






Photos : © La Salle de bains
Photos : © La Salle de bains
La maison commune
Du 1 novembre au 29 décembre 2001From 1 November to 29 December 2001
"Je dépense toute mon énergie à lutter contre la qualité de l’œuvre. Il ne faut pas viser l’amélioration, mais la dégradation. Il ne faut pas être mieux, il faut toujours être moins bien." Thomas Hirschhorn
Artiste, travailleur, soldat. Les murs blancs et vides, le peu, l’étriqué ne sont pas franchement son genre. Touffues, envahissantes, les œuvres de Thomas Hirschhorn sont à l’image de la complexité du monde, avec son déluge d’informations quotidiennes, ses points de vue multiples et contradictoires, ses connexions en chaîne. Hirschhorn est un hyperactif qui fuit l’esthétisme comme la peste. Son vocabulaire plastique, volontairement fruste - pages de livres ou de magazines enveloppées dans du plastique, photocopies d’articles, papier d’aluminium, cartons, sacs poubelles, contreplaqué... - traduit le pragmatisme de sa démarche et le sentiment d’urgence qui l’inspire.
Face aux incohérences sociales, à l’injustice, au déséquilibre des richesses, il a choisi de travailler "politiquement". Créer des liens entre différentes formes de pouvoir, exposer dans la rue comme dans les galeries ou les musées, s’opposer aux discours dominants, c’est travailler "politiquement". L’artiste mène un combat. "La beauté doit être une arme contre le capitalisme", dit-il.
Catherine Francblin, textes extraits de Beaux-Arts magazine numéro spécial "Qu’est-ce que l’art aujourd’hui?"
Artiste, travailleur, soldat. Les murs blancs et vides, le peu, l’étriqué ne sont pas franchement son genre. Touffues, envahissantes, les œuvres de Thomas Hirschhorn sont à l’image de la complexité du monde, avec son déluge d’informations quotidiennes, ses points de vue multiples et contradictoires, ses connexions en chaîne. Hirschhorn est un hyperactif qui fuit l’esthétisme comme la peste. Son vocabulaire plastique, volontairement fruste - pages de livres ou de magazines enveloppées dans du plastique, photocopies d’articles, papier d’aluminium, cartons, sacs poubelles, contreplaqué... - traduit le pragmatisme de sa démarche et le sentiment d’urgence qui l’inspire.
Face aux incohérences sociales, à l’injustice, au déséquilibre des richesses, il a choisi de travailler "politiquement". Créer des liens entre différentes formes de pouvoir, exposer dans la rue comme dans les galeries ou les musées, s’opposer aux discours dominants, c’est travailler "politiquement". L’artiste mène un combat. "La beauté doit être une arme contre le capitalisme", dit-il.
Catherine Francblin, textes extraits de Beaux-Arts magazine numéro spécial "Qu’est-ce que l’art aujourd’hui?"
"Je dépense toute mon énergie à lutter contre la qualité de l’œuvre. Il ne faut pas viser l’amélioration, mais la dégradation. Il ne faut pas être mieux, il faut toujours être moins bien." Thomas Hirschhorn
Artiste, travailleur, soldat. Les murs blancs et vides, le peu, l’étriqué ne sont pas franchement son genre. Touffues, envahissantes, les œuvres de Thomas Hirschhorn sont à l’image de la complexité du monde, avec son déluge d’informations quotidiennes, ses points de vue multiples et contradictoires, ses connexions en chaîne. Hirschhorn est un hyperactif qui fuit l’esthétisme comme la peste. Son vocabulaire plastique, volontairement fruste - pages de livres ou de magazines enveloppées dans du plastique, photocopies d’articles, papier d’aluminium, cartons, sacs poubelles, contreplaqué... - traduit le pragmatisme de sa démarche et le sentiment d’urgence qui l’inspire.
Face aux incohérences sociales, à l’injustice, au déséquilibre des richesses, il a choisi de travailler "politiquement". Créer des liens entre différentes formes de pouvoir, exposer dans la rue comme dans les galeries ou les musées, s’opposer aux discours dominants, c’est travailler "politiquement". L’artiste mène un combat. "La beauté doit être une arme contre le capitalisme", dit-il.
Catherine Francblin, textes extraits de Beaux-Arts magazine numéro spécial "Qu’est-ce que l’art aujourd’hui?"
Artiste, travailleur, soldat. Les murs blancs et vides, le peu, l’étriqué ne sont pas franchement son genre. Touffues, envahissantes, les œuvres de Thomas Hirschhorn sont à l’image de la complexité du monde, avec son déluge d’informations quotidiennes, ses points de vue multiples et contradictoires, ses connexions en chaîne. Hirschhorn est un hyperactif qui fuit l’esthétisme comme la peste. Son vocabulaire plastique, volontairement fruste - pages de livres ou de magazines enveloppées dans du plastique, photocopies d’articles, papier d’aluminium, cartons, sacs poubelles, contreplaqué... - traduit le pragmatisme de sa démarche et le sentiment d’urgence qui l’inspire.
Face aux incohérences sociales, à l’injustice, au déséquilibre des richesses, il a choisi de travailler "politiquement". Créer des liens entre différentes formes de pouvoir, exposer dans la rue comme dans les galeries ou les musées, s’opposer aux discours dominants, c’est travailler "politiquement". L’artiste mène un combat. "La beauté doit être une arme contre le capitalisme", dit-il.
Catherine Francblin, textes extraits de Beaux-Arts magazine numéro spécial "Qu’est-ce que l’art aujourd’hui?"

La maison commune, 2001
Affiche
Thomas Hirschhorn, né en 1957 (Suisse).
Vit et travaille à Aubervilliers.
Représenté par Chantal Crousel, Gladstone.
Vit et travaille à Aubervilliers.
Représenté par Chantal Crousel, Gladstone.
Thomas Hirschhorn, né en 1957 (Suisse).
Vit et travaille à Aubervilliers.
Représenté par Chantal Crousel, Gladstone.
Vit et travaille à Aubervilliers.
Représenté par Chantal Crousel, Gladstone.