




Tell The Children
Du 3 avril au 9 juin 2012From 3 April to 9 June 2012
Tell The Children/Abstraction pour enfants est une exposition collective qui rassemble les œuvres de dix-neuf artistes originaires de Suisse, des Etats-Unis et du Royaume-Uni.
La présente exposition fait écho à « Paintings for Children » (peintures pour enfants) réalisée par Andy Warhol en 1983 à la galerie Bischofberger à Zürich. À propos de cette exposition, le galeriste Bruno Bischofberger explique : «En 1982, j’ai demandé à Warhol de créer un ensemble de petites œuvres pour enfants. Andy répondit par les Toy Paintings que j’ai ensuite exposés dans ma galerie, à Zurich, en 1983. Andy avait dessiné un papier peint de poissons argentés nageant sur un fond bleu, la galerie ressemblait donc à un aquarium. Les peintures étaient accrochées à hauteur d’yeux pour des enfants de 3 à 5 ans. Les adultes devaient se plier pour les examiner de plus près, c’était donc l’inverse de ma situation au musée où je devais, habituellement, porter mes petits enfants pour qu’ils puissent regarder les peintures. Nous avions même été jusqu’à rendre l’entrée payante pour les adultes qui n’étaient pas accompagnés d’enfants de moins de six ans, les bénéfices avaient été ensuite reversés à une association caritative suisse pour l’enfance.»
Trente ans plus tard, Tell the Children/Abstraction pour enfants sonne comme un clin d’œil amusé à l’exposition qu’organisa Andy Warhol avec la complicité de son galeriste. À la Salle de bains, en 2012, les peintures ne sont plus des œuvres Pop mais des peintures abstraites. Cependant, le principe d’accrochage est resté le même : des peintures de petit ou moyen format, accrochées à hauteur d’enfant sur un papier peint. Concernant ce dernier, son motif «aquarium» dessiné par Warhol a cédé la place, dans la grande salle, aux rayures bleues du papier peint Moulinsart de Francis Baudevin1 et, dans la petite salle, aux étoiles blanches sur fond rouge et noir de Richard Kirwan.
Tell the Children/Abstraction pour enfants peut se lire autant comme une installation, une œuvre à part entière, qu’une carte blanche donnée à l’artiste Francis Baudevin. Elle offre ainsi un large panel de réflexions sur la peinture abstraite aujourd’hui et sur les influences réciproques qu’elle entretient avec le graphisme, le design industriel ou la bande dessinée. L’effet optique des lés de papier peint qui ne couvrent qu’une partie de la hauteur du mur évoque l’univers domestique et réduit l’espace d’exposition à un monde à petite échelle, à portée de main, soulignant ainsi la proximité de ces formes abstraites avec certains objets qui forment notre environnement visuel quotidien. Dessiné par Max Bill, le tabouret Ulmer Hocker, disposé au milieu de la salle principale, assure la transition ou le changement d’échelle ; Il permet aux adultes d’adopter le point de vue privilégié qui a été donné, ici, aux enfants.
Quel enfant n’a jamais rêvé d’entrer dans un livre, de pouvoir s’immerger au cœur d’un conte ou d’une bande dessinée ? Qui n’a jamais rêvé d’entrer dans une image ou dans une peinture ? De faire partie du décor voire de l’histoire, de pouvoir en changer le cours ou, simplement, d’expérimenter un imaginaire que l’on fait sien? Par un clin d’œil à sa pratique artistique autant qu’au désir d’interaction créative propre à l’enfance, Baudevin rétablit a posteriori un rapport enfantin à l’Abstraction. Reconstitution d’un moment personnellement vécu, fantasmé ou idéalisé, l’exposition propose une expérience trop souvent inédite pour les enfants, par opposition à la régression ou «effet Disney» souvent proposé aux adultes, notamment via l’agrandissement de certains objets (comme le proposent les sculptures POP, celles de Claes Oldenburg notamment).
L’exposition de Francis Baudevin laisse les adultes à distance, à eux de s’abaisser, les seuls spectateurs (réellement impliqués dans cette représentation) étant, pour une fois, les enfants !
Baudevin met ainsi la peinture abstraite géométrique, essentiellement suisse - la sienne et celle de ses amis et contemporains - à hauteur d’enfant, pour leur confort et pour qu’ils puissent pleinement profiter de ce premier regard - celui qui n’est pas ou pas encore culturellement formaté - et qui permet de voir des choses qu’adulte nous ne voyons plus. Métaphoriquement, il s’agit ici de retrouver ses yeux d’enfants, de renouer avec ce présupposé âge d’or et, par là même, de désapprendre pour mieux (ré)apprendre à regarder l’Abstraction.
→ Débat critique sur Tell the children à La Salle de bains et Chiharu Shiota à la Sucrière, Les rendez-vous de la création contemporaine :
https://rdvcreation.files.wordpress.com/2012/05/rdvcc-s03-e31-22-mai-12-dc3a9bat-critique-salle-de-bain-sucric3a8re.mp3
La présente exposition fait écho à « Paintings for Children » (peintures pour enfants) réalisée par Andy Warhol en 1983 à la galerie Bischofberger à Zürich. À propos de cette exposition, le galeriste Bruno Bischofberger explique : «En 1982, j’ai demandé à Warhol de créer un ensemble de petites œuvres pour enfants. Andy répondit par les Toy Paintings que j’ai ensuite exposés dans ma galerie, à Zurich, en 1983. Andy avait dessiné un papier peint de poissons argentés nageant sur un fond bleu, la galerie ressemblait donc à un aquarium. Les peintures étaient accrochées à hauteur d’yeux pour des enfants de 3 à 5 ans. Les adultes devaient se plier pour les examiner de plus près, c’était donc l’inverse de ma situation au musée où je devais, habituellement, porter mes petits enfants pour qu’ils puissent regarder les peintures. Nous avions même été jusqu’à rendre l’entrée payante pour les adultes qui n’étaient pas accompagnés d’enfants de moins de six ans, les bénéfices avaient été ensuite reversés à une association caritative suisse pour l’enfance.»
Trente ans plus tard, Tell the Children/Abstraction pour enfants sonne comme un clin d’œil amusé à l’exposition qu’organisa Andy Warhol avec la complicité de son galeriste. À la Salle de bains, en 2012, les peintures ne sont plus des œuvres Pop mais des peintures abstraites. Cependant, le principe d’accrochage est resté le même : des peintures de petit ou moyen format, accrochées à hauteur d’enfant sur un papier peint. Concernant ce dernier, son motif «aquarium» dessiné par Warhol a cédé la place, dans la grande salle, aux rayures bleues du papier peint Moulinsart de Francis Baudevin1 et, dans la petite salle, aux étoiles blanches sur fond rouge et noir de Richard Kirwan.
Tell the Children/Abstraction pour enfants peut se lire autant comme une installation, une œuvre à part entière, qu’une carte blanche donnée à l’artiste Francis Baudevin. Elle offre ainsi un large panel de réflexions sur la peinture abstraite aujourd’hui et sur les influences réciproques qu’elle entretient avec le graphisme, le design industriel ou la bande dessinée. L’effet optique des lés de papier peint qui ne couvrent qu’une partie de la hauteur du mur évoque l’univers domestique et réduit l’espace d’exposition à un monde à petite échelle, à portée de main, soulignant ainsi la proximité de ces formes abstraites avec certains objets qui forment notre environnement visuel quotidien. Dessiné par Max Bill, le tabouret Ulmer Hocker, disposé au milieu de la salle principale, assure la transition ou le changement d’échelle ; Il permet aux adultes d’adopter le point de vue privilégié qui a été donné, ici, aux enfants.
Quel enfant n’a jamais rêvé d’entrer dans un livre, de pouvoir s’immerger au cœur d’un conte ou d’une bande dessinée ? Qui n’a jamais rêvé d’entrer dans une image ou dans une peinture ? De faire partie du décor voire de l’histoire, de pouvoir en changer le cours ou, simplement, d’expérimenter un imaginaire que l’on fait sien? Par un clin d’œil à sa pratique artistique autant qu’au désir d’interaction créative propre à l’enfance, Baudevin rétablit a posteriori un rapport enfantin à l’Abstraction. Reconstitution d’un moment personnellement vécu, fantasmé ou idéalisé, l’exposition propose une expérience trop souvent inédite pour les enfants, par opposition à la régression ou «effet Disney» souvent proposé aux adultes, notamment via l’agrandissement de certains objets (comme le proposent les sculptures POP, celles de Claes Oldenburg notamment).
L’exposition de Francis Baudevin laisse les adultes à distance, à eux de s’abaisser, les seuls spectateurs (réellement impliqués dans cette représentation) étant, pour une fois, les enfants !
Baudevin met ainsi la peinture abstraite géométrique, essentiellement suisse - la sienne et celle de ses amis et contemporains - à hauteur d’enfant, pour leur confort et pour qu’ils puissent pleinement profiter de ce premier regard - celui qui n’est pas ou pas encore culturellement formaté - et qui permet de voir des choses qu’adulte nous ne voyons plus. Métaphoriquement, il s’agit ici de retrouver ses yeux d’enfants, de renouer avec ce présupposé âge d’or et, par là même, de désapprendre pour mieux (ré)apprendre à regarder l’Abstraction.
→ Débat critique sur Tell the children à La Salle de bains et Chiharu Shiota à la Sucrière, Les rendez-vous de la création contemporaine :
https://rdvcreation.files.wordpress.com/2012/05/rdvcc-s03-e31-22-mai-12-dc3a9bat-critique-salle-de-bain-sucric3a8re.mp3
Tell The Children is a group show which gathers paintings by 19 artists from Switzerland, the US and Great Britain. It takes as its starting point Andy Warhol’s "Paintings for Children", an exhibition held at Bruno Bischofberger in Zurich in 1983.
Regarding the exhibition Bischofberger explained : “In 1982 I asked him to create a group of small works for children. Andy responded with the Toy paintings, which I showed in my gallery in Zurich in 1983. Warhol designed wallpaper of silver fish swimming on a blue background which made the gallery look like an aquarium, and the paintings were hung at eye level for three- to five-year-old children. Adults had to squat to examine the paintings closely, the opposite of me having to lift up my little children when looking at paintings in museums. We even went so far as to charge an entry fee for adults not accompanied by children under six, the proceeds being donated to a Swiss children‘s charity.”
30 years later Tell the Children pays a playful tribute to Warhol's exhibition and his complicity with his Swiss dealer.
At La Salle de bains in 2012 the paintings are no longer pop but abstract. However the concept of the display remains: small or medium format paintings presented at a child height on a wallpaper whose Warholian “fish-ball” pattern has been replaced (in the main room) with Francis Baudevin’s Moulinsart wallpaper edition1. And in the smaller room with Richard Kirwan’s white stars on a black and red coloured background.
Tell the Children is an artwork, an installation as well as a carte blanche to Francis Baudevin. It proposes a large panel of contemporary abstract painting highlighting various influences like graphic or industrial design, and comics.
The visual effect of the wall paper covering half of the walls reminds us of domestic interiors and reduces the scale of the exhibition space, thus underlining the proximity of these abstract forms with some objects that belong to our everyday visual environment. “Ulmer Hocker” - Max Bill’s stool standing in the middle of the large room - proposes a scale transition by allowing adults to enjoy the privileged position that is left to children, here. What kid has never dreamt to enter a book, to emerge in a story or a comic? to enter into an image or a painting? to become part of the story and change it, or to simply experience an imagination /imaginarium? made one’s own.
In a playful and creative interaction to the public as well as to his pictorial practise, Baudevin invites each of us to go back to a more direct perception of Abstraction. Whether it finds its origins in the reconstitution of an experienced, fantasised or idealised moment, the exhibition proposes a rare and original experience to children when regressive or “Disney effect” experiences are often proposed to adults, via objects enlargement (as often in pop sculpture, such as Claes Oldenburg’s for example).
Leaving adults at a distance, this exhibition, curated by Francis Baudevin, intentionally focuses on a young audience. For once!
It presents (mainly Swiss) abstract paintings (by fellow artists) at a child height so that they be comfortably viewed and enjoyed by a young audience; their guileless appreciation allowing them to see what we no longer see or often miss as adults… It is an invitation to find our first glance again and through that, perhaps, to rediscover Abstraction.
Regarding the exhibition Bischofberger explained : “In 1982 I asked him to create a group of small works for children. Andy responded with the Toy paintings, which I showed in my gallery in Zurich in 1983. Warhol designed wallpaper of silver fish swimming on a blue background which made the gallery look like an aquarium, and the paintings were hung at eye level for three- to five-year-old children. Adults had to squat to examine the paintings closely, the opposite of me having to lift up my little children when looking at paintings in museums. We even went so far as to charge an entry fee for adults not accompanied by children under six, the proceeds being donated to a Swiss children‘s charity.”
30 years later Tell the Children pays a playful tribute to Warhol's exhibition and his complicity with his Swiss dealer.
At La Salle de bains in 2012 the paintings are no longer pop but abstract. However the concept of the display remains: small or medium format paintings presented at a child height on a wallpaper whose Warholian “fish-ball” pattern has been replaced (in the main room) with Francis Baudevin’s Moulinsart wallpaper edition1. And in the smaller room with Richard Kirwan’s white stars on a black and red coloured background.
Tell the Children is an artwork, an installation as well as a carte blanche to Francis Baudevin. It proposes a large panel of contemporary abstract painting highlighting various influences like graphic or industrial design, and comics.
The visual effect of the wall paper covering half of the walls reminds us of domestic interiors and reduces the scale of the exhibition space, thus underlining the proximity of these abstract forms with some objects that belong to our everyday visual environment. “Ulmer Hocker” - Max Bill’s stool standing in the middle of the large room - proposes a scale transition by allowing adults to enjoy the privileged position that is left to children, here. What kid has never dreamt to enter a book, to emerge in a story or a comic? to enter into an image or a painting? to become part of the story and change it, or to simply experience an imagination /imaginarium? made one’s own.
In a playful and creative interaction to the public as well as to his pictorial practise, Baudevin invites each of us to go back to a more direct perception of Abstraction. Whether it finds its origins in the reconstitution of an experienced, fantasised or idealised moment, the exhibition proposes a rare and original experience to children when regressive or “Disney effect” experiences are often proposed to adults, via objects enlargement (as often in pop sculpture, such as Claes Oldenburg’s for example).
Leaving adults at a distance, this exhibition, curated by Francis Baudevin, intentionally focuses on a young audience. For once!
It presents (mainly Swiss) abstract paintings (by fellow artists) at a child height so that they be comfortably viewed and enjoyed by a young audience; their guileless appreciation allowing them to see what we no longer see or often miss as adults… It is an invitation to find our first glance again and through that, perhaps, to rediscover Abstraction.
1. Ce papier reprend le motif des couvertures intérieures des albums de Tintin. Les portraits des personnages de la bande dessinée qui sont habituellement représentés sur ce motif de rayures bleues ont, en quelque sorte, été remplacés par d’autres vignettes que sont les peintures abstraites. Moulinsart, papier peint de Francis Baudevin, est une édition de Wallpapers by Artists (2008).
1. This wallpaper : “Moulinsart” was designed after the covers of “Tintin” comic books. The characters’ portraits that are usually printed on the blue lines pattern, being, somehow, replaced in the show by small format abstract paintings. It was designed by Francis Baudevin and edited by Wallpapers by Artists in 2008.

Tell The Children, 2012
carton d'invitation
Ian Anüll, né en 1948 (Suisse).
Vit et travaille à Zurich.
Représenté par Mai 36.
Vit et travaille à Zurich.
Représenté par Mai 36.
Ian Anüll, né en 1948 (Suisse).
Vit et travaille à Zurich.
Représenté par Mai 36.
Vit et travaille à Zurich.
Représenté par Mai 36.
John Armleder, né en 1948 (Suisse).
Vit et travaille à Genève.
Vit et travaille à Genève.
John Armleder, né en 1948 (Suisse).
Vit et travaille à Genève.
Vit et travaille à Genève.
Lisa Beck, née en 1958 (USA).
Vit et travaille à NYC.
Représentée par Feature Inc. et Lisa Ruyter.
Vit et travaille à NYC.
Représentée par Feature Inc. et Lisa Ruyter.
Lisa Beck, née en 1958 (USA).
Vit et travaille à NYC.
Représentée par Feature Inc. et Lisa Ruyter.
Vit et travaille à NYC.
Représentée par Feature Inc. et Lisa Ruyter.
Claudia Comte, née en 1983 (Suisse).
Vit et travaille à Berlin.
claudiacomte.ch
Vit et travaille à Berlin.
claudiacomte.ch
Claudia Comte, née en 1983 (Suisse).
Vit et travaille à Berlin.
claudiacomte.ch
Vit et travaille à Berlin.
claudiacomte.ch
Stéphane Dafflon, né en 1976 (Suisse).
Vit et travaille à Lausanne et Paris.
Représenté par Air de Paris.
Vit et travaille à Lausanne et Paris.
Représenté par Air de Paris.
Stéphane Dafflon, né en 1976 (Suisse).
Vit et travaille à Lausanne et Paris.
Représenté par Air de Paris.
Vit et travaille à Lausanne et Paris.
Représenté par Air de Paris.
Philippe Decrauzat, né en 1974 (Suisse).
Vit et travaille à Lausanne.
Représenté par Mehdi Chouakri.
Vit et travaille à Lausanne.
Représenté par Mehdi Chouakri.
Philippe Decrauzat, né en 1974 (Suisse).
Vit et travaille à Lausanne.
Représenté par Mehdi Chouakri.
Vit et travaille à Lausanne.
Représenté par Mehdi Chouakri.
Christian Floquet, né en 1961 (Suisse).
Vit et travaille à Genève.
Vit et travaille à Genève.
Christian Floquet, né en 1961 (Suisse).
Vit et travaille à Genève.
Vit et travaille à Genève.
Jacob Kassay, né en 1984 (USA).
Vit et travaille à New York.
Représenté par Eleven Rivington.
Vit et travaille à New York.
Représenté par Eleven Rivington.
Jacob Kassay, né en 1984 (USA).
Vit et travaille à New York.
Représenté par Eleven Rivington.
Vit et travaille à New York.
Représenté par Eleven Rivington.
Richard Kirwan, né en 1969 (Angleterre).
Vit et travaille à Londres.
Vit et travaille à Londres.
Richard Kirwan, né en 1969 (Angleterre).
Vit et travaille à Londres.
Vit et travaille à Londres.
Flora Klein, née en 1988 (Suisse).
Vit et travaille à Lausanne.
Vit et travaille à Lausanne.
Flora Klein, née en 1988 (Suisse).
Vit et travaille à Lausanne.
Vit et travaille à Lausanne.
Emil Michael Klein, né en 1982 (Allemagne).
Vit et travaille à Bâle.
Représenté par Gaudel de Stampa et Nicolas Krupp.
Vit et travaille à Bâle.
Représenté par Gaudel de Stampa et Nicolas Krupp.
Emil Michael Klein, né en 1982 (Allemagne).
Vit et travaille à Bâle.
Représenté par Gaudel de Stampa et Nicolas Krupp.
Vit et travaille à Bâle.
Représenté par Gaudel de Stampa et Nicolas Krupp.
Stéphane Kropf, né en 1979 (Suisse).
Vit et travaille à Lausanne.
Vit et travaille à Lausanne.
Stéphane Kropf, né en 1979 (Suisse).
Vit et travaille à Lausanne.
Vit et travaille à Lausanne.
Jean-Luc Manz, né en 1952 (Suisse).
Vit et travaille à Lausanne.
Représenté par Susanna Kulli.
Vit et travaille à Lausanne.
Représenté par Susanna Kulli.
Jean-Luc Manz, né en 1952 (Suisse).
Vit et travaille à Lausanne.
Représenté par Susanna Kulli.
Vit et travaille à Lausanne.
Représenté par Susanna Kulli.
Olivier Mosset, né en 1944 (Allemagne).
Vit et travaille à Tucson.
Représenté par Les Filles du Calvaire.
Vit et travaille à Tucson.
Représenté par Les Filles du Calvaire.
Olivier Mosset, né en 1944 (Allemagne).
Vit et travaille à Tucson.
Représenté par Les Filles du Calvaire.
Vit et travaille à Tucson.
Représenté par Les Filles du Calvaire.
Mai-Thu Perret, née en 1976 (Suisse).
Vit et travaille à Genève.
Vit et travaille à Genève.
Mai-Thu Perret, née en 1976 (Suisse).
Vit et travaille à Genève.
Vit et travaille à Genève.
John Tremblay, né en 1966 (USA).
Vit et travaille à New York.
Représenté par Triple V.
Vit et travaille à New York.
Représenté par Triple V.
John Tremblay, né en 1966 (USA).
Vit et travaille à New York.
Représenté par Triple V.
Vit et travaille à New York.
Représenté par Triple V.
Dan Walsh, né en 1960 (USA).
Vit et travaille à New York.
Représenté par Paula Cooper.
Vit et travaille à New York.
Représenté par Paula Cooper.
Dan Walsh, né en 1960 (USA).
Vit et travaille à New York.
Représenté par Paula Cooper.
Vit et travaille à New York.
Représenté par Paula Cooper.
Commissariat : Francis Baudevin et Caroline Soyez-Petithomme
Commissariat : Francis Baudevin et Caroline Soyez-Petithomme
La Salle de bains reçoit le soutien du Ministère de la Culture DRAC Auvergne-Rhône-Alpes,
de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et de la Ville de Lyon.
Tell The Children / Abstraction pour enfants a reçu le soutien de Pro Helvetia – Fondation suisse pour la culture.
de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et de la Ville de Lyon.
Tell The Children / Abstraction pour enfants a reçu le soutien de Pro Helvetia – Fondation suisse pour la culture.