1 rue Louis Vitet — Lyon

Mercredi-Samedi, 15h-19h

    01/2025 Camille Dumond, Takuji Kogo, John Miller, Bruno Silva, Naoki Sutter-Shudo, Céline Vaché-Olivieri MAYBE NEXT TIME
    FRENVuesTextefeuille de salle
    MAYBE NEXT TIME - Camille Dumond,Takuji Kogo,John Miller,Bruno Silva,Naoki Sutter-Shudo,Céline Vaché-Olivieri
    MAYBE NEXT TIME - Camille Dumond,Takuji Kogo,John Miller,Bruno Silva,Naoki Sutter-Shudo,Céline Vaché-Olivieri
    MAYBE NEXT TIME - Camille Dumond,Takuji Kogo,John Miller,Bruno Silva,Naoki Sutter-Shudo,Céline Vaché-Olivieri
    MAYBE NEXT TIME - Camille Dumond,Takuji Kogo,John Miller,Bruno Silva,Naoki Sutter-Shudo,Céline Vaché-Olivieri
    MAYBE NEXT TIME - Camille Dumond,Takuji Kogo,John Miller,Bruno Silva,Naoki Sutter-Shudo,Céline Vaché-Olivieri
    MAYBE NEXT TIME - Camille Dumond,Takuji Kogo,John Miller,Bruno Silva,Naoki Sutter-Shudo,Céline Vaché-Olivieri
    MAYBE NEXT TIME - Camille Dumond,Takuji Kogo,John Miller,Bruno Silva,Naoki Sutter-Shudo,Céline Vaché-Olivieri
    MAYBE NEXT TIME - Camille Dumond,Takuji Kogo,John Miller,Bruno Silva,Naoki Sutter-Shudo,Céline Vaché-Olivieri
    MAYBE NEXT TIME - Camille Dumond,Takuji Kogo,John Miller,Bruno Silva,Naoki Sutter-Shudo,Céline Vaché-Olivieri
    MAYBE NEXT TIME - Camille Dumond,Takuji Kogo,John Miller,Bruno Silva,Naoki Sutter-Shudo,Céline Vaché-Olivieri
    Vues de l'exposition Maybe Next Time, la Salle de bains, 2025.
    Photos : Jesús Alberto Benítez
    Views of the exhibition Maybe Next Time, la Salle de bains, 2025.
    Photos: Jesús Alberto Benítez

    MAYBE NEXT TIME

    Du 16 janvier au 22 février 2025From 16 January to 22 February 2025
    Par le fait du hasard ou de l’amnésie, c’est le deuxième titre en moins d’un an qui contient le mot “next”. On pourra y déceler une certaine impatience, mais aussi un esprit plus intéressé par ce qui vient après que par ce qu’il y avait avant, même quand le pire est à venir.

    “Maybe next time”, “la prochaine fois peut-être”, est avant tout un mot d’excuse mais il nous plaît d’y entendre autant de déceptions que de promesses. D’ailleurs c’est dans cette ambivalence que la plupart des œuvres nous touchent depuis la fin des avant-gardes révolutionnaires: elles sont portées par la croyance en d’autres mondes possibles tout en admettant que l’art n’y pourra rien, ou presque. Qu’en serait-il si cette ritournelle qui embaume la Salle de bains et dont vos oreilles sont déjà lasses à ce stade de la lecture, entrait dans le langage des puissants de ce monde, répondant sur le sujet de la chaîne inéluctable des catastrophes liées au dérèglement climatique, par exemple : “Maybe next time”?

    L’exposition emprunte son titre au film de Robot, le groupe musical formé en 2004 par John Miller et Takuji Kogo où se rencontrent leur intérêt pour le sampling d’images trouvées et de poésie disponible dans les spams, sites de rencontre ou de développement personnel. Dans Maybe Next Time (2024), les paroles chantées par différentes voix de synthèse sont tirées d’un site proposant des manières polies et crédibles d’annuler un rendez-vous non désiré. Cette prose libérale est associée à des séquences vidéos trouvées sur internet, montrant des rues désolées de Pékin lors du confinement lié au COVID 19.

    Les œuvres réunies autour de ce film apportent de nouveaux éléments narratifs et découvrent d’autres zones de ce décor qui présente quelques ressemblances avec notre monde dans lequel se réalisent les fictions dystopiques. Mais elles témoignent aussi de pratiques d’atelier et d’intérêts premiers pour les formes qui tiennent à distance, avec la même nonchalance que cet air jazzy (on vous prévient : ça reste dans la tête), les justifications qu’on trouve sur les communiqués de presse.

    Céline Vaché-Olivieri et Bruno Silva ont en commun d’être des flâneuse et flâneur qui collectionnent textes, images et rebuts d’objets de consommation, le plus souvent dans les banlieues de Paris (pour l’une) et sur les plages polluées de la côte portugaise (pour l’autre), déchets que Bruno Silva appelle des “résidus émotionnels”. Ils sont traités avec un mélange de colle et de talc dont il a la recette et qui leur donne cet aspect momifié, maintenu entre la vie et la mort, comme dans with Clarice en référence à la femme de lettres brésilienne Clarice Lispector. Cette fois c’est plutôt un rendez-vous manqué mais désiré qui est évoqué.

    On remarquera que l’exposition insiste un tantinet sur l’idée de corps déboités et d’esprits évaporés, quitte à faire basculer cette douce mélancolie urbanisée dans une scène plus gore. Qu’on pense à la trépanation volontaire que s’infligent les joueur.euses de Candy crush dans le métro pour se murer dans le confort de leur solitude (photographiés par Céline Vaché-Olivieri avant d’être transférés sur des remakes de sacs Quechua) ou au motif récurrent (bien que crypté) du décapité dans les sculptures de Naoki Sutter-Shudo. Headless (2024), placé au-dessus du bureau de la Salle de bains, reprend un motif présent sur la couverture du n°1 de la Revue Acéphale (1936) dirigée par Georges Bataille qui y signe un texte sombre et enflammé, prédisant le dépassement d’une condition humaine médiocre dans le monde de la “vulgarité instruite”. Envisageait-il alors le devenir robots des humains?

    Les sculptures de Naoki Sutter-Shudo semblent consentir à des lois secrètes, contenir un code caché. À la fois, elles se présentent comme des évidences bêtes ou froides, si l'on peut le dire de l’œuvre titrée Incendie pendant que l’artiste est chez lui à Los Angeles en proie à des feux sans précédents. Main character Energy (2025) de Camille Dumond est pour sa part une œuvre encodée. L’artiste réalise des films de fiction pour lesquels elle s’intéresse aux schémas narratifs et à l’influence des structures en place sur les corps et les esprits des individus. Ses expériences menées dans l’atelier, avec la céramique entre autres, composent des sortes de documents qui exposent des données, en l’occurrence des statistiques de genre dans les fictions de cinéma en marge de la théorie du voyage initiatique du héros (hero’s Journey) de Joseph Campbell (1949).

    Whether by chance or amnesia, this is the second show in less than a year whose title bears the word “next” in it. One might detect a certain impatience in it, but also a mindset more interested in what comes next than in what came before, even when the worst is yet to come.

    “Maybe next time” is first and foremost an apology, though we like to hear as much deception as promise. Indeed, it's in this ambivalence that most artworks have touched us since the end of the revolutionary avant-gardes: they're driven by a belief in other possible worlds, while admitting that art can do little, if anything, about it. What would happen if this ritornello that permeates la Salle de bains, and that you may already be weary of at this point, were to become part of the language of the world's powerful? For example, in response to the inescapable chain of catastrophes linked to climate change: “Maybe next time”?

    The exhibition borrows its title from the film by Robot, the band formed in 2004 by John Miller and Takuji Kogo, bringing together their shared interest in sampling found images and poetry from spam, dating and self-help websites. In the video Maybe Next Time (2024), the lyrics, sung by various computer-generated voices, were taken from a site offering polite and credible ways of cancelling an unwanted date. This liberal prose is combined with video footage found on the Internet, showing desolate Beijing streets during the COVID 19 lockdown.

    The works brought together around this film provide new narrative elements and uncover other areas of this setting, which bears some resemblance to our world in which dystopian fictions come to fruition. But they also bear witness to studio practices and primary interests in forms that keep at a distance the justifications found on press releases, with the same nonchalance as that jazzy tune (warning: it gets stuck in your head).

    Céline Vaché-Olivieri and Bruno Silva share a penchant for wandering and collecting texts, images, and discarded consumer objects – most often from the suburbs of Paris (in her case) and the polluted beaches of the Portuguese coast (in his). Bruno Silva refers to these as “emotional residues.” They are treated with a mixture of glue and talcum powder for which he has a recipe, giving them a mummified appearance, held between life and death, as in the work entitled with Clarice (2024), a reference to the Brazilian writer Clarice Lispector. This time, however, it's a missed but longed-for connection that is evoked.

    The exhibition leans slightly toward the theme of disjointed bodies and dissipated minds, occasionally tipping this soft, urbanized melancholy into something more gore-like. Consider the voluntary trepanation inflicted by Candy Crush players in the subway, seeking solace in the comfort of their solitude (photographed by Céline Vaché-Olivieri before being transferred onto remakes of Quechua bags), or the recurring (albeit cryptic) motif of the decapitated figure in Naoki Sutter-Shudo’s sculptures. Headless (2024), placed above the desk at la Salle de bains, reprises a motif from the cover of the first issue of the journal Acéphale (1936), directed by Georges Bataille, who contributed a dark and fervent text predicting the transcendence of a mediocre human condition in the world of “educated vulgarity.” Was he already envisioning the robotization of humans?

    Naoki Sutter-Shudo's sculptures seem to consent to secret laws or to contain a hidden code. At the same time, they emerge as silly or cold evidence, as in the case of the work Incendie, while the artist is at home in Los Angeles, in the midst of unprecedented fires. Camille Dumond's Main Character Energy (2025) is an encoded work. The artist creates fictional films focusing on narrative structures and the influence of established systems on the bodies and minds of individuals. Her studio experiments, involving ceramics among other materials, produce document-like works that present data – specifically gender statistics in film narratives, on the margins of Joseph Campbell’s The Hero’s Journey theory (1949).

    translation : Katia Porro

    Liste des œuvres :
    List of works :

    1. Bruno Silva, leftovers, 2024
    objets trouvés en bord de mer, solution de colle blanche, talc et poudre de coquilles d’huitre
    10×10×8cm

    2. Céline Vaché-Olivieri, THE TART BAG, 2024
    tissus, papiers, étiquettes, transferts copie du modèle NH Escape 500 de la marque Quechua
    50×30×16cm

    3. Naoki Sutter-Shudo, Oasis, 2022
    bois, émail, aluminium anodisé, laiton, acier inoxydable
    13×39×43 cm
    Courtesy Crèvecœur

    4. ROBOT (Takuji Kogo + John Miller), Maybe Next Time, 2024
    video, 3’52, en boucle

    5. Bruno Silva, it, 2024
    sacs à légumes, transfert d’impression jet d’encre sur colle blanche, vernis acrylique anti-uv
    61×41 cm

    6. Naoki Sutter-Shudo, Incendie, 2020
    bois, émail, acier, os de colombe caoutchouté
    49.5×47×29.5 cm
    Courtesy Crèvecœur

    7. Céline Vaché-Olivieri, Objects in the mirror are closer than they appear (Mouth), 2025
    miroir de rétroviseur, papier - série depuis 2020
    15×13×0.5cm

    8. Bruno Silva, with Clarice, 2024
    emballage de melons, écorces d’orange, solution de colle blanche et de talc, marc de café, coupes de glace
    58×38×20 cm

    9. Bruno Silva, insomniacs (série), 2024
    images de livres de cuisine, impressions par transfert, colle blanche, vernis acrylique anti-uv
    17×25×1 cm

    10. Camille Dumond, Main character energy, 2025
    plaque en acier, plexiglass gravé, faïence en nériage, aimants
    120×60 cm

    11. Naoki Sutter-Shudo, Headless, 2024
    bois émaillé, acier inoxydable
    45×30×10 cm
    Courtesy Crèvecœur
    1. Bruno Silva, leftovers, 2024
    objects found by the sea,white glue solution,
    talcum powder, oyster shell powder
    10×10×8cm

    2. Céline Vaché-Olivieri, THE TART BAG, 2024
    fabrics, papers, labels, transfers copy of
    NH Escape 500 from Quechua
    50×30×16cm

    3. Naoki Sutter-Shudo, Oasis, 2022
    wood, enamel, anodised aluminium, brass,
    stainless steel 13×39×43 cm
    Courtesy Crèvecœur

    4. ROBOT (Takuji Kogo + John Miller), Maybe Next Time, 2024
    video, 3’52, loop

    5. Bruno Silva, it, 2024
    vegetable bags, inkjet print transfer on white glue,
    acrylic anti-uv varnish
    61×41 cm

    6. Naoki Sutter-Shudo, Incendie, 2020
    wood, enamel, steel, rubberised dove bone
    49.5×47×29.5 cm
    Courtesy Crèvecœur

    7. Céline Vaché-Olivieri, Objects in the mirror are closer than they appear (Mouth), 2025
    rear-view mirror, paper - since 2020
    15×13×0.5cm

    8. Bruno Silva, with Clarice, 2024
    melon wrappers, orange peel, white glue and talc
    solution, coffee grounds, ice cream cups
    58×38×20 cm

    9. Bruno Silva, insomniacs (series), 2024
    cookbook images, transfer prints, white glue,
    acrylic waterproof varnish
    17×25×1 cm

    10. Camille Dumond, Main character energy, 2025
    steel plate, engraved plexiglass, ceramic tiles, magnets
    120×60 cm

    11. Naoki Sutter-Shudo, Headless, 2024
    enamelled wood, stainless steel
    45×30×10 cm
    Courtesy Crèvecœur
    Maybe Next Time_affiche_web
    MAYBE NEXT TIME, 2025
    Affiche

    Camille Dumond (1988) vit et travaille entre Genève et la Normandie. Sa pratique se déploie sous la forme de sculptures, d'installations et de la réalisation de films. Son travail a été présenté en France à Triangle, Glassbox Paris, la Biennale de Saint Flour, le FRAC des Pays de la Loire. En Suisse, elle a exposé au Centre d'art contemporain de Genève (2015, 2021, 2022), Centre d'Art de Neuchâtel (2021), Palais de l'Athénée - salle Crosnier (2022), EAC les Halles (2022), et dans plusieurs artist run space (Forde, Hamlet, Unanimous conscent, Palazzina, Sihlhalle). Son travail a été montré à l'international à la Brasserie Atlas (2018), Microscope gallery (2018), le Cube - independant art room (2020), Art madrid (2020), Wieoftnoch (2023). En 2025, elle est invitée à exposer au Torrance Art Museum (Los Angeles), et à la Ferme de la Chapelle (Grand-Lancy/Genève).

    Camille Dumond (1988) lives and works between Geneva and Normandy. Her work takes the form of sculptures, installations and films. Her work has been shown in France at Triangle, Glassbox Paris, the Saint Flour Biennial and the FRAC des Pays de la Loire. In Switzerland, she has exhibited at the Centre d'art contemporain de Genève (2015, 2021, 2022), Centre d'Art de Neuchâtel (2021), Palais de l'Athénée - salle Crosnier (2022), EAC les Halles (2022), and in several artist run spaces (Forde, Hamlet, Unanimous conscent, Palazzina, Sihlhalle). Her work has been shown internationally at Brasserie Atlas (2018), Microscope gallery (2018), le Cube - independant art room (2020), Art madrid (2020), Wieoftnoch (2023). In 2025, she has been invited to exhibit at the Torrance Art Museum (Los Angeles), and at the Ferme de la Chapelle (Grand-Lancy/Geneva).
    Takuji Kogo (1965) vit et travaille à Fukuoka, au Japon. Artiste et curateur en charge de *CANDY FACTORY PROJECTS, une plateforme de projets artistiques collaboratifs internationaux. Il a produit un grand nombre d'œuvres en solo et en collaboration sous le nom de *CANDY FACTORY PROJECTS et les a présentées notamment à la Biennale de Kyev, au NBK en Allemagne, à l'ICA de Miami, au MAGASIN à Grenoble, au New Museum de New York, au MOMA de New York.. L’artiste a développé des collaborations de long terme avec les artistes Federico Baronello, Mike Bode, Young-hae Chang, Heavy Industries, Charles Lim Yi Yong, Keiichi Miyagawa, Sean Snyder ainsi que john Miller, avec qui il forme le duo musical virtuel ROBOT.
    Takuji Kogo (1965) lives and works in Fukuoka, Japan. Artist and curator in charge of *CANDY FACTORY PROJECTS, a platform for international collaborative art projects. He has produced a large number of solo and collaborative works under the name *CANDY FACTORY PROJECTS and has presented them at the Kyev Biennial, the NBK in Germany, the ICA in Miami, the MAGASIN in Grenoble, the New Museum in New York and the MOMA in New York, among others. The artist has developed long-term collaborations with artists Federico Baronello, Mike Bode, Young-hae Chang, Heavy Industries, Charles Lim Yi Yong, Keiichi Miyagawa, Sean Snyder and John Miller, with whom he forms the virtual musical duo ROBOT.

    John Miller (1954) vit et travaille à New York et à Berlin. Avec Mike Kelley et Jim Shaw, Miller a fait partie d'un groupe influent d'artistes qui ont étudié à CalArts dans les années 1970. En 2016, l'Institute of Contemporary Art de Miami a présenté la première grande exposition américaine de son œuvre. Expositions individuelles (sélection) : The Schinkel Pavillon, Berlin (2020), Kubus, Wien (avec Richard Hoeck, 2013) ; Museum Ludwig, Cologne (2011) ; Kunsthalle Zurich (2009) ; Cabinet des Estampes au Musée d'art moderne et contemporain, Genève (2004) ; The Morris and Helen Belkin Gallery, University of British Columbia, Vancouver (avec Mike Kelley, 2000) ; Le Magasin, Centre National d'Art Contemporain de Grenoble ; Kunstverein Hamburg (1999).

    John Miller (1954) lives and works in New York and Berlin. Along with Mike Kelley and Jim Shaw, Miller was part of an influential group of artists who studied at CalArts in the 1970s. In 2016, the Institute of Contemporary Art in Miami presented the first major American exhibition of his work. Solo exhibitions (selection): The Schinkel Pavillon, Berlin (2020), Kubus, Wien (with Richard Hoeck, 2013); Museum Ludwig, Cologne (2011); Kunsthalle Zurich (2009); Cabinet des Estampes at the Musée d'art moderne et contemporain, Geneva (2004); The Morris and Helen Belkin Gallery, University of British Columbia, Vancouver (with Mike Kelley, 2000); Le Magasin, Centre National d'Art Contemporain de Grenoble; Kunstverein Hamburg (1999)
     
    Bruno Silva (1986, Portugal), vit et travaille à Clermont-Ferrand. Il est diplômé de l’Ecole Supérieure d’Art de Clermont-Ferrand et de la Faculdade de Belas Artes de Porto. Son travail a été récemment présenté dans les expositions personnelles à Violet artspace (Anvers), Galeria Ocupa (Porto), DONAU (Porto), Campanice (Porto), Le Creux de l’enfer (Thiers), Bikini (Lyon), Flux Factory (USA). En 2025, il est invité pour des expositions à Consultorio (Chamusca), Frappant gallery (Hamburg), Salto (Lisbonne).
    Bruno Silva (1986, Portugal) lives and works in Clermont-Ferrand. He graduated at Ecole Supérieure d'Art de Clermont-Ferrand and Faculdade de Belas Artes de Porto. His work has recently been shown in solo exhibitions at Violet artspace (Antwerp), Galeria Ocupa (Porto), DONAU (Porto), Campanice (Porto), Le Creux de l'enfer (Thiers), Bikini (Lyon), Flux Factory (USA). In 2025, he was invited to exhibit at Consultorio (Chamusca), Frappant gallery (Hamburg), Salto (Lisbon).
    Naoki Sutter Shudo (1990) vit et travaille à Los Angeles. Son travail explore plusieurs médias, tels que la sculpture, la photographie, la peinture et l'écriture. Il est le fondateur de la galerie Bel Ami. Son travail a récemment été exposé à la galerie Crèvecoeur (2021),  à XYZ Collective, à Tokyo (2022), à Bodega, à New York (2021), Derosia, New York (2024), Gaga & Reena Spaulings, Los Angeles (2024).
    Naoki Sutter Shudo (1990) lives and works in Los Angeles. His work explores several media including sculpture, photography, painting and writing. He is the founder of the Bel Ami gallery. His work has recently been shown at Crèvecoeur Gallery (2021), XYZ Collective, Tokyo (2022), Bodega, New York (2021), Derosia, New York (2024), Gaga & Reena Spaulings, Los Angeles (2024).
     

    Céline Vaché-Olivieri (1978) Vit et travaille en région parisienne. Elle est diplômée de la Hear Strasbourg. Son travail a été récemment montré à Pauline Perplexe, Arcueil (2024), Plateau Frac Ile-de-France (2023), Galerie Florence Loewy, Paris (2021), Ecole municipale des Beaux-arts Edouard Manet à Gennevilliers (2019) , Les Capucins à Embruns (2016).

    Céline Vaché-Olivieri (1978) lives and works in Paris. She is a graduate of la Hear Strasbourg. Her work has recently been shown at Pauline Perplexe, Arcueil (2024), Plateau Frac Ile-de-France (2023), Galerie Florence Loewy, Paris (2021), Ecole municipale des Beaux-arts Edouard Manet à Gennevilliers (2019), Les Capucins à Embruns (2016).
    La Salle de bains reçoit le soutien du Ministère de la Culture DRAC Auvergne-Rhône-Alpes,
    de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et de la Ville de Lyon.
    MNT
    MNT
    MNT
    MNT
    MNT
    MNT
    MNT
    MNT
    MNT
    MNT

    La Salle de bains

    1 rue Louis Vitet,

    69001 Lyon, France

    Ouverture

    du mercredi au samedi

    de 15h à 19h

    La Salle de Bains reçoit le soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, de la Ville de Lyon et du Ministère de la Culture - DRAC Auvergne-Rhône-Alpes.

    Elle est membre des réseaux AC//RA et ADELE.

    La Salle de bains est une association loi 1901 fondée par Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot en 1998 à Lyon.

    Les activités de La Salle de bains reposent sur la production d’œuvres, d’expositions, d’éditions d’artistes contemporains nationaux et internationaux de générations différentes, et d’événements liés de manière transversale à la programmation annuelle du lieu.

    La Salle de bains assure l’accès et l’accompagnement de cette programmation auprès de divers types de publics issus de son territoire d’implantation.

    Elle travaille au développement de réseaux et à la conception de projets.

    En 2008, la structure a déménagé du 56 de la rue Saint-Jean, située dans le centre historique de Lyon (5e arrondissement), au 27 de la rue Burdeau (1er arrondissement) sur les pentes de la Croix-Rousse.
    En 2016, La Salle de bains se déplace au 1 rue Louis Vitet dans le 1er arrondissement de Lyon. L’espace se propose comme un lieu de convergence et de redéploiement d’une activité élargie hors du cadre de l’exposition.


    La direction artistique a successivement été confiée aux personnes suivantes :

    • 2025 : Julie Portier
    • 2024 : Pierre-Olivier Arnaud, Nadine Droste, Julie Portier
    • 2017 – 2023 : Pierre-Olivier Arnaud et Julie Portier
    • 2016 – 2017 : Armando Andrade Tudela, Elsa Audouin, Pierre-Olivier Arnaud, Magalie Meunier, Julie Portier
    • 2013 – 2016 : Caroline Soyez-Petithomme
    • 2009 – 2013 : Caroline Soyez-Petithomme et Jill Gasparina
    • 2004 – 2008 : Olivier Vadrot et Vincent Pécoil
    • 2002 – 2003 : Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot
    • 1999 – 2001 : Olivier Vadrot, Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue

    Crédits — Mentions légales

    Crédits

    Le site web a été conçu et réalisé en 2022 par l’atelier Diakité x Comerro.
    Design graphique : Lucie Comerro
    Programmation informatique : Samuel Diakité
    Interface : CMS Extra Backoff (Système de Gestion de Contenu initié en 2011 par Samuel Diakité)
    Font : Brut Grotesque, Bureau Brut

    La refonte du site web et son identité s’inscrivent dans le prolongement de la précédente version réalisée en 2016 par Elsa Audouin et l’équipe de La Salle de bains.

    Mentions légales

    Le présent site est la propriété de l’association « La Salle de bains » , établissement privé situé au 1 rue Louis Vitet 69001 Lyon (France) - Courriel : infos@lasalledebains.net.

    La directrice de la publication du site Web est Madame Agathe Chevallier en qualité de coordinatrice.

    Ce site Web a été designé par la graphiste, Lucie Comerro (Courriel : lucie.comerro@gmail.com - Site Web : https://comerro-studio.com/), et programmé informatiquement par Samuel Diakité (Courriel : sdiakite@extrafine.fr).

    Ce site Web est hébergé par la société OVH située, 2 rue Kellermann - 59100 Roubaix (France) Tél : +33(0) 9 72 10 10 07 ou 1007, Site Web : http://ovh.com/fr/support.

    Le présent site s’appuie sur la solution ExtraBackoff et utilise exclusivement des technologies et des scripts open source. Les images et photographies sont la propriété exclusive de l’association La Salle de bains ou des ayants-droits au titre d’auteurs, et ne sont pas libres de droit.

    L’internaute du site Web « lasalledebains.net » reconnaît disposer de la compétence et des moyens nécessaires pour accéder et utiliser ce site. Il reconnaît également avoir vérifié que la configuration informatique utilisée ne contient aucun virus et qu’elle est en parfait état de fonctionnement. Enfin, l’internaute reconnaît également avoir pris connaissance de la présente notice légale et s’engage à la respecter.

    L’accès au site Web ainsi que son utilisation du Site impliquent l’acceptation sans réserve ni restriction de ses présentes conditions d’utilisation.
    Si vous n’acceptez pas ses présentes conditions d’utilisation, nous vous prions de quitter immédiatement ce site.

    En conformité avec les dispositions de la loi du 6 janvier 1978 modifiée relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, le traitement automatisé des données nominatives réalisées à partir du site Web « lasalledebains.net » n’a pas à faire l’objet de déclaration auprès de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) en vertu de la dispense de déclaration n°7 (J.O. n°128 du 3 juin 2006).

    L’internaute est informé que lors de ses visites sur le site, un cookie peut s’installer automatiquement sur son logiciel de navigation. Un cookie est un élément qui ne permet pas d’identifier l’internaute mais sert à enregistrer des informations relatives à la navigation de celui-ci sur le site Web. Le paramétrage de votre logiciel de navigation permet d’informer de la présence de cookies et éventuellement de la refuser selon la procédure décrite à l’adresse suivante : www.cnil.fr.


    Le site Web « lasalledebains.net » utilise le service d’analyse d’audience « Matomo » qui utilise des « cookies » permettant d’analyser la façon dont les internautes d’utilisent le site Web « lasalledebains.net ». Les informations générées par les cookies sont stockées sur le serveur de La Salle de bains et ne sont pas communiquées à des tiers.

    Sur la base du premier paragraphe de l’article 6 du Règlement général sur la protection des données (RGPD), La Salle de bains a un intérêt légitime à analyser le comportement des utilisateurs afin d’optimiser le site Web « lasalledebains.net » et sa publicité.

    Cependant, vous avez la possibilité d’empêcher la collecte et le stockage de vos données au sein de la configuration de votre navigateur Web.


    L’internaute dispose d’un droit d’accès, de modification, de rectification et de suppression des données qui le concernent (article 38 et suivants de la loi « Informatique et Libertés »). Pour l’exercer, l’internaute peut s’adresser à l’association La Salle de bains (voir au début de ce présent document).

    La Salle de bains intègre pleinement les exigences strictes des autorités françaises et européennes en matière de protection des données lors de l’utilisation des différents services cités précédemment.

    Toute reproduction ou représentation totale ou partielle de ce site (textes et images) par quelque procédé que ce soit, sans l’autorisation expresse de La Salle de bains, ou de ses représentants légaux est interdite et constituerait une contre façon sanctionnée par les articles L335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

    Les bases de données figurant sur le site Web sont protégées par les dispositions de la loi du 11 juillet 1998 portant transposition dans le Code de la propriété intellectuelle (CPI) de la directive européenne du 11 mars 1996 relative à la protection juridique des bases de données.
    Sont notamment interdites l’extraction et la réutilisation, quantitativement ou qualitativement substantielles, du contenu des bases de données contenues sur ce site Web. Tout contrevenant s’expose aux sanctions visées aux articles L343-1 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
    Les marques de l’association La Salle de bains et de ses partenaires, ainsi que les logos figurant sur le site sont des marques (semi-figuratives ou non) et sont déposées. Toute reproduction totale ou partielle de ces marques ou de ces logos effectuées à partir des éléments du site, est prohibée, au sens des articles L713-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

    Le site Web de La Salle de bains offre des liens vers d’autres sites Web ou d’autres ressources disponibles sur Internet. La Salle de bains ne dispose d’aucun moyen pour contrôler les sites en connexion avec son site Web. La Salle de bains ne répond pas de la disponibilité de tels sites et sources externes, ni ne la garantit. Elle ne peut être tenue pour responsable de tout dommage, de quelque nature que ce soit, résultant du contenu de ces sites ou sources externes, et notamment des informations, produits ou services qu’ils proposent, ou de tout usage qui peut être fait de ces éléments. Les risques liés à cette utilisation incombent pleinement à l’internaute, qui doit se conformer à leurs conditions d’utilisation.

    Les informations contenues sur ce site sont aussi précises que possibles et le site est périodiquement remis à jour, mais peut toutefois contenir des inexactitudes, des omissions ou des lacunes. Si vous constatez une lacune, erreur ou ce qui parait être un dysfonctionnement, merci de bien vouloir le signaler par email en décrivant le problème de la manière la plus précise possible (page posant problème, action déclenchante, type d’ordinateur et de navigateur utilisé, …). Tout contenu téléchargé se fait aux risques et périls de l’internaute et sous sa seule responsabilité. En conséquence, La Salle de bains ne saurait être tenu responsable d’un quelconque dommage subi par l’ordinateur de l’internaute ou d’une quelconque perte de données consécutives au téléchargement.

    La Salle de bains met en œuvre tous les moyens dont elle dispose, pour assurer une information fiable et une mise à jour fiable de son site Web. Toutefois, des erreurs ou omissions peuvent survenir. L’internaute devra donc s’assurer de l’exactitude des informations auprès de La Salle de bains, et signaler toutes modifications du site qu’il jugerait utile. La Salle de bains n’est en aucun cas responsable de l’utilisation faite de ces informations, et de tout préjudice direct ou indirect pouvant en découler.

    Nous remercions les internautes du site de nous faire part d’éventuelles omissions, erreurs, corrections, en nous contactant le cas échéant.