle ne peut être tenue pour responsable de tout dommage, de quelque nature que ce soit, résultant du contenu de ces sites ou sources externes, et notamment des informations, produits ou services qu’ils proposent, ou de tout usage qui peut être fait de ces éléments. Les risques liés à cette utilisation incombent pleinement à l’internaute, qui doit se conformer à leurs conditions d’utilisation.

    Les informations contenues sur ce site sont aussi précises que possibles et le site est périodiquement remis à jour, mais peut toutefois contenir des inexactitudes, des omissions ou des lacunes. Si vous constatez une lacune, erreur ou ce qui parait être un dysfonctionnement, merci de bien vouloir le signaler par email en décrivant le problème de la manière la plus précise possible (page posant problème, action déclenchante, type d’ordinateur et de navigateur utilisé, …). Tout contenu téléchargé se fait aux risques et périls de l’internaute et sous sa seule responsabilité. En conséquence, La Salle de bains ne saurait être tenu responsable d’un quelconque dommage subi par l’ordinateur de l’internaute ou d’une quelconque perte de données consécutives au téléchargement.

    La Salle de bains met en œuvre tous les moyens dont elle dispose, pour assurer une information fiable et une mise à jour fiable de son site Web. Toutefois, des erreurs ou omissions peuvent survenir. L’internaute devra donc s’assurer de l’exactitude des informations auprès de La Salle de bains, et signaler toutes modifications du site qu’il jugerait utile. La Salle de bains n’est en aucun cas responsable de l’utilisation faite de ces informations, et de tout préjudice direct ou indirect pouvant en découler.

    Nous remercions les internautes du site de nous faire part d’éventuelles omissions, erreurs, corrections, en nous contactant le cas échéant.