Passé 1
28 juin à 18h30
Lectures et discussion à "l'heure du yoga" avec 
Vidya Gastaldon autour de son roman Bleu Extase (art&fiction, 2025)

1994, une rave. Une jeune femme se retrouve prise dans une expérience initiatique. Elle se découvre au cœur d’un océan de perceptions.
 
En cours 3
21 juillet — 14 septembre 202521 July — 14 September 2025
studio d'été
Pendant ses vacances, la Salle de bains prête son espace à
Alexandre Caretti qui y installe son atelier

Sortie d'atelier du 11 au 13 septembre
 
En cours 4
2 août — 28 septembre 20252 August — 28 September 2025
Gina Proenza
RÊVE GÉNÉRALE 

à Treignac Projet (Corrèze) - Vernissage le 1er août
 
À venir 5
26 septembre — 22 novembre 202526 September — 22 November 2025
Gina Proenza


Vernissage le 25 septembre à 18h
 
À venir 6
5 décembre 2025 — 28 février 20265 December 2025 — 28 February 2026
Simon Dybbroe Møller
proposé par Benoît Lamy de la Chapelle

1 rue Louis Vitet — Lyon

Mercredi-Samedi, 15h-19h

    06/2009 Francis Baudevin, Anthea Hamilton, Mick Peter, Magali Reus, Jeffrey Valance Vérité Tropicale
    FRENVuesTexteDocuments
    Vérité Tropicale - Francis Baudevin,Anthea Hamilton,Mick Peter,Magali Reus,Jeffrey Valance
    Vérité Tropicale - Francis Baudevin,Anthea Hamilton,Mick Peter,Magali Reus,Jeffrey Valance
    Vérité Tropicale - Francis Baudevin,Anthea Hamilton,Mick Peter,Magali Reus,Jeffrey Valance
    Vérité Tropicale - Francis Baudevin,Anthea Hamilton,Mick Peter,Magali Reus,Jeffrey Valance
    Vérité Tropicale - Francis Baudevin,Anthea Hamilton,Mick Peter,Magali Reus,Jeffrey Valance
    Vérité Tropicale - Francis Baudevin,Anthea Hamilton,Mick Peter,Magali Reus,Jeffrey Valance
    Vérité Tropicale - Francis Baudevin,Anthea Hamilton,Mick Peter,Magali Reus,Jeffrey Valance

    Vérité Tropicale

    Du 6 juin au 4 juillet 2009From 6 June to 4 July 2009
    Hors les murs → Circuit, Lausanne

    Qu’il s’agisse de Warhol et ses superstars new-yorkaises, ou d’Eduardo Paolozzi, Richard Hamilton et leur science-fiction industrielle, l’art pop s’est appuyé d’emblée sur des mythologies toujours spécifiques et locales.

    « Vérité tropicale » est une exposition d’été, pensée à partir de l’une de ces mythologies pop, la pulsion exotique qui submergea l’Amérique d’après-guerre. Une dizaine d’années avant l’apparition du rock’n’roll, les célibataires américains adoptèrent l’escapism comme mode de vie, le dieu polynésien Tiki comme symbole de la libération sexuelle et du voyage, et l’exotica, un sous-genre d’easy-listening, devint la bande-son d’une génération bien décidée à s’amuser. Dans des décors vaguement inspirés de l’art océanien (dans sa version touristique), un cocktail trop fort à la main, cette génération s’inventa pour un temps un paradis urbain à l’érotisme agressif où l’été ne finissait jamais.

    ESCAPISM

    Edward Said décrivit déjà dans Orientalism un phénomène historique similaire, la manière,dont les artistes, les institutions, les idées reçues, et toutes sortes de discours autorisés, du guide de voyage aux romans populaires, ont forgé dès le XIXe siècle le mythe d’un Orient amalgamant tous les pays à l’est de l’Europe. Les industries culturelles ont ensuite fomenté une véritable guerre des mondes, entre l’exotisme latin, les turqueries, les rêves chinois, les mers caribéennes, le Brésil, et un Pacifique Sud, fantasmé comme une nouvelle Arcadie alors qu’il venait d’être le lieu de sanglants affrontements.

    L’exotica, condensé musical d’un ailleurs aussi flou que fascinant, fonctionne sur le même principe. Dans les disques de Les Baxter, Arthur Lyman ou de Martin Denny, les rythmes africains se mélangent aux sonorités asiatiques pour produire un lieu absolument fictionnel. C’est le fétiche exotique parfait, à la fois totalement inauthentique et absolument fascinant. L’orientalisme et le tropicalisme à sa suite, sont donc impensables hors de l’invention des techniques de reproduction et de diffusion de plus en plus massives depuis le début du XIXe siècle. Ce vaste espace imaginaire comprend aujourd’hui aussi bien les reproductions de La Femme au perroquet de Courbet, que les fonds d’écrans tropicaux, la mauvaise lounge, ou encore le récit des frasques des Happy Mondays partis enregistrer aux Bahamas et coulant leur label, le célèbre Factory Records.

    L’expostion reprend ce principe de mélange, et s’ancre dans ces représentations collectives, cette imagerie le plus souvent anonyme (même si Josef Albers a réalisé quelques pochettes pour Command Records). Le wall painting de Francis Baudevin (réalisé à partir de la pochette de Bongos Flutes Guitars de Los Admiradores) renvoie très clairement à cette abstraction d’exotisme portée par l’exotica. Anthea Hamilton réalise une scénographie qui donne à voir certaines de ces pochettes de disques. Magali Reus propose une série de sculptures en rapport à la mythologie pop des années 1980 (Miami-Californie), et réfléchit à la nature décorative d’un minimalisme utilisé désormais comme pur agrément dans les lieux de divertissement. Quant à l’écossais Mick Peter, qui a construit une grande partie de son travail sur la mise en scène des idées reçues, il renvoie l’exotisme à sa nature profondément commerciale et matériellement déceptive. Enfin, des œuvres de Jeffrey Vallance (qui est aussi un grand collectionneur de tiki art et de pop polynésien) viennent achever cette guerre des mondes et des imaginaires, avec des œuvres ancrées dans l’ère géographique océanienne.

    « Il faut vivre avec la culture qui fut, depuis l’enfance, la nôtre, et non pas la rejeter au nom d’une maturité définie par la seule mode. » (Richard Halloway)

    L’expression « Vérité tropicale » est également empruntée au titre de l’autobiographie du chanteur Caetano Veloso, qui y raconte comment l’avant-garde Tropicalia à la fin des sixties bouleversa la musique, l’avant-garde et la politique brésilienne d’un seul mouvement. Méfiant devant toutes les « garde-robes folkloriques » que la médiatisation de Tropicalia ne manquerait pas d’amener (mais la figure mythique de l’artiste pop, blanc, masculin, sophistiqué, cool n’est-elle pas elle aussi absolument folklorique ?), Veloso inventa pour son propre compte un mélange tropical, à la fois local et totalement pop, un modèle qui, oscillant entre la cannibalisation d’une culture importée et la fidélité à un héritage local perçu comme seul gage de l’authenticité de l’œuvre, fournit aujourd’hui un exemple inspirant d’appropriation culturelle réussie.

    Jill Gasparina
    Hors les murs → Circuit, Lausanne

    Qu’il s’agisse de Warhol et ses superstars new-yorkaises, ou d’Eduardo Paolozzi, Richard Hamilton et leur science-fiction industrielle, l’art pop s’est appuyé d’emblée sur des mythologies toujours spécifiques et locales.

    « Vérité tropicale » est une exposition d’été, pensée à partir de l’une de ces mythologies pop, la pulsion exotique qui submergea l’Amérique d’après-guerre. Une dizaine d’années avant l’apparition du rock’n’roll, les célibataires américains adoptèrent l’escapism comme mode de vie, le dieu polynésien Tiki comme symbole de la libération sexuelle et du voyage, et l’exotica, un sous-genre d’easy-listening, devint la bande-son d’une génération bien décidée à s’amuser. Dans des décors vaguement inspirés de l’art océanien (dans sa version touristique), un cocktail trop fort à la main, cette génération s’inventa pour un temps un paradis urbain à l’érotisme agressif où l’été ne finissait jamais.

    ESCAPISM

    Edward Said décrivit déjà dans Orientalism un phénomène historique similaire, la manière,dont les artistes, les institutions, les idées reçues, et toutes sortes de discours autorisés, du guide de voyage aux romans populaires, ont forgé dès le XIXe siècle le mythe d’un Orient amalgamant tous les pays à l’est de l’Europe. Les industries culturelles ont ensuite fomenté une véritable guerre des mondes, entre l’exotisme latin, les turqueries, les rêves chinois, les mers caribéennes, le Brésil, et un Pacifique Sud, fantasmé comme une nouvelle Arcadie alors qu’il venait d’être le lieu de sanglants affrontements.

    L’exotica, condensé musical d’un ailleurs aussi flou que fascinant, fonctionne sur le même principe. Dans les disques de Les Baxter, Arthur Lyman ou de Martin Denny, les rythmes africains se mélangent aux sonorités asiatiques pour produire un lieu absolument fictionnel. C’est le fétiche exotique parfait, à la fois totalement inauthentique et absolument fascinant. L’orientalisme et le tropicalisme à sa suite, sont donc impensables hors de l’invention des techniques de reproduction et de diffusion de plus en plus massives depuis le début du XIXe siècle. Ce vaste espace imaginaire comprend aujourd’hui aussi bien les reproductions de La Femme au perroquet de Courbet, que les fonds d’écrans tropicaux, la mauvaise lounge, ou encore le récit des frasques des Happy Mondays partis enregistrer aux Bahamas et coulant leur label, le célèbre Factory Records.

    L’expostion reprend ce principe de mélange, et s’ancre dans ces représentations collectives, cette imagerie le plus souvent anonyme (même si Josef Albers a réalisé quelques pochettes pour Command Records). Le wall painting de Francis Baudevin (réalisé à partir de la pochette de Bongos Flutes Guitars de Los Admiradores) renvoie très clairement à cette abstraction d’exotisme portée par l’exotica. Anthea Hamilton réalise une scénographie qui donne à voir certaines de ces pochettes de disques. Magali Reus propose une série de sculptures en rapport à la mythologie pop des années 1980 (Miami-Californie), et réfléchit à la nature décorative d’un minimalisme utilisé désormais comme pur agrément dans les lieux de divertissement. Quant à l’écossais Mick Peter, qui a construit une grande partie de son travail sur la mise en scène des idées reçues, il renvoie l’exotisme à sa nature profondément commerciale et matériellement déceptive. Enfin, des œuvres de Jeffrey Vallance (qui est aussi un grand collectionneur de tiki art et de pop polynésien) viennent achever cette guerre des mondes et des imaginaires, avec des œuvres ancrées dans l’ère géographique océanienne.

    « Il faut vivre avec la culture qui fut, depuis l’enfance, la nôtre, et non pas la rejeter au nom d’une maturité définie par la seule mode. » (Richard Halloway)

    L’expression « Vérité tropicale » est également empruntée au titre de l’autobiographie du chanteur Caetano Veloso, qui y raconte comment l’avant-garde Tropicalia à la fin des sixties bouleversa la musique, l’avant-garde et la politique brésilienne d’un seul mouvement. Méfiant devant toutes les « garde-robes folkloriques » que la médiatisation de Tropicalia ne manquerait pas d’amener (mais la figure mythique de l’artiste pop, blanc, masculin, sophistiqué, cool n’est-elle pas elle aussi absolument folklorique ?), Veloso inventa pour son propre compte un mélange tropical, à la fois local et totalement pop, un modèle qui, oscillant entre la cannibalisation d’une culture importée et la fidélité à un héritage local perçu comme seul gage de l’authenticité de l’œuvre, fournit aujourd’hui un exemple inspirant d’appropriation culturelle réussie.

    Jill Gasparina
    Vérité Tropicale_carton d'invitation
    Vérité Tropicale, 2009
    carton d'invitation
    Francis Baudevin, né en 1964 (Suisse).
    Vit et travaille à Genève.
    Représenté par Art Concept.
    Francis Baudevin, né en 1964 (Suisse).
    Vit et travaille à Genève.
    Représenté par Art Concept.
    Anthea Hamilton, née en 1978 (Angleterre).
    Vit et travaille à Londres.
    Représentée par Ibid Projects.
    Anthea Hamilton, née en 1978 (Angleterre).
    Vit et travaille à Londres.
    Représentée par Ibid Projects.
    Mick Peter, né en 1974 (Allemagne).
    Vit et travaille à Glasgow.
    Représenté par Crèvecœur.
    Mick Peter, né en 1974 (Allemagne).
    Vit et travaille à Glasgow.
    Représenté par Crèvecœur.
    Magali Reus, née en 1981 (Pays-Bas).
    Vit et travaille à Londres.
    Représentée par The Approach et Fons Welters.
    Magali Reus, née en 1981 (Pays-Bas).
    Vit et travaille à Londres.
    Représentée par The Approach et Fons Welters.
    Jeffrey Valance, né en 1955 (USA).
    Vit et travaille à Reseda (Californie).
    Représenté par Galerie Nathalie Obadia.
    Jeffrey Valance, né en 1955 (USA).
    Vit et travaille à Reseda (Californie).
    Représenté par Galerie Nathalie Obadia.

    Exposition présentée à CIRCUIT, Centre d’art contemporain (Lausanne) dans le cadre de la création contemporaine La belle voisine de Rhône-Alpes en Suisse.
    Elle a été initiée par la Région Rhône-Alpes et Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture.
     

    → Exposition au centre d'art Circuit, à Lausanne

    Exposition présentée à CIRCUIT, Centre d’art contemporain (Lausanne) dans le cadre de la création contemporaine La belle voisine de Rhône-Alpes en Suisse.
    Elle a été initiée par la Région Rhône-Alpes et Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture.
     

    → Exposition au centre d'art Circuit, à Lausanne

    La Salle de bains reçoit le soutien du Ministère de la Culture DRAC Auvergne-Rhône-Alpes,
    de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et de la Ville de Lyon.
    VERITE TROPICALE 6
    VERITE TROPICALE 4
    VERITE TROPICALE 5
    VERITE TROPICALE 3
    VERITE TROPICALE 1
    VERITE TROPICALE 7
    VERITE TROPICALE 2

    La Salle de bains

    1 rue Louis Vitet,

    69001 Lyon, France

    Ouverture

    du mercredi au samedi

    de 15h à 19h

    La Salle de Bains reçoit le soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, de la Ville de Lyon et du Ministère de la Culture - DRAC Auvergne-Rhône-Alpes.

    Elle est membre des réseaux AC//RA et ADELE.

    La Salle de bains est une association loi 1901 fondée par Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot en 1998 à Lyon.

    Les activités de La Salle de bains reposent sur la production d’œuvres, d’expositions, d’éditions d’artistes contemporains nationaux et internationaux de générations différentes, et d’événements liés de manière transversale à la programmation annuelle du lieu.

    La Salle de bains assure l’accès et l’accompagnement de cette programmation auprès de divers types de publics issus de son territoire d’implantation.

    Elle travaille au développement de réseaux et à la conception de projets.

    En 2008, la structure a déménagé du 56 de la rue Saint-Jean, située dans le centre historique de Lyon (5e arrondissement), au 27 de la rue Burdeau (1er arrondissement) sur les pentes de la Croix-Rousse.
    En 2016, La Salle de bains se déplace au 1 rue Louis Vitet dans le 1er arrondissement de Lyon. L’espace se propose comme un lieu de convergence et de redéploiement d’une activité élargie hors du cadre de l’exposition.


    La direction artistique a successivement été confiée aux personnes suivantes :

    • 2025 : Julie Portier
    • 2024 : Pierre-Olivier Arnaud, Nadine Droste, Julie Portier
    • 2017 – 2023 : Pierre-Olivier Arnaud et Julie Portier
    • 2016 – 2017 : Armando Andrade Tudela, Elsa Audouin, Pierre-Olivier Arnaud, Magalie Meunier, Julie Portier
    • 2013 – 2016 : Caroline Soyez-Petithomme
    • 2009 – 2013 : Caroline Soyez-Petithomme et Jill Gasparina
    • 2004 – 2008 : Olivier Vadrot et Vincent Pécoil
    • 2002 – 2003 : Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot
    • 1999 – 2001 : Olivier Vadrot, Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue

    Crédits — Mentions légales

    Crédits

    Le site web a été conçu et réalisé en 2022 par l’atelier Diakité x Comerro.
    Design graphique : Lucie Comerro
    Programmation informatique : Samuel Diakité
    Interface : CMS Extra Backoff (Système de Gestion de Contenu initié en 2011 par Samuel Diakité)
    Font : Brut Grotesque, Bureau Brut

    La refonte du site web et son identité s’inscrivent dans le prolongement de la précédente version réalisée en 2016 par Elsa Audouin et l’équipe de La Salle de bains.

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    La directrice de la publication du site Web est Madame Agathe Chevallier en qualité de coordinatrice.

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