

Sans Titre
Du 8 juillet au 25 septembre 1999From 8 July to 25 September 1999
L’inauguration de La Salle de bains se fait par la construction d’un labyrinthe. Laurent Pariente a dressé une série de couloirs et de portes à l’intérieur desquels le visiteur déambule comme il le ferait dans un appartement vide. Mais il s’agit ici d’un espace pur, parfaitement blanc et mat, qui échappe à toute détermination fonctionnelle. Le visiteur est enveloppé par l’œuvre qui se dérobe sans cesse à son regard. Et la craie qui recouvre les parois le marque au moindre faux-pas.
[PRESSE] Lyon Capitale, 8 septembre 1999
"Au début de ce mois de juillet, c’est en toute discrétion qu’un nouveau lieu d’exposition s’ouvrait à Lyon. Un drôle de nom pour un lieu décalé, la Salle de bains ne ressemblant en effet qu’à elle. Trois jeunes architectes sont à l’origine de cette histoire et ils ont su faire de leurs préoccupations autour de l’espace la singularité de leur programmation. Olivier Vadrot, Lionel Mazelaygue et Gwenaël Morin ont investi un petit bout de Saint-Jean, un appartement au rez-de-chaussée qu’éclaire juste la lumière de la cour ; par simplicité et par ironie aussi, ils n’ont gardé que la salle d’eau de l’ancienne habitation. Elle centre les quelques mètres carrés qu’ils mettent à la disposition des artistes. Le principe est simple, chaque invité investit l’espace, proposant une installation créée en fonction du lieu. Laurent Pariente, dont le travail repose principalement sur l’architecture, a brouillé complètement le regard. Les murs s’imposent et s’imbriquent sans aucune considération utilitaire. Fente de lumière, jeu de dédales aux blancs échos, il force les volumes à se redécouvrir".
Hauviette Bethemont
[PRESSE] Lyon Capitale, 8 septembre 1999
"Au début de ce mois de juillet, c’est en toute discrétion qu’un nouveau lieu d’exposition s’ouvrait à Lyon. Un drôle de nom pour un lieu décalé, la Salle de bains ne ressemblant en effet qu’à elle. Trois jeunes architectes sont à l’origine de cette histoire et ils ont su faire de leurs préoccupations autour de l’espace la singularité de leur programmation. Olivier Vadrot, Lionel Mazelaygue et Gwenaël Morin ont investi un petit bout de Saint-Jean, un appartement au rez-de-chaussée qu’éclaire juste la lumière de la cour ; par simplicité et par ironie aussi, ils n’ont gardé que la salle d’eau de l’ancienne habitation. Elle centre les quelques mètres carrés qu’ils mettent à la disposition des artistes. Le principe est simple, chaque invité investit l’espace, proposant une installation créée en fonction du lieu. Laurent Pariente, dont le travail repose principalement sur l’architecture, a brouillé complètement le regard. Les murs s’imposent et s’imbriquent sans aucune considération utilitaire. Fente de lumière, jeu de dédales aux blancs échos, il force les volumes à se redécouvrir".
Hauviette Bethemont
L’inauguration de La Salle de bains se fait par la construction d’un labyrinthe. Laurent Pariente a dressé une série de couloirs et de portes à l’intérieur desquels le visiteur déambule comme il le ferait dans un appartement vide. Mais il s’agit ici d’un espace pur, parfaitement blanc et mat, qui échappe à toute détermination fonctionnelle. Le visiteur est enveloppé par l’œuvre qui se dérobe sans cesse à son regard. Et la craie qui recouvre les parois le marque au moindre faux-pas.
[PRESSE] Lyon Capitale, 8 septembre 1999
"Au début de ce mois de juillet, c’est en toute discrétion qu’un nouveau lieu d’exposition s’ouvrait à Lyon. Un drôle de nom pour un lieu décalé, la Salle de bains ne ressemblant en effet qu’à elle. Trois jeunes architectes sont à l’origine de cette histoire et ils ont su faire de leurs préoccupations autour de l’espace la singularité de leur programmation. Olivier Vadrot, Lionel Mazelaygue et Gwenaël Morin ont investi un petit bout de Saint-Jean, un appartement au rez-de-chaussée qu’éclaire juste la lumière de la cour ; par simplicité et par ironie aussi, ils n’ont gardé que la salle d’eau de l’ancienne habitation. Elle centre les quelques mètres carrés qu’ils mettent à la disposition des artistes. Le principe est simple, chaque invité investit l’espace, proposant une installation créée en fonction du lieu. Laurent Pariente, dont le travail repose principalement sur l’architecture, a brouillé complètement le regard. Les murs s’imposent et s’imbriquent sans aucune considération utilitaire. Fente de lumière, jeu de dédales aux blancs échos, il force les volumes à se redécouvrir".
Hauviette Bethemont
[PRESSE] Lyon Capitale, 8 septembre 1999
"Au début de ce mois de juillet, c’est en toute discrétion qu’un nouveau lieu d’exposition s’ouvrait à Lyon. Un drôle de nom pour un lieu décalé, la Salle de bains ne ressemblant en effet qu’à elle. Trois jeunes architectes sont à l’origine de cette histoire et ils ont su faire de leurs préoccupations autour de l’espace la singularité de leur programmation. Olivier Vadrot, Lionel Mazelaygue et Gwenaël Morin ont investi un petit bout de Saint-Jean, un appartement au rez-de-chaussée qu’éclaire juste la lumière de la cour ; par simplicité et par ironie aussi, ils n’ont gardé que la salle d’eau de l’ancienne habitation. Elle centre les quelques mètres carrés qu’ils mettent à la disposition des artistes. Le principe est simple, chaque invité investit l’espace, proposant une installation créée en fonction du lieu. Laurent Pariente, dont le travail repose principalement sur l’architecture, a brouillé complètement le regard. Les murs s’imposent et s’imbriquent sans aucune considération utilitaire. Fente de lumière, jeu de dédales aux blancs échos, il force les volumes à se redécouvrir".
Hauviette Bethemont

Sans Titre, 1999
Affiche