Passé 1
28 juin à 18h30
Lectures et discussion à "l'heure du yoga" avec 
Vidya Gastaldon autour de son roman Bleu Extase (art&fiction, 2025)

1994, une rave. Une jeune femme se retrouve prise dans une expérience initiatique. Elle se découvre au cœur d’un océan de perceptions.
 
En cours 3
21 juillet — 14 septembre 202521 July — 14 September 2025
studio d'été
Pendant ses vacances, la Salle de bains prête son espace à
Alexandre Caretti qui y installe son atelier

Sortie d'atelier du 11 au 13 septembre
 
En cours 4
2 août — 28 septembre 20252 August — 28 September 2025
Gina Proenza
RÊVE GÉNÉRALE 

à Treignac Projet (Corrèze) - Vernissage le 1er août
 
À venir 5
26 septembre — 22 novembre 202526 September — 22 November 2025
Gina Proenza


Vernissage le 25 septembre à 18h
 
À venir 6
5 décembre 2025 — 28 février 20265 December 2025 — 28 February 2026
Simon Dybbroe Møller
proposé par Benoît Lamy de la Chapelle

1 rue Louis Vitet — Lyon

Mercredi-Samedi, 15h-19h

    10/2015 Jagna Ciuchta AAAAHHH!!! Paris Internationale
    FRENVuesTexteDocuments
    AAAAHHH!!! Paris Internationale - Jagna Ciuchta
    AAAAHHH!!! Paris Internationale - Jagna Ciuchta
    AAAAHHH!!! Paris Internationale - Jagna Ciuchta
    AAAAHHH!!! Paris Internationale - Jagna Ciuchta
    AAAAHHH!!! Paris Internationale - Jagna Ciuchta
    AAAAHHH!!! Paris Internationale - Jagna Ciuchta
    AAAAHHH!!! Paris Internationale - Jagna Ciuchta
    AAAAHHH!!! Paris Internationale - Jagna Ciuchta
    AAAAHHH!!! Paris Internationale - Jagna Ciuchta
    AAAAHHH!!! Paris Internationale - Jagna Ciuchta

    AAAAHHH!!! Paris Internationale

    Du 20 au 24 octobre 2015From 20 to 24 October 2015
    Hors les murs AAAAHHH!!! Paris Internationale

    L’exposition de Jagna Ciuchta se déploie en all-over dans l’espace alloué à La Salle de bains par Paris Internationale. Elle est ponctuée par quatre peintures encadrées inédites.

    La composition murale s’organise comme les partitions d’une polyphonie, c’est-à-dire comme des éléments autonomes mais également conçus pour être combinés, pour se superposer et être joués simultanément. Les quatre peintures sont accrochées sur une peinture murale dont les motifs prolongent les dégradés au spray. En contre-point du mur blanc sur lequel se déploie la peinture murale et à l’opposé également de la conventionnelle toile qui accueille la peinture, les supports des quatre peintures encadrées eux ne sont pas des surfaces vierges mais des vues d’expositions vides.

    En somme, la photographie sert de fond à la peinture et inversement, comme s’il s’agissait de court-circuiter, d’interférer, de diférer ou d’anticiper la prise de vue photographique d’une œuvre ou d’une exposition — une dynamique qui traverse et anime toute l’œuvre de Jagna Ciuchta. Elle croise ainsi les pratiques de prédécesseurs comme par exemple Ernst Caramelle, Renée Lévi ou Katharina Grosse.

    Les peintures abstraites de Jagna Ciuchta font corps avec l’architecture et elles a eurent souvent à la surface d’images imprimées, assumant ainsi pleinement l’aspect ornemental et primaire de la peinture dès lors qu’elle est conçue pour s’insérer dans l’architecture ou telle qu’elle s’applique aussi ici de manière décorative autant que parasitaire à des représentations guratives. Les motifs de dégradés en diagonale qui rythment l’espace sont ici l’équivalent d’une signature et quoiqu’il en soit d’un geste pictural qui marque littéralement ces images appropriées que sont ces scénographies, ces lieux architecturaux, ces vues d’expositions en démontage.


    Par un jeu rhétorique de mise-en-abyme, quatre vues d’expositions peintes se répondent pour former elles-mêmes une tierce exposition prête à être photographiée, à engendrer des vues du présent espaces avec des œuvres qui, elles, ne représentent que des espaces d’exposition dont les œuvres sont absentes. Il est sans doute intrinsèquement et métaphoriquement question de la mi-temps d’un jeu, d’ellipses et de la rareté de l’expérience physique versus l’inextinguible surenchère de la photographie des œuvres ou des vues d’exposition ; autrement dit de tout ce que les évènements et occasions de contempler des œuvres d’art produisent d’images mais dont les œuvres ne sont pas tant l’objet principal que des éléments posant un décor à l’arrière-plan.

    L’esthétique documentaire ou archivistique et quelque peu solennelle des photographies noir et blanc et le système qui prévaut à leur apparition contrastent avec les aériens dégradés d’acrylique. Ces derniers laissent poindre le versant intuitif de l’œuvre et font d’une certaine manière écho au processus de sélection des expositions que l’artiste documente, puis des images qu’elle retient pour réaliser ses peintures. La précision des titres quant à elle scelle chacune des peintures dans une veine conceptuelle autant qu’elle révèle l’absurdité par exemple des nécessaires indexation et classification communes aux chercheurs et parfois aux artistes.

    Une attention amusément démesurée est donnée à cette information textuelle qu’est le titre accompagnant l’œuvre. Cela renvoie certes à la consistance historique de la documentation des expositions, au hic et nunc de l’œuvre et des expositions autant qu’à tous les intermédiaires et l’imbrication des rôles que sont ceux des commissaires ou scénographes dont les noms deviennent ici indissociables des œuvres. Le titre est donc également en filigrane le portrait d’un groupe, l’enregistrement d’un contexte élargi ou d’une situation qui accueille et rend visible l’œuvre. C’est une autre manière de signaler un glissement du champ de création de l’auteur ou des auteurs qui font l’exposition, un moyen de pointer la multiplication des intermédiaires ou des interprètes. ces titres ouvrent, concluent ou influent sur l’œuvre et ils créent un énième effet miroir dans cette exposition qui en rassemble d’autres.
    Jagna Ciuchta’s solo presentation unfolds all-over the space and is punctuated by four new framed paintings.

    The composition works as the scores of a polyphony, that is to say that it consists of autonomous elements which have also been conceived to be combined altogether, superimposed and simultaneously played. The four paintings are hung on a wall painting whose abstract spray patterns extend the shadings of the framed works. As a counter-point of the white wall for the mural painting, or of the usual blank canvas, the pictorial compositions of the four framed works are surprisingly supported by images — more precisely by photographic views of empty exhibitions.

    Therefore photography becomes the background of painting and reciprocally, in a way this short-cuts, interferes, and anticipates the inevitable shooting of the artwork or of the exhibition. This in fine logical dynamic irrigates Jagna Ciuchta’s whole artistic practice and thus echoes predecessors’ works like Ernst Caramelle, Renée Lévi or Katharina Grosse.

    Jagna Ciuchta’s abstract paintings establish various types of relationships with the architecture as a space or as a space of representation. Her paintings also often appear on the surface of printed images, parasiting and paradoxically decorating them, and when scattered on the walls and inserted to the architecture of the building, like in the current context, they reinforce and reclaim the very primary ornamental aspect of painting as a décor. The diagonal patterns create a whole visual rhythm and literally mark those images of empty scenographies which are by this painterly gesture appropriated by the artist.

    Throughout the rhetorical game of the mise-en-abyme, the four painted exhibition views form altogether a third exhibition but a rather incongruous one. Soon this new exhibition will also generate her own views featuring paintings on exhibition views but without artworks. Jagna Ciuchta’s work intrinsically deals with the notions of absence and ellipse, and with the idea of a half-time or a break coming in the middle of the game. The contemporary rareness of the physical experience is directly confronted to the inextinguishable one-upmanship regarding reproduction of artworks and exhibitions. By extension this wittily refers to the contemporary contemplation of artworks as being one of those manifold occasions to take photographs, but within which artworks don’t necessarily end being the main focus or subject of the picture but simply an element in the backdrop.

    The archival, documentary and solemn tone of the photographs and the rhetorical condition of their apparition contrast with the aerial shadings of spray paint. Like an endless loop, those patterns evoke the intuitive part of Jagna Ciuchta’s creation processes : first in the selection of the exhibitions that she has decided to document, and then in the selection amongst those views within which some of the images become a shell for her abstract paintings. The preciseness of each title aligns the works with conceptual art, while it also highlights the absurdity of the necessary indexation, is it for academic or scientific searchers as well as for certain artists.

    The amused attention given to the title and the excessive density of this textual information accompanied each work also refers to the historical dimension of any archival exhibition view, and also to the here and now of the artwork and of the exhibition. Titles here also record the expanded context of the exhibition underlining the intermediary actors and intertwined roles of the curators and scenographers, whose names here become indissociable from Jagna Ciuchta’s artworks. This points out the shift in the notion of author due to the multiplication of interprets involved in the making of the exhibition. Thus, titles play a key role reflecting the situation of the current exhibition which gather several exhibitions at one time and in one space, and where the artist concentrates all roles into one.
    Caroline Soyez-Petithomme
    Caroline Soyez-Petithomme
    AAAAHHH!!! Paris Internationale
    AAAAHHH!!! Paris Internationale, 2015
    Flyer
    La Salle de bains invitée par Paris Internationale 2015
    La Salle de bains invitée par Paris Internationale 2015
    La Salle de bains reçoit le soutien du Ministère de la Culture DRAC Auvergne-Rhône-Alpes,
    de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et de la Ville de Lyon.
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    La Salle de bains

    1 rue Louis Vitet,

    69001 Lyon, France

    Ouverture

    du mercredi au samedi

    de 15h à 19h

    La Salle de Bains reçoit le soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, de la Ville de Lyon et du Ministère de la Culture - DRAC Auvergne-Rhône-Alpes.

    Elle est membre des réseaux AC//RA et ADELE.

    La Salle de bains est une association loi 1901 fondée par Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot en 1998 à Lyon.

    Les activités de La Salle de bains reposent sur la production d’œuvres, d’expositions, d’éditions d’artistes contemporains nationaux et internationaux de générations différentes, et d’événements liés de manière transversale à la programmation annuelle du lieu.

    La Salle de bains assure l’accès et l’accompagnement de cette programmation auprès de divers types de publics issus de son territoire d’implantation.

    Elle travaille au développement de réseaux et à la conception de projets.

    En 2008, la structure a déménagé du 56 de la rue Saint-Jean, située dans le centre historique de Lyon (5e arrondissement), au 27 de la rue Burdeau (1er arrondissement) sur les pentes de la Croix-Rousse.
    En 2016, La Salle de bains se déplace au 1 rue Louis Vitet dans le 1er arrondissement de Lyon. L’espace se propose comme un lieu de convergence et de redéploiement d’une activité élargie hors du cadre de l’exposition.


    La direction artistique a successivement été confiée aux personnes suivantes :

    • 2025 : Julie Portier
    • 2024 : Pierre-Olivier Arnaud, Nadine Droste, Julie Portier
    • 2017 – 2023 : Pierre-Olivier Arnaud et Julie Portier
    • 2016 – 2017 : Armando Andrade Tudela, Elsa Audouin, Pierre-Olivier Arnaud, Magalie Meunier, Julie Portier
    • 2013 – 2016 : Caroline Soyez-Petithomme
    • 2009 – 2013 : Caroline Soyez-Petithomme et Jill Gasparina
    • 2004 – 2008 : Olivier Vadrot et Vincent Pécoil
    • 2002 – 2003 : Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot
    • 1999 – 2001 : Olivier Vadrot, Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue

    Crédits — Mentions légales

    Crédits

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    Programmation informatique : Samuel Diakité
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