Passé 3
28 juin à 18h30
Lectures et discussion à "l'heure du yoga" avec 
Vidya Gastaldon autour de son roman Bleu Extase (art&fiction, 2025)

1994, une rave. Une jeune femme se retrouve prise dans une expérience initiatique. Elle se découvre au cœur d’un océan de perceptions.
 
À venir 5
21 juillet — 14 septembre 202521 July — 14 September 2025
été studieux
Pendant ses vacances, la Salle de bains prête son espace à
Alexandre Caretti qui y installe son atelier d'été

Restitution en septembre (date à venir)
 
À venir 6
2 août — 21 septembre 20252 August — 21 September 2025
Gina Proenza
Saga 1 (Les pains)

à Treignac Projet (Corrèze) - Vernissage le 1er août
 
À venir 7
26 septembre — 22 novembre 202526 September — 22 November 2025
Gina Proenza
Saga 2 (Les loups)

Vernissage le 25 septembre à 18h
 
À venir 8
5 décembre 2025 — 28 février 20265 December 2025 — 28 February 2026
Simon Dybbroe Møller
proposé par Benoît Lamy de la Chapelle

1 rue Louis Vitet — Lyon

Mercredi-Samedi, 15h-19h

    06/2003 Claude Closky Arcade
    FRENVuesTexteDossier de presse
    Arcade - Claude Closky
    Arcade - Claude Closky
    Arcade - Claude Closky
    Arcade - Claude Closky
    Arcade - Claude Closky
    Arcade - Claude Closky
    Photos : © La Salle de bains
    Photos : © La Salle de bains

    Arcade

    Du 28 juin au 6 septembre 2003From 28 June to 6 September 2003
    Au centre de l’espace d’exposition de La Salle de Bains, Claude Closky présente sa dernière réalisation intitulée Arcade. Comme son nom l’indique, il s’agit d’un dispositif de jeux tels qu’on le trouve dans n’importe quel café. L’artiste propose plusieurs dizaines de jeux qui fonctionnent à partir d’un principe identique : il faut cliquer sur les couleurs qui rapportent le plus de points. Les vert, jaune, violet, rouge, et bleu(s) recouvrent des objets en totalité ou en partie.

    On trouve aussi bien des téléphones portables que des poubelles, ou des systèmes de représentation, comme la planisphère, la mire ou encore le réseau des lignes du RER d’Ile–de-France. Évidemment tous les jeux arborent un titre. Ces derniers reprennent parfois des termes publicitaires comme pour Douceur des Mains qui rassemble des flacons de liquide vaisselle. Parfois, ils sont plus simples, comme avec Pierres précieuses, appellation qui définit l’objet représenté et le jeu éponyme. Mais les titres se réfèrent également à des marques pour lesquelles l’association avec le produit est instantanée. C’est par exemple le cas du jeu Exacompta qui se réfère directement à la papeterie et pour lequel Closky a dessiné un classeur générique.

    Tous ses "objets"sont reconnaissables au premier coup d’œil. Six couleurs sont configurées de façon à symboliser des valeurs, mais, ce rapport est aléatoire car il est modifié à chaque nouvelle partie, qu’il s’agisse du même jeu ou d’un autre. Le joueur mémorise la couleur qui rapporte le plus de points et clique dessus avant qu’elle ne se déplace sur un autre objet ou sur une autre partie de l’image.

    L’objectif est d’accumuler le plus grand nombre de points et de voir figurer son nom au sommet de la liste des scores. Cependant, Arcade ne se limite pas à des jeux. En effet, après seulement 20 secondes d’inactivité, des "démos" prennent le relais. Ce laps de temps extrêmement court oblige le joueur à en prendre conscience et l’invite à les regarder.
    Alors que les démonstrations sont en général des incitations à glisser une pièce dans la fente et qu’elles sont bien moins exaltantes que le jeu, au contraire ici, elles constituent une véritable fin en soi. Afin d’en mesurer l’importance, écoutons la parole de Claude Closky : "Une partie de mon travail consiste à examiner des archétypes de formes et à les vider du sens qui leur est habituellement accolé. Plus les objets sont décoratifs, plus ce travail est aisé. Avec Arcade je mets ce procédé à l’épreuve. J’utilise des éléments inscrits dans notre quotidien, peu abstrait donc moins décoratifs, qui ne semblent pas interchangeables. Cependant, au final, c’est toujours et encore la notion d’équivalence entre la forme et la valeur qui est démantelée."

    Closky nous livre ici la clef de voûte de son travail. Il déhiérarchise volontairement tous les principes d’équivalence qui nous sont imposés continuellement. Pour ce faire, il opère à trois niveaux. En premier, il met en parallèle les jeux avec les démonstrations, comme si l’action du jeu était égale à l’aspect passif de la "démo" et que leur fonctionnement similaire leur octroyait de facto un statut identique. C’est exactement le même procédé qui régit les motifs variés des jeux et la profusion de ces derniers. Closky prend plaisir à perturber cette soi-disant liberté de choix. Il souligne la qualité aléatoire de Arcade. Ainsi, le joueur ne sait pas que sur les dizaines de jeux mis à sa disposition, seule une suite différente de quatorze est proposée sur l’écran à chaque nouvelle partie. S’il souhaite recommencer immédiatement le même jeu, ce dernier ne figure pas obligatoirement dans le nouveau menu. On pourrait presque croire que Arcade génère son propre système de gestion des jeux. Closky s’oppose au pseudo-choix prôné par les jeux d’arcade. Enfin, l’alternance constante entre des points, une teinte et un motif fait basculer la validité de tout système de correspondance. Dès lors, ce dernier devient grotesque. C’est ainsi que comme l’illustre le jeu Pierres précieuses, il vous faut cliquer sur une couleur-valeur toujours différente. En choisissant une pierre après l’autre, on ne peut que s’interroger sur la façon dont un signe se décode, puisque selon le contexte, la valeur oscille.

    La relation entre la couleur de la pierre et sa valeur finissent par disparaître complètement pour se transformer en motif décoratif. Arcade montre l’impossibilité du rapport d’une valeur avec une couleur. Cette question est fondamentale pour comprendre l’œuvre de Closky. Elle problématise quantité de ses travaux, et pour n’en citer qu’un récent, arrêtons-nous sur Les Euros ; une série de photographies de billets qui se chevauchent et dont les montants de chaque coupure sont additionnés pour former un total différent écrit à la main directement sur l’image. À l’identique avec Arcade, un tel décalage entre la valeur et sa représentation est défi nitoire. Ce principe dépasse le cadre de l’œuvre et s’applique à notre façon de penser et d’appréhender le monde. Il a pour effet d’éradiquer ou, tout du moins, d’ébranler des systèmes de correspondance qui nourrissent l’idée toute faite comme quoi la forme est irréductiblement liée à une signification. Une telle récurrence cisèle une composition quasiment picturale.

    Alexandra Midal
    Au centre de l’espace d’exposition de La Salle de Bains, Claude Closky présente sa dernière réalisation intitulée Arcade. Comme son nom l’indique, il s’agit d’un dispositif de jeux tels qu’on le trouve dans n’importe quel café. L’artiste propose plusieurs dizaines de jeux qui fonctionnent à partir d’un principe identique : il faut cliquer sur les couleurs qui rapportent le plus de points. Les vert, jaune, violet, rouge, et bleu(s) recouvrent des objets en totalité ou en partie.

    On trouve aussi bien des téléphones portables que des poubelles, ou des systèmes de représentation, comme la planisphère, la mire ou encore le réseau des lignes du RER d’Ile–de-France. Évidemment tous les jeux arborent un titre. Ces derniers reprennent parfois des termes publicitaires comme pour Douceur des Mains qui rassemble des flacons de liquide vaisselle. Parfois, ils sont plus simples, comme avec Pierres précieuses, appellation qui définit l’objet représenté et le jeu éponyme. Mais les titres se réfèrent également à des marques pour lesquelles l’association avec le produit est instantanée. C’est par exemple le cas du jeu Exacompta qui se réfère directement à la papeterie et pour lequel Closky a dessiné un classeur générique.

    Tous ses "objets"sont reconnaissables au premier coup d’œil. Six couleurs sont configurées de façon à symboliser des valeurs, mais, ce rapport est aléatoire car il est modifié à chaque nouvelle partie, qu’il s’agisse du même jeu ou d’un autre. Le joueur mémorise la couleur qui rapporte le plus de points et clique dessus avant qu’elle ne se déplace sur un autre objet ou sur une autre partie de l’image.

    L’objectif est d’accumuler le plus grand nombre de points et de voir figurer son nom au sommet de la liste des scores. Cependant, Arcade ne se limite pas à des jeux. En effet, après seulement 20 secondes d’inactivité, des "démos" prennent le relais. Ce laps de temps extrêmement court oblige le joueur à en prendre conscience et l’invite à les regarder.
    Alors que les démonstrations sont en général des incitations à glisser une pièce dans la fente et qu’elles sont bien moins exaltantes que le jeu, au contraire ici, elles constituent une véritable fin en soi. Afin d’en mesurer l’importance, écoutons la parole de Claude Closky : "Une partie de mon travail consiste à examiner des archétypes de formes et à les vider du sens qui leur est habituellement accolé. Plus les objets sont décoratifs, plus ce travail est aisé. Avec Arcade je mets ce procédé à l’épreuve. J’utilise des éléments inscrits dans notre quotidien, peu abstrait donc moins décoratifs, qui ne semblent pas interchangeables. Cependant, au final, c’est toujours et encore la notion d’équivalence entre la forme et la valeur qui est démantelée."

    Closky nous livre ici la clef de voûte de son travail. Il déhiérarchise volontairement tous les principes d’équivalence qui nous sont imposés continuellement. Pour ce faire, il opère à trois niveaux. En premier, il met en parallèle les jeux avec les démonstrations, comme si l’action du jeu était égale à l’aspect passif de la "démo" et que leur fonctionnement similaire leur octroyait de facto un statut identique. C’est exactement le même procédé qui régit les motifs variés des jeux et la profusion de ces derniers. Closky prend plaisir à perturber cette soi-disant liberté de choix. Il souligne la qualité aléatoire de Arcade. Ainsi, le joueur ne sait pas que sur les dizaines de jeux mis à sa disposition, seule une suite différente de quatorze est proposée sur l’écran à chaque nouvelle partie. S’il souhaite recommencer immédiatement le même jeu, ce dernier ne figure pas obligatoirement dans le nouveau menu. On pourrait presque croire que Arcade génère son propre système de gestion des jeux. Closky s’oppose au pseudo-choix prôné par les jeux d’arcade. Enfin, l’alternance constante entre des points, une teinte et un motif fait basculer la validité de tout système de correspondance. Dès lors, ce dernier devient grotesque. C’est ainsi que comme l’illustre le jeu Pierres précieuses, il vous faut cliquer sur une couleur-valeur toujours différente. En choisissant une pierre après l’autre, on ne peut que s’interroger sur la façon dont un signe se décode, puisque selon le contexte, la valeur oscille.

    La relation entre la couleur de la pierre et sa valeur finissent par disparaître complètement pour se transformer en motif décoratif. Arcade montre l’impossibilité du rapport d’une valeur avec une couleur. Cette question est fondamentale pour comprendre l’œuvre de Closky. Elle problématise quantité de ses travaux, et pour n’en citer qu’un récent, arrêtons-nous sur Les Euros ; une série de photographies de billets qui se chevauchent et dont les montants de chaque coupure sont additionnés pour former un total différent écrit à la main directement sur l’image. À l’identique avec Arcade, un tel décalage entre la valeur et sa représentation est défi nitoire. Ce principe dépasse le cadre de l’œuvre et s’applique à notre façon de penser et d’appréhender le monde. Il a pour effet d’éradiquer ou, tout du moins, d’ébranler des systèmes de correspondance qui nourrissent l’idée toute faite comme quoi la forme est irréductiblement liée à une signification. Une telle récurrence cisèle une composition quasiment picturale.

    Alexandra Midal
    Arcade
    Arcade, 2003
    carton d'invitation
    Claude Closky, né en 1963 (France)
    Vit et travaille à Paris
    sittes.net
    Claude Closky, né en 1963 (France)
    Vit et travaille à Paris
    sittes.net
    La Salle de bains reçoit le soutien du Ministère de la Culture DRAC Auvergne-Rhône-Alpes,
    de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et de la Ville de Lyon.
    Arcade
    claude_closky_arcade_01
    claude_closky_arcade_08
    claude_closky_arcade_12
    claude_closky_arcade_14
    claude_closky_arcade_00

    La Salle de bains

    1 rue Louis Vitet,

    69001 Lyon, France

    Ouverture

    du mercredi au samedi

    de 15h à 19h

    La Salle de Bains reçoit le soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, de la Ville de Lyon et du Ministère de la Culture - DRAC Auvergne-Rhône-Alpes.

    Elle est membre des réseaux AC//RA et ADELE.

    La Salle de bains est une association loi 1901 fondée par Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot en 1998 à Lyon.

    Les activités de La Salle de bains reposent sur la production d’œuvres, d’expositions, d’éditions d’artistes contemporains nationaux et internationaux de générations différentes, et d’événements liés de manière transversale à la programmation annuelle du lieu.

    La Salle de bains assure l’accès et l’accompagnement de cette programmation auprès de divers types de publics issus de son territoire d’implantation.

    Elle travaille au développement de réseaux et à la conception de projets.

    En 2008, la structure a déménagé du 56 de la rue Saint-Jean, située dans le centre historique de Lyon (5e arrondissement), au 27 de la rue Burdeau (1er arrondissement) sur les pentes de la Croix-Rousse.
    En 2016, La Salle de bains se déplace au 1 rue Louis Vitet dans le 1er arrondissement de Lyon. L’espace se propose comme un lieu de convergence et de redéploiement d’une activité élargie hors du cadre de l’exposition.


    La direction artistique a successivement été confiée aux personnes suivantes :

    • 2025 : Julie Portier
    • 2024 : Pierre-Olivier Arnaud, Nadine Droste, Julie Portier
    • 2017 – 2023 : Pierre-Olivier Arnaud et Julie Portier
    • 2016 – 2017 : Armando Andrade Tudela, Elsa Audouin, Pierre-Olivier Arnaud, Magalie Meunier, Julie Portier
    • 2013 – 2016 : Caroline Soyez-Petithomme
    • 2009 – 2013 : Caroline Soyez-Petithomme et Jill Gasparina
    • 2004 – 2008 : Olivier Vadrot et Vincent Pécoil
    • 2002 – 2003 : Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot
    • 1999 – 2001 : Olivier Vadrot, Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue

    Crédits — Mentions légales

    Crédits

    Le site web a été conçu et réalisé en 2022 par l’atelier Diakité x Comerro.
    Design graphique : Lucie Comerro
    Programmation informatique : Samuel Diakité
    Interface : CMS Extra Backoff (Système de Gestion de Contenu initié en 2011 par Samuel Diakité)
    Font : Brut Grotesque, Bureau Brut

    La refonte du site web et son identité s’inscrivent dans le prolongement de la précédente version réalisée en 2016 par Elsa Audouin et l’équipe de La Salle de bains.

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    La directrice de la publication du site Web est Madame Agathe Chevallier en qualité de coordinatrice.

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