1 rue Louis Vitet — Lyon

Mercredi-Samedi, 15h-19h

    01/2025 Camille Dumond, Naoki Sutter Shudo, John Miller, Céline Vaché-Olivieri, Bruno Silva, Takuji Kogo MAYBE NEXT TIME
    FRENVuesTexte
    MAYBE NEXT TIME - Camille Dumond,Naoki Sutter Shudo,John Miller,Céline Vaché-Olivieri,Bruno Silva,Takuji Kogo

    MAYBE NEXT TIME

    Du 16 janvier au 22 février 2025From 16 January to 22 February 2025
    Par le fait du hasard ou de l’amnésie, c’est le deuxième titre en moins d’un an qui contient le mot “next”. On pourra y déceler une certaine impatience, mais aussi un esprit plus intéressé par ce qui vient après que par ce qu’il y avait avant, même quand le pire est à venir.

    “Maybe next time”, “la prochaine fois peut-être”, est avant tout un mot d’excuse mais il nous plaît d’y entendre autant de déceptions que de promesses. D’ailleurs c’est dans cette ambivalence que la plupart des œuvres nous touchent depuis la fin des avant-gardes révolutionnaires: elles sont portées par la croyance en d’autres mondes possibles tout en admettant que l’art n’y pourra rien, ou presque. Qu’en serait-il si cette ritournelle qui embaume la Salle de bains et dont vos oreilles sont déjà lasses à ce stade de la lecture, entrait dans le langage des puissants de ce monde, répondant sur le sujet de la chaîne inéluctable des catastrophes liées au dérèglement climatique, par exemple : “Maybe next time”?

    L’exposition emprunte son titre au film de Robot, le groupe musical formé en 2004 par John Miller et Takuji Kogo où se rencontrent leur intérêt pour le sampling d’images trouvées et de poésie disponible dans les spams, sites de rencontre ou de développement personnel. Dans Maybe Next Time (2024), les paroles chantées par différentes voix de synthèse sont tirées d’un site proposant des manières polies et crédibles d’annuler un rendez-vous non désiré. Cette prose libérale est associée à des séquences vidéos trouvées sur internet, montrant des rues désolées de Pékin lors du confinement lié au COVID 19.

    Les œuvres réunies autour de ce film apportent de nouveaux éléments narratifs et découvrent d’autres zones de ce décor qui présente quelques ressemblances avec notre monde dans lequel se réalisent les fictions dystopiques. Mais elles témoignent aussi de pratiques d’atelier et d’intérêts premiers pour les formes qui tiennent à distance, avec la même nonchalance que cet air jazzy (on vous prévient : ça reste dans la tête), les justifications qu’on trouve sur les communiqués de presse.

    Céline Vaché-Olivieri et Bruno Silva ont en commun d’être des flâneuse et flâneur qui collectionnent textes, images et rebuts d’objets de consommation, le plus souvent dans les banlieues de Paris (pour l’une) et sur les plages polluées de la côte portugaise (pour l’autre), déchets que Bruno Silva appelle des “résidus émotionnels”. Ils sont traités avec un mélange de colle et de talc dont il a la recette et qui leur donne cet aspect momifié, maintenu entre la vie et la mort, comme dans with Clarice en référence à la femme de lettres brésilienne Clarice Lispector. Cette fois c’est plutôt un rendez-vous manqué mais désiré qui est évoqué.

    On remarquera que l’exposition insiste un tantinet sur l’idée de corps déboités et d’esprits évaporés, quitte à faire basculer cette douce mélancolie urbanisée dans une scène plus gore. Qu’on pense à la trépanation volontaire que s’infligent les joueur.euses de Candy crush dans le métro pour se murer dans le confort de leur solitude (photographiés par Céline Vaché-Olivieri avant d’être transférés sur des remakes de sacs Quechua) ou au motif récurrent (bien que crypté) du décapité dans les sculptures de Naoki Sutter-Shudo. Headless (2024), placé au-dessus du bureau de la Salle de bains, reprend un motif présent sur la couverture du n°1 de la revue Acéphale (1936) dirigée par Georges Bataille qui y signe un texte sombre et enflammé, prédisant le dépassement d’une condition humaine médiocre dans le monde de la “vulgarité instruite”. Envisageait-il alors le devenir robots des humains?

    Les sculptures de Naoki Sutter-Shudo semblent consentir à des lois secrètes, contenir un code caché.
    À la fois, elles se présentent comme des évidences bêtes ou froides, si l'on peut le dire de l’œuvre titrée Incendie pendant que l’artiste est chez lui à Los Angeles en proie à des feux sans précédents. Main character Energy de Camille Dumond est pour sa part une œuvre encodée. L’artiste réalise des films de fiction pour lesquels elle s’intéresse aux schémas narratifs et à l’influence des structures en place sur les corps et les esprits des individus. Ses expériences menées dans l’atelier, avec la céramique entre autres, composent des sortes de documents qui exposent des données, en l’occurrence des statistiques de genre dans les fictions de cinéma en marge de la théorie du voyage initiatique du héros (hero’s Journey) de Joseph Campbell (1949).
    Par le fait du hasard ou de l’amnésie, c’est le deuxième titre en moins d’un an qui contient le mot “next”. On pourra y déceler une certaine impatience, mais aussi un esprit plus intéressé par ce qui vient après que par ce qu’il y avait avant, même quand le pire est à venir.

    “Maybe next time”, “la prochaine fois peut-être”, est avant tout un mot d’excuse mais il nous plaît d’y entendre autant de déceptions que de promesses. D’ailleurs c’est dans cette ambivalence que la plupart des œuvres nous touchent depuis la fin des avant-gardes révolutionnaires: elles sont portées par la croyance en d’autres mondes possibles tout en admettant que l’art n’y pourra rien, ou presque. Qu’en serait-il si cette ritournelle qui embaume la Salle de bains et dont vos oreilles sont déjà lasses à ce stade de la lecture, entrait dans le langage des puissants de ce monde, répondant sur le sujet de la chaîne inéluctable des catastrophes liées au dérèglement climatique, par exemple : “Maybe next time”?

    L’exposition emprunte son titre au film de Robot, le groupe musical formé en 2004 par John Miller et Takuji Kogo où se rencontrent leur intérêt pour le sampling d’images trouvées et de poésie disponible dans les spams, sites de rencontre ou de développement personnel. Dans Maybe Next Time (2024), les paroles chantées par différentes voix de synthèse sont tirées d’un site proposant des manières polies et crédibles d’annuler un rendez-vous non désiré. Cette prose libérale est associée à des séquences vidéos trouvées sur internet, montrant des rues désolées de Pékin lors du confinement lié au COVID 19.

    Les œuvres réunies autour de ce film apportent de nouveaux éléments narratifs et découvrent d’autres zones de ce décor qui présente quelques ressemblances avec notre monde dans lequel se réalisent les fictions dystopiques. Mais elles témoignent aussi de pratiques d’atelier et d’intérêts premiers pour les formes qui tiennent à distance, avec la même nonchalance que cet air jazzy (on vous prévient : ça reste dans la tête), les justifications qu’on trouve sur les communiqués de presse.

    Céline Vaché-Olivieri et Bruno Silva ont en commun d’être des flâneuse et flâneur qui collectionnent textes, images et rebuts d’objets de consommation, le plus souvent dans les banlieues de Paris (pour l’une) et sur les plages polluées de la côte portugaise (pour l’autre), déchets que Bruno Silva appelle des “résidus émotionnels”. Ils sont traités avec un mélange de colle et de talc dont il a la recette et qui leur donne cet aspect momifié, maintenu entre la vie et la mort, comme dans with Clarice en référence à la femme de lettres brésilienne Clarice Lispector. Cette fois c’est plutôt un rendez-vous manqué mais désiré qui est évoqué.

    On remarquera que l’exposition insiste un tantinet sur l’idée de corps déboités et d’esprits évaporés, quitte à faire basculer cette douce mélancolie urbanisée dans une scène plus gore. Qu’on pense à la trépanation volontaire que s’infligent les joueur.euses de Candy crush dans le métro pour se murer dans le confort de leur solitude (photographiés par Céline Vaché-Olivieri avant d’être transférés sur des remakes de sacs Quechua) ou au motif récurrent (bien que crypté) du décapité dans les sculptures de Naoki Sutter-Shudo. Headless (2024), placé au-dessus du bureau de la Salle de bains, reprend un motif présent sur la couverture du n°1 de la revue Acéphale (1936) dirigée par Georges Bataille qui y signe un texte sombre et enflammé, prédisant le dépassement d’une condition humaine médiocre dans le monde de la “vulgarité instruite”. Envisageait-il alors le devenir robots des humains?

    Les sculptures de Naoki Sutter-Shudo semblent consentir à des lois secrètes, contenir un code caché.
    À la fois, elles se présentent comme des évidences bêtes ou froides, si l'on peut le dire de l’œuvre titrée Incendie pendant que l’artiste est chez lui à Los Angeles en proie à des feux sans précédents. Main character Energy de Camille Dumond est pour sa part une œuvre encodée. L’artiste réalise des films de fiction pour lesquels elle s’intéresse aux schémas narratifs et à l’influence des structures en place sur les corps et les esprits des individus. Ses expériences menées dans l’atelier, avec la céramique entre autres, composent des sortes de documents qui exposent des données, en l’occurrence des statistiques de genre dans les fictions de cinéma en marge de la théorie du voyage initiatique du héros (hero’s Journey) de Joseph Campbell (1949).

    Liste des œuvres :
    List of works :

    1. Bruno Silva, leftovers, 2024
    objets trouvés en bord de mer, solution de colle blanche, talc et poudre de coquilles d’huitre
    10×10×8cm

    2. Céline Vaché-Olivieri, THE TART BAG, 2024
    tissus, papiers, étiquettes, transferts copie du modèle NH Escape 500 de la marque Quechua
    50×30×16cm

    3. Naoki Sutter-Shudo, Oasis, 2022 bois, émail, aluminium anodisé, laiton, acier inoxydable
    13×39×43 cm - courtesy de Crèvecœur

    4. ROBOT (Takuji Kogo + John Miller),
    Maybe Next time, 2024
    Video, 3’52, en boucle

    5. Bruno Silva, it, 2024
    sacs à légumes, transfert d’impression jet d’encre sur colle blanche, vernis acrylique anti-uv
    61×41 cm

    6. Naoki Sutter-Shudo, Incendie, 2020
    bois, émail, acier, os de colombe caoutchouté
    49.5×47×29.5 cm - courtesy de Crèvecœur

    7. Céline Vaché-Olivieri, Objects in the mirror are closer than they appear (Mouth), 2025
    miroir de rétroviseur, papier - série depuis 2020
    15×13×0,5cm

    8. Bruno Silva, with Clarice, 2024
    emballage de melons, écorces d’orange, solution de colle blanche et de talc, marc de café, coupes de glace
    58×38×20 cm

    9. Bruno Silva, insomniacs (série), 2024
    images de livres de cuisine, impressions par transfert, colle blanche, vernis acrylique anti-uv
    17×25×1 cm

    10. Camille Dumond, Main character energy, 2024
    plaque en acier, plexiglass gravé, faïence en nériage, aimants
    120×60 cm

    11. Naoki Sutter-Shudo, Headless, 2024
    Bois émaillé, acier inoxydable
    45×30×10 cm - courtesy de Crèvecœur
    1. Bruno Silva, leftovers, 2024
    objets trouvés en bord de mer, solution de colle blanche, talc et poudre de coquilles d’huitre
    10×10×8cm

    2. Céline Vaché-Olivieri, THE TART BAG, 2024
    tissus, papiers, étiquettes, transferts copie du modèle NH Escape 500 de la marque Quechua
    50×30×16cm

    3. Naoki Sutter-Shudo, Oasis, 2022 bois, émail, aluminium anodisé, laiton, acier inoxydable
    13×39×43 cm - courtesy de Crèvecœur

    4. ROBOT (Takuji Kogo + John Miller),
    Maybe Next time, 2024
    Video, 3’52, en boucle

    5. Bruno Silva, it, 2024
    sacs à légumes, transfert d’impression jet d’encre sur colle blanche, vernis acrylique anti-uv
    61×41 cm

    6. Naoki Sutter-Shudo, Incendie, 2020
    bois, émail, acier, os de colombe caoutchouté
    49.5×47×29.5 cm - courtesy de Crèvecœur

    7. Céline Vaché-Olivieri, Objects in the mirror are closer than they appear (Mouth), 2025
    miroir de rétroviseur, papier - série depuis 2020
    15×13×0,5cm

    8. Bruno Silva, with Clarice, 2024
    emballage de melons, écorces d’orange, solution de colle blanche et de talc, marc de café, coupes de glace
    58×38×20 cm

    9. Bruno Silva, insomniacs (série), 2024
    images de livres de cuisine, impressions par transfert, colle blanche, vernis acrylique anti-uv
    17×25×1 cm

    10. Camille Dumond, Main character energy, 2024
    plaque en acier, plexiglass gravé, faïence en nériage, aimants
    120×60 cm

    11. Naoki Sutter-Shudo, Headless, 2024
    Bois émaillé, acier inoxydable
    45×30×10 cm - courtesy de Crèvecœur

    Camille Dumond est née en 1988 à Évreux (France). Elle vit et travaille entre Genève  et la Normandie. Elle a suivi des études à la HKB Leipzig et est diplômée de l’École  nationale Supérieure Nantes-Saint Nazaire et de la HEAD–Genève. Son travail a été présenté en Suisse et à l’international, notamment, à Glassbox  (Paris, 2017), au Cube - independant art room (Rabat, Maroc, 2020), à la Biennale  de Saint Flour (France, 2021), au FRAC des Pays de la Loire (Nantes, France, 2021),  au Centre d’Art de Neuchâtel (Suisse, 2021), au Palais de l’Athénée (Genève, Suisse,  2022), à l’espace EAC les Halles (Porrentruy, Suisse 2022), à Unanimous Consent  (Zürich, Suisse 2022), au Centre d’art contemporain de Genève (Suisse, 2022), à  Wieoftnoch (Karlsruhe, Allemagne, 2023), Hamlet (Zürich, 2024)

    Camille Dumond was born in 1988 in Évreux (France). She lives and works between Geneva and Normandy. She studied at the HKB Leipzig and is a graduate of the École Nationale Supérieure Nantes-Saint Nazaire and the HEAD-Geneva. Her work has been shown in Switzerland and internationally, notably at Glassbox (Paris, 2017), at the Cube - independent art room (Rabat, Morocco, 2020), the Saint Flour Biennial (France, 2021), the FRAC des Pays de la Loire (Nantes, France, 2021), the Centre d'Art de Neuchâtel (Switzerland, 2021), Palais de l'Athénée (Geneva, Switzerland, 2022), espace EAC les Halles (Porrentruy, Switzerland 2022), Unanimous Consent (Zürich, Switzerland 2022), Centre d'art contemporain de Genève (Switzerland, 2022), Wieoftnoch (Karlsruhe, Germany, 2023), Hamlet (Zürich, 2024)

    Translated with DeepL.com (free version)
    Naoki Sutter Shudo (1990) vit et travaille à Los Angeles. Son travail explore plusieurs médias, tels que la sculpture, la photographie, la peinture et l'écriture. Il est le fondateur de la galerie Bel Ami. Son travail a récemment été exposé à la galerie Crèvecoeur (2021), à Paris et à Marseille (2019) , à XYZ Collective, à Tokyo (2022), à Bodega, à New York (2021), Derosia, New York (2024), Gaga & Reena Spaulings, Los Angeles (2024).
    Naoki Sutter Shudo (1990) lives and works in Los Angeles. His work explores several media, including sculpture, photography, painting and writing. He is the founder of the Bel Ami gallery. His work has recently been shown at Crèvecoeur Gallery (2021), Paris and Marseille (2019), XYZ Collective, Tokyo (2022), Bodega, New York (2021), Derosia, New York (2024), Gaga & Reena Spaulings, Los Angeles (2024).
     

    John Miller (1954) vit et travaille à New York et à Berlin. Avec Mike Kelley et Jim Shaw, Miller a fait partie d'un groupe influent d'artistes qui ont étudié à CalArts dans les années 1970. En 2016, l'Institute of Contemporary Art de Miami a présenté la première grande exposition américaine de son œuvre. Expositions individuelles (sélection) : The Schinkel Pavillon, Berlin (2020), Kubus, Wien (avec Richard Hoeck, 2013) ; Museum Ludwig, Cologne (2011) ; Kunsthalle Zurich (2009) ; Cabinet des Estampes au Musée d'art moderne et contemporain, Genève (2004) ; The Morris and Helen Belkin Gallery, University of British Columbia, Vancouver (avec Mike Kelley, 2000) ; Le Magasin, Centre National d'Art Contemporain de Grenoble ; Kunstverein Hamburg (1999).

    John Miller (1954) lives and works in New York and Berlin. Along with Mike Kelley and Jim Shaw, Miller was part of an influential group of artists who studied at CalArts in the 1970s. In 2016, the Institute of Contemporary Art in Miami presented the first major American exhibition of his work. Solo exhibitions (selection): The Schinkel Pavillon, Berlin (2020), Kubus, Wien (with Richard Hoeck, 2013); Museum Ludwig, Cologne (2011); Kunsthalle Zurich (2009); Cabinet des Estampes at the Musée d'art moderne et contemporain, Geneva (2004); The Morris and Helen Belkin Gallery, University of British Columbia, Vancouver (with Mike Kelley, 2000); Le Magasin, Centre National d'Art Contemporain de Grenoble; Kunstverein Hamburg (1999)

    Translated with DeepL.com (free version)

    Céline Vaché-Olivieri (1978) Vit et travaille en région parisienne. Elle est diplômée de la Hear Strasbourg. Son travail a été récemment montré à Pauline Perplexe, Arcueil (2024), Plateau Frac Ile-de-France (2023), Galerie Florence Loewy, Paris (2021), Ecole municipale des Beaux-arts Edouard Manet à Gennevilliers (2019) , Les Capucins à Embruns (2016).

    Céline Vaché-Olivieri (1978) lives and works in Paris. She is a graduate of la Hear Strasbourg. Her work has recently been shown at Pauline Perplexe, Arcueil (2024), Plateau Frac Ile-de-France (2023), Galerie Florence Loewy, Paris (2021), Ecole municipale des Beaux-arts Edouard Manet à Gennevilliers (2019), Les Capucins à Embruns (2016).
    Bruno Silva (1986, Portugal), vit et travaille à Clermont-Ferrand. Il est diplômé de l’Ecole Supérieure d’Art de Clermont-Ferrand et de la Faculdade de Belas Artes de Porto. Son travail a été récemment présenté dans les expositions personnelles à Violet artspace (Anvers), Galeria Ocupa (Porto), DONAU (Porto), Campanice (Porto), Le Creux de l’enfer (Thiers), Bikini (Lyon), Flux Factory (USA). En 2025, il est invité pour des expositions à Consultorio (Chamusca), Frappant gallery (Hamburg), Salto (Lisbonne).
    Bruno Silva (1986, Portugal) lives and works in Clermont-Ferrand. He is a graduate of the Ecole Supérieure d'Art de Clermont-Ferrand and the Faculdade de Belas Artes de Porto. His work has recently been shown in solo exhibitions at Violet artspace (Antwerp), Galeria Ocupa (Porto), DONAU (Porto), Campanice (Porto), Le Creux de l'enfer (Thiers), Bikini (Lyon), Flux Factory (USA). In 2025, he was invited to exhibit at Consultorio (Chamusca), Frappant gallery (Hamburg), Salto (Lisbon).
    Takuji Kogo (1965) vit et travaille à Fukuoka, au Japon. Artiste et curateur en charge de *CANDY FACTORY PROJECTS, une plateforme de projets artistiques collaboratifs internationaux. Il a produit un grand nombre d'œuvres en solo et en collaboration sous le nom de *CANDY FACTORY PROJECTS et les a présentées notamment à la Biennale de Kyev, au NBK en Allemagne, à l'ICA de Miami, au MAGASIN à Grenoble, au New Museum de New York, au MOMA de New York.. L’artiste a développé des collaborations de long terme avec les artistes Federico Baronello, Mike Bode, Young-hae Chang, Heavy Industries, Charles Lim Yi Yong, Keiichi Miyagawa, Sean Snyder ainsi que john Miller, avec qui il forme le duo musical virtuel ROBOT.
    Takuji Kogo (1965) lives and works in Fukuoka, Japan. Artist and curator in charge of *CANDY FACTORY PROJECTS, a platform for international collaborative art projects. He has produced a large number of solo and collaborative works under the name *CANDY FACTORY PROJECTS and has presented them at the Kyev Biennial, the NBK in Germany, the ICA in Miami, the MAGASIN in Grenoble, the New Museum in New York and the MOMA in New York, among others. The artist has developed long-term collaborations with artists Federico Baronello, Mike Bode, Young-hae Chang, Heavy Industries, Charles Lim Yi Yong, Keiichi Miyagawa, Sean Snyder and John Miller, with whom he forms the virtual musical duo ROBOT.
    Maybe Next Time_affiche_web

    La Salle de bains

    1 rue Louis Vitet,

    69001 Lyon, France

    Ouverture

    du mercredi au samedi

    de 15h à 19h

    La Salle de Bains reçoit le soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, de la Ville de Lyon et du Ministère de la Culture - DRAC Auvergne-Rhône-Alpes.

    Elle est membre des réseaux AC//RA et ADELE.

    La Salle de bains est une association loi 1901 fondée par Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot en 1998 à Lyon.

    Les activités de La Salle de bains reposent sur la production d’œuvres, d’expositions, d’éditions d’artistes contemporains nationaux et internationaux de générations différentes, et d’événements liés de manière transversale à la programmation annuelle du lieu.

    La Salle de bains assure l’accès et l’accompagnement de cette programmation auprès de divers types de publics issus de son territoire d’implantation.

    Elle travaille au développement de réseaux et à la conception de projets.

    En 2008, la structure a déménagé du 56 de la rue Saint-Jean, située dans le centre historique de Lyon (5e arrondissement), au 27 de la rue Burdeau (1er arrondissement) sur les pentes de la Croix-Rousse.
    En 2016, La Salle de bains se déplace au 1 rue Louis Vitet dans le 1er arrondissement de Lyon. L’espace se propose comme un lieu de convergence et de redéploiement d’une activité élargie hors du cadre de l’exposition.


    La direction artistique a successivement été confiée aux personnes suivantes :

    • 2024 : Pierre-Olivier Arnaud, Nadine Droste, Julie Portier
    • 2017 – 2023 : Pierre-Olivier Arnaud et Julie Portier
    • 2016 – 2017 : Armando Andrade Tudela, Elsa Audouin, Pierre-Olivier Arnaud, Magalie Meunier, Julie Portier
    • 2013 – 2016 : Caroline Soyez-Petithomme
    • 2009 – 2013 : Caroline Soyez-Petithomme et Jill Gasparina
    • 2004 – 2008 : Olivier Vadrot et Vincent Pécoil
    • 2002 – 2003 : Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot
    • 1999 – 2001 : Olivier Vadrot, Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue

    Crédits — Mentions légales

    Crédits

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    Design graphique : Lucie Comerro
    Programmation informatique : Samuel Diakité
    Interface : CMS Extra Backoff (Système de Gestion de Contenu initié en 2011 par Samuel Diakité)
    Font : Brut Grotesque, Bureau Brut

    La refonte du site web et son identité s’inscrivent dans le prolongement de la précédente version réalisée en 2016 par Elsa Audouin et l’équipe de La Salle de bains.

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