À venir 4
28 juin à 18h30
Lectures et discussion à "l'heure du yoga" avec 
Vidya Gastaldon autour de son roman Bleu Extase (art&fiction, 2025)

1994, une rave. Une jeune femme se retrouve prise dans une expérience initiatique. Elle se découvre au cœur d’un océan de perceptions.
 
À venir 5
2 août — 21 septembre 20252 August — 21 September 2025
Gina Proenza
Saga 1 (Les pains)

à Treignac Projet (Corrèze)
 
À venir 6
26 septembre — 22 novembre 202526 September — 22 November 2025
Gina Proenza
Saga 2 (Les loups)
 
À venir 7
5 décembre 2025 — 28 février 20265 December 2025 — 28 February 2026
Simon Dybbroe Møller
proposé par Benoît Lamy de la Chapelle

1 rue Louis Vitet — Lyon

Mercredi-Samedi, 15h-19h

    06/2007 Gerald Petit Sexy Dancer
    FRENVuesTexteÉditionDossier de presse
    Sexy Dancer - Gerald Petit
    Sexy Dancer - Gerald Petit
    Sexy Dancer - Gerald Petit
    Sexy Dancer - Gerald Petit
    Sexy Dancer - Gerald Petit
    Sexy Dancer - Gerald Petit
    Photos : © La Salle de bains
    Photos : © La Salle de bains

    Sexy Dancer

    Du 2 juin au 29 juillet 2007From 2 June to 29 July 2007
    Des sérigraphies évoquant des pochettes, un dance floor redressé à la verticale : les éléments rassemblés dans l’exposition évoquent l’environnement visuel de la musique. Traditionnellement, l’art moderne s’est servi de l’analogie entre art et musique comme un moyen de légitimer l’abstraction – de la sauver de l’arbitraire. (Les pionniers de l’abstraction réalisaient des "compositions" picturales au même titre que les musiciens composaient avec des sons des pièces non-figuratives.) La musique pop est plus proche de l’opéra, de l’œuvre d’art totale, avec ses shows sons et lumières. Ici, ce principe est tordu et entraîné vers ce qui est un équivalent aujourd’hui du livret d’opéra, la pochette de disque, marquant la transformation de la musique en un produit industriel. Comme tous les produits industriels, les disques ont le don d’ubiquité, étant simultanément disponibles à des millions d’exemplaires, démultipliant en autant d’exemplaires l’image de leurs auteurs réels ou supposés, et les transformant de ce fait en icônes plus ou moins mythiques.

    Des sérigraphies évoquant des pochettes, un dance floor redressé à la verticale : les éléments rassemblés dans l’exposition évoquent l’environnement visuel de la musique. Traditionnellement, l’art moderne s’est servi de l’analogie entre art et musique comme un moyen de légitimer l’abstraction – de la sauver de l’arbitraire. (les pionniers de l’abstraction réalisaient des « compositions » picturales au même titre que les musiciens composaient avec des sons des pièces non-figuratives.) La musique pop est plus proche de l’opéra, de l’oeuvre d’art totale, avec ses shows sons et lumières. Ici, ce principe est tordu et entraîné vers ce qui est un équivalent aujourd’hui du livret d’opéra, la pochette de disque, marquant la transformation de la musique en un produit industriel. Comme tous les produits industriels, les disques ont le don d’ubiquité, étant simultanément disponibles à des millions d’exemplaires, démultipliant en autant d’exemplaires l’image de leurs auteurs réels ou supposés, et les transformant de ce fait en icônes plus ou moins mythiques. (Un effet accentué par le genre de photographie utilisé pour réaliser ces portraits, un genre de photographie tirant systématiquement vers l’irréel, transformant les personnes en êtres synthétiques.)

    Toutes les images sérigraphiées sont noir et blanc, de même que le dance floor, mais chaque partie de l’exposition est filtrée par les motifs de couleurs sur la vitre qui en modifient la perception, comme sous influence. Une pièce déteint en fait sur les autres, les altère selon le point de vue. (Comme on dit des états de conscience « altérés »). Cette distorsion de la perception fonctionne comme un analogue de l’imagerie psychédélique du funk. Le dance floor redressé devient lui aussi une image, évoquant les scènes de danse filmées indissociables de l’image de cette musique, le scintillement du lettrage renvoyant aux paillettes et au ciel étoilé du show-biz.

    L’imagerie de l’exposition évoque donc celle du funk – de ses personnages mi-fictifs mi-réels, transfigurés par la photographie de studio, aux déguisements inspirés de ceux des comics (les super-héros comme l’aéropage mythologique de l’ère contemporaine). Le funk a ses walkyries, sa mythologie tordue, cosmogonie new-age. Comme dans toute mythologie, il y est question de sexe, de la création (du monde, des formes), et de l’histoire d’un certain nombre de personnages. L’innommable (pendant un temps du moins) Prince en est un, savamment construit, devenu pure image puisque sans nom. Comme beaucoup de groupes pop, les groupes funk sont souvent une image qui est un masque pour un auteur passant d’un groupe à l’autre, et, en fait, composant toutes les musiques et parfois interprétant les chansons à leur place. Prince est ainsi à l’origine de groupes qui étaient les siens de A à Z, jouant et chantant souvent à la place de ceux qui se substituaient à lui sur les pochettes ou sur scène, comme The time, The Family, Vanity 6 ou Apollonia 6, pour n’en citer que quelques-uns. Son portrait placé à l’entrée de l’exposition suggère que le reste de l’exposition pourrait être l’une de ses créations, la dernière en date. L’iconographie déployée paraît plausible avec cet univers, semblant correspondre à l’imagerie glamour et clinquante de ce type de musique.

    Vincent Pécoil
    Des sérigraphies évoquant des pochettes, un dance floor redressé à la verticale : les éléments rassemblés dans l’exposition évoquent l’environnement visuel de la musique. Traditionnellement, l’art moderne s’est servi de l’analogie entre art et musique comme un moyen de légitimer l’abstraction – de la sauver de l’arbitraire. (Les pionniers de l’abstraction réalisaient des "compositions" picturales au même titre que les musiciens composaient avec des sons des pièces non-figuratives.) La musique pop est plus proche de l’opéra, de l’œuvre d’art totale, avec ses shows sons et lumières. Ici, ce principe est tordu et entraîné vers ce qui est un équivalent aujourd’hui du livret d’opéra, la pochette de disque, marquant la transformation de la musique en un produit industriel. Comme tous les produits industriels, les disques ont le don d’ubiquité, étant simultanément disponibles à des millions d’exemplaires, démultipliant en autant d’exemplaires l’image de leurs auteurs réels ou supposés, et les transformant de ce fait en icônes plus ou moins mythiques.

    Des sérigraphies évoquant des pochettes, un dance floor redressé à la verticale : les éléments rassemblés dans l’exposition évoquent l’environnement visuel de la musique. Traditionnellement, l’art moderne s’est servi de l’analogie entre art et musique comme un moyen de légitimer l’abstraction – de la sauver de l’arbitraire. (les pionniers de l’abstraction réalisaient des « compositions » picturales au même titre que les musiciens composaient avec des sons des pièces non-figuratives.) La musique pop est plus proche de l’opéra, de l’oeuvre d’art totale, avec ses shows sons et lumières. Ici, ce principe est tordu et entraîné vers ce qui est un équivalent aujourd’hui du livret d’opéra, la pochette de disque, marquant la transformation de la musique en un produit industriel. Comme tous les produits industriels, les disques ont le don d’ubiquité, étant simultanément disponibles à des millions d’exemplaires, démultipliant en autant d’exemplaires l’image de leurs auteurs réels ou supposés, et les transformant de ce fait en icônes plus ou moins mythiques. (Un effet accentué par le genre de photographie utilisé pour réaliser ces portraits, un genre de photographie tirant systématiquement vers l’irréel, transformant les personnes en êtres synthétiques.)

    Toutes les images sérigraphiées sont noir et blanc, de même que le dance floor, mais chaque partie de l’exposition est filtrée par les motifs de couleurs sur la vitre qui en modifient la perception, comme sous influence. Une pièce déteint en fait sur les autres, les altère selon le point de vue. (Comme on dit des états de conscience « altérés »). Cette distorsion de la perception fonctionne comme un analogue de l’imagerie psychédélique du funk. Le dance floor redressé devient lui aussi une image, évoquant les scènes de danse filmées indissociables de l’image de cette musique, le scintillement du lettrage renvoyant aux paillettes et au ciel étoilé du show-biz.

    L’imagerie de l’exposition évoque donc celle du funk – de ses personnages mi-fictifs mi-réels, transfigurés par la photographie de studio, aux déguisements inspirés de ceux des comics (les super-héros comme l’aéropage mythologique de l’ère contemporaine). Le funk a ses walkyries, sa mythologie tordue, cosmogonie new-age. Comme dans toute mythologie, il y est question de sexe, de la création (du monde, des formes), et de l’histoire d’un certain nombre de personnages. L’innommable (pendant un temps du moins) Prince en est un, savamment construit, devenu pure image puisque sans nom. Comme beaucoup de groupes pop, les groupes funk sont souvent une image qui est un masque pour un auteur passant d’un groupe à l’autre, et, en fait, composant toutes les musiques et parfois interprétant les chansons à leur place. Prince est ainsi à l’origine de groupes qui étaient les siens de A à Z, jouant et chantant souvent à la place de ceux qui se substituaient à lui sur les pochettes ou sur scène, comme The time, The Family, Vanity 6 ou Apollonia 6, pour n’en citer que quelques-uns. Son portrait placé à l’entrée de l’exposition suggère que le reste de l’exposition pourrait être l’une de ses créations, la dernière en date. L’iconographie déployée paraît plausible avec cet univers, semblant correspondre à l’imagerie glamour et clinquante de ce type de musique.

    Vincent Pécoil
    Sexy Dancer_carton d'invitation
    Sexy Dancer, 2007
    carton d'invitation
    Gerald Petit, né en 1973 (France).
    Vit et travaille à Dijon.
    Gerald Petit, né en 1973 (France).
    Vit et travaille à Dijon.
    La Salle de bains reçoit le soutien du Ministère de la Culture DRAC Auvergne-Rhône-Alpes,
    de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et de la Ville de Lyon.
    GERALD PETIT1
    GERALD PETIT2
    GERALD PETIT3
    GERALD PETIT6
    GERALD PETIT4
    GERALD PETIT5

    La Salle de bains

    1 rue Louis Vitet,

    69001 Lyon, France

    Ouverture

    du mercredi au samedi

    de 15h à 19h

    La Salle de Bains reçoit le soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, de la Ville de Lyon et du Ministère de la Culture - DRAC Auvergne-Rhône-Alpes.

    Elle est membre des réseaux AC//RA et ADELE.

    La Salle de bains est une association loi 1901 fondée par Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot en 1998 à Lyon.

    Les activités de La Salle de bains reposent sur la production d’œuvres, d’expositions, d’éditions d’artistes contemporains nationaux et internationaux de générations différentes, et d’événements liés de manière transversale à la programmation annuelle du lieu.

    La Salle de bains assure l’accès et l’accompagnement de cette programmation auprès de divers types de publics issus de son territoire d’implantation.

    Elle travaille au développement de réseaux et à la conception de projets.

    En 2008, la structure a déménagé du 56 de la rue Saint-Jean, située dans le centre historique de Lyon (5e arrondissement), au 27 de la rue Burdeau (1er arrondissement) sur les pentes de la Croix-Rousse.
    En 2016, La Salle de bains se déplace au 1 rue Louis Vitet dans le 1er arrondissement de Lyon. L’espace se propose comme un lieu de convergence et de redéploiement d’une activité élargie hors du cadre de l’exposition.


    La direction artistique a successivement été confiée aux personnes suivantes :

    • 2025 : Julie Portier
    • 2024 : Pierre-Olivier Arnaud, Nadine Droste, Julie Portier
    • 2017 – 2023 : Pierre-Olivier Arnaud et Julie Portier
    • 2016 – 2017 : Armando Andrade Tudela, Elsa Audouin, Pierre-Olivier Arnaud, Magalie Meunier, Julie Portier
    • 2013 – 2016 : Caroline Soyez-Petithomme
    • 2009 – 2013 : Caroline Soyez-Petithomme et Jill Gasparina
    • 2004 – 2008 : Olivier Vadrot et Vincent Pécoil
    • 2002 – 2003 : Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot
    • 1999 – 2001 : Olivier Vadrot, Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue

    Crédits — Mentions légales

    Crédits

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    Design graphique : Lucie Comerro
    Programmation informatique : Samuel Diakité
    Interface : CMS Extra Backoff (Système de Gestion de Contenu initié en 2011 par Samuel Diakité)
    Font : Brut Grotesque, Bureau Brut

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