Passé 1
28 juin à 18h30
Lectures et discussion à "l'heure du yoga" avec 
Vidya Gastaldon autour de son roman Bleu Extase (art&fiction, 2025)

1994, une rave. Une jeune femme se retrouve prise dans une expérience initiatique. Elle se découvre au cœur d’un océan de perceptions.
 
En cours 3
21 juillet — 14 septembre 202521 July — 14 September 2025
studio d'été
Pendant ses vacances, la Salle de bains prête son espace à
Alexandre Caretti qui y installe son atelier

Sortie d'atelier du 11 au 13 septembre
 
En cours 4
2 août — 28 septembre 20252 August — 28 September 2025
Gina Proenza
RÊVE GÉNÉRALE 

à Treignac Projet (Corrèze) - Vernissage le 1er août
 
À venir 5
26 septembre — 22 novembre 202526 September — 22 November 2025
Gina Proenza


Vernissage le 25 septembre à 18h
 
À venir 6
5 décembre 2025 — 28 février 20265 December 2025 — 28 February 2026
Simon Dybbroe Møller
proposé par Benoît Lamy de la Chapelle

1 rue Louis Vitet — Lyon

Mercredi-Samedi, 15h-19h

    06/2005 Pierre Vadi Spectres
    FRENVuesTexteÉditionDocuments
    Spectres - Pierre Vadi
    Spectres - Pierre Vadi
    Spectres - Pierre Vadi
    Spectres - Pierre Vadi
    Spectres - Pierre Vadi
    Spectres - Pierre Vadi
    Photos : André Morin / © La Salle de bains
    Photos : André Morin / © La Salle de bains

    Spectres

    Du 24 juin au 14 août 2005From 24 June to 14 August 2005
    Sous une voûte étoilée (Your Private Sky) de strass et de zircons tour à tour en diffraction et transparents selon la déambulation du spectateur à qui rien ne permet d’identifier une constellation. C’est dans cette perte de repère qu’est présenté un fouet anthropomorphique, Spectre. Avec cet objet éminemment SM, la première exposition personnelle en France de Pierre Vadi s’annonce sous le sceau de l’accomplissement et de la frustration simultanés. Des animaux allongés d’un repos morbide, ont une matière translucide qui trouble notre appréhension. L’exposition Spectres désoriente le spectateur qui ne parvient pas à relier ces entités pourtant familières. Malgré leurs qualités narratives, ces éléments – une nuit étoilée, un fouet et des animaux - ne se laissent pas rassembler en un récit sinon pluriel et lapidaire.

    Your Private Sky comporte pourtant un motif ordonné qui dispose géométriquement les brillants. Proches de la taxidermie ou du moulage, il n’y a paradoxalement aucun indice quant à l’identification de ces animaux (Pedigree) ou de leur état figuré. Dans le fouet glissent les couleurs théoriques et dégradées de l’arc-en-ciel. Elles sont d’ailleurs dégradées à double titre : par principe au nombre de sept, elles semblent s’épuiser progressivement. En faisceau, les liens exsangues laissent alors transparaître la lumière des néons posés au sol. Ainsi l’exposition constituée d’objets plausibles et narratifs est en fait un assemblage de constructions où règne l’artifice. En écho à la voûte céleste, dans le bureau où l’on retrouve les néons normalement au plafond, sont disposés sur la table un échantillon de couleur du plafond peint et un tas de minuscules crânes (Spectres). Proche de la vanité, cette exposition est donc autant hantée que machination artificielle et dispositif construit.

    Ce paradoxe trouve des antécédents dans le travail de Pierre Vadi où la carte géographique constitue une série exemplaire. Cette dernière recouverte alors d’un motif (aigle, moirures psychédéliques, planète, King Kong...), ses informations initiales disparaissent et deviennent le moteur ainsi que la surface d’une projection. Il ne reste de lisibles guère que les plis ; c’est dans le titre que l’on peut déceler la relation palimpseste entre l’image première et l’image seconde. Nous nous retrouvons ici dans une logique apparemment bipolaire où s’opposent l’indiciel et le projectif, l’informatif et l’imaginaire.

    L’inventaire ou la cartographie étaient privilégiés par certains artistes conceptuels. Ces méthodes d’enregistrements objectifs étaient autant le moyen d’une dématérialisation de l’art que celui d’interroger les conditions élémentaires d’existence de l’œuvre. Au-delà de cette idéologie réductiviste, si certains ont eu l’intuition de la dimension narrative d’une procédure et de son énoncé, la génération suivante a souligné la dimension idéologique des méthodes supposés neutres par l’art conceptuel. Dans ce constat critique, les post-conceptuels ont établi leur appartenance à la culture qu’ils désignaient se débarrassant ainsi du primat de la distanciation exclusive.

    Or nous l’avons vu, nombre des œuvres de Pierre Vadi renvoient dos-à-dos la qualité littérale et imaginaire des objets. Certaines sculptures sont des reproductions à échelle 1/1 en résine, quand d’autres consistent en la réalisation d’un labyrinthe dont la qualité des parois rend difficile la lecture du parcours. Dans un cas, la transparence est paradoxalement un obstacle, dans l’autre l’égarement normalement maîtrisé est encore augmenté par sa construction en fausse fourrure étouffant les couloirs étroits.

    À l’image de ce labyrinthe, l’ensemble des œuvres de Pierre Vadi mutltiplie les chemins comme autant de récits révélés et troublés simultanément. Ces dernières familières et étranges sont alors le moment d’une expérience captivante dont le spectateur se plaît à être à la fois l’objet et le voyeur.

    Julien Fronsacq
    Sous une voûte étoilée (Your Private Sky) de strass et de zircons tour à tour en diffraction et transparents selon la déambulation du spectateur à qui rien ne permet d’identifier une constellation. C’est dans cette perte de repère qu’est présenté un fouet anthropomorphique, Spectre. Avec cet objet éminemment SM, la première exposition personnelle en France de Pierre Vadi s’annonce sous le sceau de l’accomplissement et de la frustration simultanés. Des animaux allongés d’un repos morbide, ont une matière translucide qui trouble notre appréhension. L’exposition Spectres désoriente le spectateur qui ne parvient pas à relier ces entités pourtant familières. Malgré leurs qualités narratives, ces éléments – une nuit étoilée, un fouet et des animaux - ne se laissent pas rassembler en un récit sinon pluriel et lapidaire.

    Your Private Sky comporte pourtant un motif ordonné qui dispose géométriquement les brillants. Proches de la taxidermie ou du moulage, il n’y a paradoxalement aucun indice quant à l’identification de ces animaux (Pedigree) ou de leur état figuré. Dans le fouet glissent les couleurs théoriques et dégradées de l’arc-en-ciel. Elles sont d’ailleurs dégradées à double titre : par principe au nombre de sept, elles semblent s’épuiser progressivement. En faisceau, les liens exsangues laissent alors transparaître la lumière des néons posés au sol. Ainsi l’exposition constituée d’objets plausibles et narratifs est en fait un assemblage de constructions où règne l’artifice. En écho à la voûte céleste, dans le bureau où l’on retrouve les néons normalement au plafond, sont disposés sur la table un échantillon de couleur du plafond peint et un tas de minuscules crânes (Spectres). Proche de la vanité, cette exposition est donc autant hantée que machination artificielle et dispositif construit.

    Ce paradoxe trouve des antécédents dans le travail de Pierre Vadi où la carte géographique constitue une série exemplaire. Cette dernière recouverte alors d’un motif (aigle, moirures psychédéliques, planète, King Kong...), ses informations initiales disparaissent et deviennent le moteur ainsi que la surface d’une projection. Il ne reste de lisibles guère que les plis ; c’est dans le titre que l’on peut déceler la relation palimpseste entre l’image première et l’image seconde. Nous nous retrouvons ici dans une logique apparemment bipolaire où s’opposent l’indiciel et le projectif, l’informatif et l’imaginaire.

    L’inventaire ou la cartographie étaient privilégiés par certains artistes conceptuels. Ces méthodes d’enregistrements objectifs étaient autant le moyen d’une dématérialisation de l’art que celui d’interroger les conditions élémentaires d’existence de l’œuvre. Au-delà de cette idéologie réductiviste, si certains ont eu l’intuition de la dimension narrative d’une procédure et de son énoncé, la génération suivante a souligné la dimension idéologique des méthodes supposés neutres par l’art conceptuel. Dans ce constat critique, les post-conceptuels ont établi leur appartenance à la culture qu’ils désignaient se débarrassant ainsi du primat de la distanciation exclusive.

    Or nous l’avons vu, nombre des œuvres de Pierre Vadi renvoient dos-à-dos la qualité littérale et imaginaire des objets. Certaines sculptures sont des reproductions à échelle 1/1 en résine, quand d’autres consistent en la réalisation d’un labyrinthe dont la qualité des parois rend difficile la lecture du parcours. Dans un cas, la transparence est paradoxalement un obstacle, dans l’autre l’égarement normalement maîtrisé est encore augmenté par sa construction en fausse fourrure étouffant les couloirs étroits.

    À l’image de ce labyrinthe, l’ensemble des œuvres de Pierre Vadi mutltiplie les chemins comme autant de récits révélés et troublés simultanément. Ces dernières familières et étranges sont alors le moment d’une expérience captivante dont le spectateur se plaît à être à la fois l’objet et le voyeur.

    Julien Fronsacq

    Liste des œuvres :
    List of works :

    Spectre, 2005
    (pvc flexible, résine tendre, colorants)

    Your private sky, 2005
    (zircons, résine tendre)

    Pedigree, 2004-2005
    (résine, colorant)

    Spectres, 2005
    (résine, prototypes pour des pastilles à sucer)
    Spectre, 2005
    (pvc flexible, résine tendre, colorants)

    Your private sky, 2005
    (zircons, résine tendre)

    Pedigree, 2004-2005
    (résine, colorant)

    Spectres, 2005
    (résine, prototypes pour des pastilles à sucer)
    Spectres_carton d'invitation
    Spectres, 2005
    carton d'invitation
    Pierre Vadi, né en 1966 (Suisse).
    Vit et travaille à Genève.
    Représenté par Triple V.
    Pierre Vadi, né en 1966 (Suisse).
    Vit et travaille à Genève.
    Représenté par Triple V.
    La Salle de bains reçoit le soutien du Ministère de la Culture DRAC Auvergne-Rhône-Alpes,
    de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et de la Ville de Lyon.
    PIERRE VADI4
    PIERRE VADI5
    PIERRE VADI3
    PIERRE VADI2
    PIERRE VADI1
    PIERRE VADI6

    La Salle de bains

    1 rue Louis Vitet,

    69001 Lyon, France

    Ouverture

    du mercredi au samedi

    de 15h à 19h

    La Salle de Bains reçoit le soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, de la Ville de Lyon et du Ministère de la Culture - DRAC Auvergne-Rhône-Alpes.

    Elle est membre des réseaux AC//RA et ADELE.

    La Salle de bains est une association loi 1901 fondée par Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot en 1998 à Lyon.

    Les activités de La Salle de bains reposent sur la production d’œuvres, d’expositions, d’éditions d’artistes contemporains nationaux et internationaux de générations différentes, et d’événements liés de manière transversale à la programmation annuelle du lieu.

    La Salle de bains assure l’accès et l’accompagnement de cette programmation auprès de divers types de publics issus de son territoire d’implantation.

    Elle travaille au développement de réseaux et à la conception de projets.

    En 2008, la structure a déménagé du 56 de la rue Saint-Jean, située dans le centre historique de Lyon (5e arrondissement), au 27 de la rue Burdeau (1er arrondissement) sur les pentes de la Croix-Rousse.
    En 2016, La Salle de bains se déplace au 1 rue Louis Vitet dans le 1er arrondissement de Lyon. L’espace se propose comme un lieu de convergence et de redéploiement d’une activité élargie hors du cadre de l’exposition.


    La direction artistique a successivement été confiée aux personnes suivantes :

    • 2025 : Julie Portier
    • 2024 : Pierre-Olivier Arnaud, Nadine Droste, Julie Portier
    • 2017 – 2023 : Pierre-Olivier Arnaud et Julie Portier
    • 2016 – 2017 : Armando Andrade Tudela, Elsa Audouin, Pierre-Olivier Arnaud, Magalie Meunier, Julie Portier
    • 2013 – 2016 : Caroline Soyez-Petithomme
    • 2009 – 2013 : Caroline Soyez-Petithomme et Jill Gasparina
    • 2004 – 2008 : Olivier Vadrot et Vincent Pécoil
    • 2002 – 2003 : Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot
    • 1999 – 2001 : Olivier Vadrot, Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue

    Crédits — Mentions légales

    Crédits

    Le site web a été conçu et réalisé en 2022 par l’atelier Diakité x Comerro.
    Design graphique : Lucie Comerro
    Programmation informatique : Samuel Diakité
    Interface : CMS Extra Backoff (Système de Gestion de Contenu initié en 2011 par Samuel Diakité)
    Font : Brut Grotesque, Bureau Brut

    La refonte du site web et son identité s’inscrivent dans le prolongement de la précédente version réalisée en 2016 par Elsa Audouin et l’équipe de La Salle de bains.

    Mentions légales

    Le présent site est la propriété de l’association « La Salle de bains » , établissement privé situé au 1 rue Louis Vitet 69001 Lyon (France) - Courriel : infos@lasalledebains.net.

    La directrice de la publication du site Web est Madame Agathe Chevallier en qualité de coordinatrice.

    Ce site Web a été designé par la graphiste, Lucie Comerro (Courriel : lucie.comerro@gmail.com - Site Web : https://comerro-studio.com/), et programmé informatiquement par Samuel Diakité (Courriel : sdiakite@extrafine.fr).

    Ce site Web est hébergé par la société OVH située, 2 rue Kellermann - 59100 Roubaix (France) Tél : +33(0) 9 72 10 10 07 ou 1007, Site Web : http://ovh.com/fr/support.

    Le présent site s’appuie sur la solution ExtraBackoff et utilise exclusivement des technologies et des scripts open source. Les images et photographies sont la propriété exclusive de l’association La Salle de bains ou des ayants-droits au titre d’auteurs, et ne sont pas libres de droit.

    L’internaute du site Web « lasalledebains.net » reconnaît disposer de la compétence et des moyens nécessaires pour accéder et utiliser ce site. Il reconnaît également avoir vérifié que la configuration informatique utilisée ne contient aucun virus et qu’elle est en parfait état de fonctionnement. Enfin, l’internaute reconnaît également avoir pris connaissance de la présente notice légale et s’engage à la respecter.

    L’accès au site Web ainsi que son utilisation du Site impliquent l’acceptation sans réserve ni restriction de ses présentes conditions d’utilisation.
    Si vous n’acceptez pas ses présentes conditions d’utilisation, nous vous prions de quitter immédiatement ce site.

    En conformité avec les dispositions de la loi du 6 janvier 1978 modifiée relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, le traitement automatisé des données nominatives réalisées à partir du site Web « lasalledebains.net » n’a pas à faire l’objet de déclaration auprès de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) en vertu de la dispense de déclaration n°7 (J.O. n°128 du 3 juin 2006).

    L’internaute est informé que lors de ses visites sur le site, un cookie peut s’installer automatiquement sur son logiciel de navigation. Un cookie est un élément qui ne permet pas d’identifier l’internaute mais sert à enregistrer des informations relatives à la navigation de celui-ci sur le site Web. Le paramétrage de votre logiciel de navigation permet d’informer de la présence de cookies et éventuellement de la refuser selon la procédure décrite à l’adresse suivante : www.cnil.fr.


    Le site Web « lasalledebains.net » utilise le service d’analyse d’audience « Matomo » qui utilise des « cookies » permettant d’analyser la façon dont les internautes d’utilisent le site Web « lasalledebains.net ». Les informations générées par les cookies sont stockées sur le serveur de La Salle de bains et ne sont pas communiquées à des tiers.

    Sur la base du premier paragraphe de l’article 6 du Règlement général sur la protection des données (RGPD), La Salle de bains a un intérêt légitime à analyser le comportement des utilisateurs afin d’optimiser le site Web « lasalledebains.net » et sa publicité.

    Cependant, vous avez la possibilité d’empêcher la collecte et le stockage de vos données au sein de la configuration de votre navigateur Web.


    L’internaute dispose d’un droit d’accès, de modification, de rectification et de suppression des données qui le concernent (article 38 et suivants de la loi « Informatique et Libertés »). Pour l’exercer, l’internaute peut s’adresser à l’association La Salle de bains (voir au début de ce présent document).

    La Salle de bains intègre pleinement les exigences strictes des autorités françaises et européennes en matière de protection des données lors de l’utilisation des différents services cités précédemment.

    Toute reproduction ou représentation totale ou partielle de ce site (textes et images) par quelque procédé que ce soit, sans l’autorisation expresse de La Salle de bains, ou de ses représentants légaux est interdite et constituerait une contre façon sanctionnée par les articles L335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

    Les bases de données figurant sur le site Web sont protégées par les dispositions de la loi du 11 juillet 1998 portant transposition dans le Code de la propriété intellectuelle (CPI) de la directive européenne du 11 mars 1996 relative à la protection juridique des bases de données.
    Sont notamment interdites l’extraction et la réutilisation, quantitativement ou qualitativement substantielles, du contenu des bases de données contenues sur ce site Web. Tout contrevenant s’expose aux sanctions visées aux articles L343-1 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
    Les marques de l’association La Salle de bains et de ses partenaires, ainsi que les logos figurant sur le site sont des marques (semi-figuratives ou non) et sont déposées. Toute reproduction totale ou partielle de ces marques ou de ces logos effectuées à partir des éléments du site, est prohibée, au sens des articles L713-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

    Le site Web de La Salle de bains offre des liens vers d’autres sites Web ou d’autres ressources disponibles sur Internet. La Salle de bains ne dispose d’aucun moyen pour contrôler les sites en connexion avec son site Web. La Salle de bains ne répond pas de la disponibilité de tels sites et sources externes, ni ne la garantit. Elle ne peut être tenue pour responsable de tout dommage, de quelque nature que ce soit, résultant du contenu de ces sites ou sources externes, et notamment des informations, produits ou services qu’ils proposent, ou de tout usage qui peut être fait de ces éléments. Les risques liés à cette utilisation incombent pleinement à l’internaute, qui doit se conformer à leurs conditions d’utilisation.

    Les informations contenues sur ce site sont aussi précises que possibles et le site est périodiquement remis à jour, mais peut toutefois contenir des inexactitudes, des omissions ou des lacunes. Si vous constatez une lacune, erreur ou ce qui parait être un dysfonctionnement, merci de bien vouloir le signaler par email en décrivant le problème de la manière la plus précise possible (page posant problème, action déclenchante, type d’ordinateur et de navigateur utilisé, …). Tout contenu téléchargé se fait aux risques et périls de l’internaute et sous sa seule responsabilité. En conséquence, La Salle de bains ne saurait être tenu responsable d’un quelconque dommage subi par l’ordinateur de l’internaute ou d’une quelconque perte de données consécutives au téléchargement.

    La Salle de bains met en œuvre tous les moyens dont elle dispose, pour assurer une information fiable et une mise à jour fiable de son site Web. Toutefois, des erreurs ou omissions peuvent survenir. L’internaute devra donc s’assurer de l’exactitude des informations auprès de La Salle de bains, et signaler toutes modifications du site qu’il jugerait utile. La Salle de bains n’est en aucun cas responsable de l’utilisation faite de ces informations, et de tout préjudice direct ou indirect pouvant en découler.

    Nous remercions les internautes du site de nous faire part d’éventuelles omissions, erreurs, corrections, en nous contactant le cas échéant.