1 rue Louis Vitet — Lyon

Mercredi-Samedi, 15h-19h

    11/2008 Christian Andersson, Julien Audebert, Philippe Decrauzat, Amy Granat, Alexander Gutke, Bettina Samson, Peter Tscherkassky L’éternel retour 1 : La méduse
    L’éternel retour 1 : La méduse - Christian Andersson,Julien Audebert,Philippe Decrauzat,Amy Granat,Alexander Gutke,Bettina Samson,Peter Tscherkassky
    L’éternel retour 1 : La méduse - Christian Andersson,Julien Audebert,Philippe Decrauzat,Amy Granat,Alexander Gutke,Bettina Samson,Peter Tscherkassky
    L’éternel retour 1 : La méduse - Christian Andersson,Julien Audebert,Philippe Decrauzat,Amy Granat,Alexander Gutke,Bettina Samson,Peter Tscherkassky
    L’éternel retour 1 : La méduse - Christian Andersson,Julien Audebert,Philippe Decrauzat,Amy Granat,Alexander Gutke,Bettina Samson,Peter Tscherkassky
    L’éternel retour 1 : La méduse - Christian Andersson,Julien Audebert,Philippe Decrauzat,Amy Granat,Alexander Gutke,Bettina Samson,Peter Tscherkassky
    Photos : © La Salle de bains
    Photos : © La Salle de bains

    L’éternel retour 1 : La méduse

    Du 17 novembre au 24 décembre 2008From 17 November to 24 December 2008
    « L’éternel retour 1 : la méduse » s’intéresse au photogramme cinématographique, ou Frozen Film, extirpé de son contexte spatiotemporel. Un renversement s’opère : celui du passage de la salle de cinéma à la salle d’exposition. La croyance en l’image cinématographique est effectivement mise à l’épreuve dans l’exposition, à travers notamment un nouveau rapport à l’immobilité : d’une place assise et immobile, le spectateur devient mouvant. Dans « La Méduse », le mouvement est inversé – le spectateur tourne autour d’œuvres cinématographiques devenues immobiles. Plus généralement, et dans un mouvement de distanciation brechtienne, le cinéma peut être considéré ici d’un point de vue structurel qui s’éloigne de toute construction traditionnelle du récit, mettant ainsi à nu les rouages de ce qui constitue l’essence même du cinéma, c’est-à-dire sa technicité et sa cinématique. L’exposition présente une sélection d’œuvres traitant ou illustrant cette problématique du Frozen Film.

    Ainsi, de façon ironique, 9 ways to say it’s over (2006) d’Alexander Gutke prend à rebours toute notion narrative, annonçant d’emblée la fin d’un film qui reste à inventer. Neuf photographies d’arrêts sur image extraits de différents films en noir et blanc des années 1920 à 1960 reprennent le mot « fin », écrit en différentes langues. Aussi évident que cela paraisse aujourd’hui, le signe « fin » a joué un grand rôle dans la manière de mettre fin à l’expérience d’un film. Le film arrive à sa destination narrative finale alors que le terrain psychologique créé entre le spectateur, les personnages et l’histoire continue de vivre une vie autonome.

    Texte kinescopé sur un film 35 mm, Odyssée (adaptation) (2007) de Julien Audebert fonctionne sur un postulat simple : celui du paradoxe de la transcription d’un texte sur un objet qui le rend par là même illisible. L’Odyssée d’Homère se retrouve ici réduit à une simple bobine de film qui, si elle était projetée à 24 images par seconde, ne révèlerait qu’une suite de photogrammes où le texte serait imperceptible par l’œil. Julien Audebert prend ainsi à rebours la construction de l’image cinématographique – et du récit classique – en interrogeant « essentiellement la place du regardeur, sa perception, l’acte du regard ».

    Le wall painting de Philippe Decrauzat – Komakino, (2005) – enveloppe une partie de l’espace et questionne un nouveau rapport perceptif à l’espace-temps. Philippe Decrauzat utilise ici, comme base de sa composition, la forme géométrique d’une perforation de la Dreamachine de Brion Gysin. La proportion des éléments ne permet cependant pas de distinguer le fond du motif, provoquant un effet hypnotique sur le spectateur. Au sol, l’installation de Bettina Samson intitulée Warren, ¼ de seconde en cinémascope, (2007) entraîne elle aussi un effet de dilatation de l’espace et du temps. Les sept portraits en faïence anamorphosés de l’acteur Warren Oates correspondent chacun à un photogramme, réintroduits dans notre réalité tridimensionnelle, d’environ ¼ de seconde de pellicule d’un film en format cinémascope : l’anamorphose en hauteur correspond à la compression horizontale de l’image (via une lentille) qui permet au film d’être projeté en panoramique.

    Amy Granat travaille principalement le film 16 mm et la photographie, qui exercent souvent une influence l’un sur l’autre. S’inscrivant dans la lignée d’une certaine pratique du cinéma expérimental, elle traite chimiquement le celluloïd, raye, coupe et perfore directement la bande filmique. Cette valeur ajoutée au film prend toute son ampleur non seulement lors de la projection mais aussi sur les photogrammes qu’elle développe. Avec la série Chinacat Flowers (2008), Amy Granat fait référence à China Cat Sunflower, chanson écrite par le groupe de rock psychédélique Grateful Dead en 1969. Amy Granat prend ici les fleurs comme la métaphore d’un élément où s’exprime une nature sauvage. Vues depuis une certaine distance, ces photogrammes peuvent devenir sauvages et se transformer en formes abstraites.

    Avec Motion Picture : La Sortie des ouvriers de l’usine Lumière à Lyon (1984), Peter Tscherkassky réinterprète une image issue de la genèse du cinéma. Dans une chambre noire, l’artiste a disposé 50 bandes de film non exposées sur une surface mesurant 60 × 80 cm, sur lesquelles il a projeté une image de La Sortie des ouvriers de l’usine Lumière à Lyon – film historique des frères Lumière. L’assemblage des sections développées compose le nouveau film, qui déchiffre l’image originelle comme la page d’une partition musicale : le long des bandes de haut en bas, et séquentiellement de gauche à droite.

    Enfin, The Philadelphia Experiment (1984 VHS Copy) (2004) de Christian Andersson, par un procédé qui « floute » notre perception, défie le pouvoir de l’antique Méduse qui pétrifiait de son regard tous ceux qui la croisaient. L’artiste présente une cassette VHS sur un socle noir coiffé d’un plexiglas. Mais notre perception de cet objet semble plongée dans un flou constant : grâce à un système de fréquences ultrarapides, la jaquette vibre et ne peut être perçue correctement par l’œil humain. Le titre fait référence au film éponyme, lui-même inspiré d’une légende urbaine selon laquelle, en 1943, un navire de l’armée américaine pouvait volontairement disparaître du champ des radars.
     
    Entitled L’éternel retour 1: La Méduse, this exhibition focuses on film still or “Frozen Film,” from the movie theater to the exhibition space. Stills challenge the suspension of disbelief through a particular new relation with (im)mobility in exhibition space. This show presents a reversed conception of movement: discarding the motionless seat, the spectator is revolving around motionless works of art. Like a Brecht’s distancing effect, here cinema can be considered from a structural point of view, which consciously wanders from the traditional narrative way of construction, and thus shows what constitutes the essence of cinema itself, i.e. its technicality and kinematics. La Méduse presents a selection of works exemplifying “Frozen Film” related issues.

    In a ironic way, Alexander Gutke’s 9 ways to say it’s over (2006) go against any narrative notion, announcing at once the end of a film which remains to be invented. Nine film stills, taken from various black and white films from 1920 to 1960, announce “The End” in a variety of languages. The filmic usage of “The End,” however obvious it may seem today, played a huge role in defining how our experience had come to an end. The film arrives at its final narrative destination while the psychological space created between the viewer, the characters and the story continues to live a life of its own.

    Transferred text on a 35mm film, Odyssée (adaptation) (2007) by Julien Audebert functions on a simple premise: the paradox of the transcription of a text onto an object, which makes its reading impossible. Homer’s Odyssey is here reduced to a film reel which, if it were projected at a 24 images per second speed, could not be perceived by the eye. Julien Audebert thus goes against the traditional way of construction of both an image and a story, and questions primarily the place of the spectator, his perception, and the act of looking at.

    With Komakino (2005), the visitor is in the center of a regular but non-continuous wall painting, made of black and white patterns. The starting point of Philippe Decrauzat’s composition is the geometrical form of Brion Gysin’s dreamachine perforation. The elements proportion doesn’t make possible a distinction of the background’s pattern. Here, the spectator can see roughcast points or port-holes. In this structure, the particular cutting finds its original function which causes a destabilization of space perception through its recurrence.

    On the floor, Bettina Samson’s installation entitled Warren, ¼ de seconde en Cinémascope (2007), questions a new perceptive relation in Space & Time. These seven sculptures are the frames, reintroduced in our three-dimensional reality, from approximately ¼ of second of film from Cinemascope format: anamorphosis in height corresponds to the horizontal compression of the image (via a lens) in Cinemascope technique, which makes possible to insert the panoramic extra-broad format—typical of westerns—on the filmstrip. The installation is stamped by this double process of relative compression and extension of the image, of space and
    temporality.

    Following a certain practice of so-called Experimental filmmakers, Amy Granat works mainly 16mm film and photography, which often exerts an influence one on the other. Through the use of acid, and through techniques such as scratching, cutting up, and puncturing, selectively applied on the films, the material aspect becomes visible, adding a new dimension to the medium: not only at the moment of projection, but also—as is the case with the photograms—on the developed photo paper. Chinacat Flowers (2008) are inspired by the lyrics of the Grateful Dead song China Cat Sunflower written in 1969. Granat understands flowers as a metaphor, since their colors and shapes represent “a bit of wild.” Seen from a certain distance, the photograms turn into wild, abstract shapes.

    With Motion Picture: La sortie des ouvriers de l’usine Lumière à Lyon (1984), Peter Tscherkassky freezes the cinema history very first image. A still taken from the Lumière film La sortie des ouvriers de l’usine Lumière à Lyon is “scanned” in a complex process and then reanimated: the picture was screened on unexposed filmstrips in a 60 × 80 cm box. But the distance between the historical artifact and modern perception is unbridgeable: solely black and white spots are visible. As a result, Motion Picture, a film made at the dawn of the age of the personal computer, is also a prophetic comment on the change in paradigms in late 20th-century culture.

    Finally, Christian Andersson’s The Philadelphia Experiment (1984 VHS Copy) (2004), thanks to a technique which blurs our eyes, defies the ancient Medusa, whose frightening face could turn outlookers to stone. A black podium with a plexi glass top displays a video cover which appears to be in a constant state of being out of focus. By having the cover vibrating in a high-speed frequency it becomes blurry to the human eye. The title refers to the eponymous film, itself inspired by the urban legend according to which, in 1943, a ship of the US Navy was invisible to Radar.
    L'éternel retour 1 : La méduse_carton d'invitation
    L’éternel retour 1 : La méduse, 2008
    carton d'invitation
    Christian Andersson, né en 1973 (Suède).
    Vit et travaille à Malmö.
    Représenté par Cristina Guerra et Nordenhake.
    Christian Andersson, né en 1973 (Suède).
    Vit et travaille à Malmö.
    Représenté par Cristina Guerra et Nordenhake.
    Julien Audebert, né en 1977 (France).
    Vit et travaille à Paris.
    Représenté par Art Concept.
    Julien Audebert, né en 1977 (France).
    Vit et travaille à Paris.
    Représenté par Art Concept.
    Philippe Decrauzat, né en 1974 (Suisse).
    Vit et travaille à Lausanne.
    Représenté par Mehdi Chouakri.
    Philippe Decrauzat, né en 1974 (Suisse).
    Vit et travaille à Lausanne.
    Représenté par Mehdi Chouakri.
    Amy Granat, née en 1976 (USA).
    Vit et travaille à New York.
    Représentée par Nikole Klagsbrun.
    Amy Granat, née en 1976 (USA).
    Vit et travaille à New York.
    Représentée par Nikole Klagsbrun.
    Alexander Gutke, né en 1971 (Suède).
    Vit et travaille à Malmö.
    Alexander Gutke, né en 1971 (Suède).
    Vit et travaille à Malmö.
    Bettina Samson, née en 1978 (France).
    Vit et travaille à Paris.
    Représentée par Galerie Sultana.
    Bettina Samson, née en 1978 (France).
    Vit et travaille à Paris.
    Représentée par Galerie Sultana.
    Peter Tscherkassky, né en 1958 (Autriche).
    Vit et travaille à Vienne.
    Peter Tscherkassky, né en 1958 (Autriche).
    Vit et travaille à Vienne.
    Commissariat : Marc Bembekoff
    Commissariat : Marc Bembekoff
    La Salle de bains reçoit le soutien du Ministère de la Culture DRAC Auvergne-Rhône-Alpes,
    de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et de la Ville de Lyon.

    Avec le soutien de Étant donnés : The French-American Fund for Contemporary Art, a program of FACE et du Forum culturel Autrichien.
    SDB-Meduse-19
    SDB-Meduse-23
    SDB-Meduse-31
    SDB-Meduse-15
    SDB-Meduse-28

    La Salle de bains

    1 rue Louis Vitet,

    69001 Lyon, France

    Ouverture

    du mercredi au samedi

    de 15h à 19h

    La Salle de Bains reçoit le soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, de la Ville de Lyon et du Ministère de la Culture - DRAC Auvergne-Rhône-Alpes.

    Elle est membre des réseaux AC//RA et ADELE.

    La Salle de bains est une association loi 1901 fondée par Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot en 1998 à Lyon.

    Les activités de La Salle de bains reposent sur la production d’œuvres, d’expositions, d’éditions d’artistes contemporains nationaux et internationaux de générations différentes, et d’événements liés de manière transversale à la programmation annuelle du lieu.

    La Salle de bains assure l’accès et l’accompagnement de cette programmation auprès de divers types de publics issus de son territoire d’implantation.

    Elle travaille au développement de réseaux et à la conception de projets.

    En 2008, la structure a déménagé du 56 de la rue Saint-Jean, située dans le centre historique de Lyon (5e arrondissement), au 27 de la rue Burdeau (1er arrondissement) sur les pentes de la Croix-Rousse.
    En 2016, La Salle de bains se déplace au 1 rue Louis Vitet dans le 1er arrondissement de Lyon. L’espace se propose comme un lieu de convergence et de redéploiement d’une activité élargie hors du cadre de l’exposition.


    La direction artistique a successivement été confiée aux personnes suivantes :

    • 2025 : Julie Portier
    • 2024 : Pierre-Olivier Arnaud, Nadine Droste, Julie Portier
    • 2017 – 2023 : Pierre-Olivier Arnaud et Julie Portier
    • 2016 – 2017 : Armando Andrade Tudela, Elsa Audouin, Pierre-Olivier Arnaud, Magalie Meunier, Julie Portier
    • 2013 – 2016 : Caroline Soyez-Petithomme
    • 2009 – 2013 : Caroline Soyez-Petithomme et Jill Gasparina
    • 2004 – 2008 : Olivier Vadrot et Vincent Pécoil
    • 2002 – 2003 : Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot
    • 1999 – 2001 : Olivier Vadrot, Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue

    Crédits — Mentions légales

    Crédits

    Le site web a été conçu et réalisé en 2022 par l’atelier Diakité x Comerro.
    Design graphique : Lucie Comerro
    Programmation informatique : Samuel Diakité
    Interface : CMS Extra Backoff (Système de Gestion de Contenu initié en 2011 par Samuel Diakité)
    Font : Brut Grotesque, Bureau Brut

    La refonte du site web et son identité s’inscrivent dans le prolongement de la précédente version réalisée en 2016 par Elsa Audouin et l’équipe de La Salle de bains.

    Mentions légales

    Le présent site est la propriété de l’association « La Salle de bains » , établissement privé situé au 1 rue Louis Vitet 69001 Lyon (France) - Courriel : infos@lasalledebains.net.

    La directrice de la publication du site Web est Madame Agathe Chevallier en qualité de coordinatrice.

    Ce site Web a été designé par la graphiste, Lucie Comerro (Courriel : lucie.comerro@gmail.com - Site Web : https://comerro-studio.com/), et programmé informatiquement par Samuel Diakité (Courriel : sdiakite@extrafine.fr).

    Ce site Web est hébergé par la société OVH située, 2 rue Kellermann - 59100 Roubaix (France) Tél : +33(0) 9 72 10 10 07 ou 1007, Site Web : http://ovh.com/fr/support.

    Le présent site s’appuie sur la solution ExtraBackoff et utilise exclusivement des technologies et des scripts open source. Les images et photographies sont la propriété exclusive de l’association La Salle de bains ou des ayants-droits au titre d’auteurs, et ne sont pas libres de droit.

    L’internaute du site Web « lasalledebains.net » reconnaît disposer de la compétence et des moyens nécessaires pour accéder et utiliser ce site. Il reconnaît également avoir vérifié que la configuration informatique utilisée ne contient aucun virus et qu’elle est en parfait état de fonctionnement. Enfin, l’internaute reconnaît également avoir pris connaissance de la présente notice légale et s’engage à la respecter.

    L’accès au site Web ainsi que son utilisation du Site impliquent l’acceptation sans réserve ni restriction de ses présentes conditions d’utilisation.
    Si vous n’acceptez pas ses présentes conditions d’utilisation, nous vous prions de quitter immédiatement ce site.

    En conformité avec les dispositions de la loi du 6 janvier 1978 modifiée relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, le traitement automatisé des données nominatives réalisées à partir du site Web « lasalledebains.net » n’a pas à faire l’objet de déclaration auprès de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) en vertu de la dispense de déclaration n°7 (J.O. n°128 du 3 juin 2006).

    L’internaute est informé que lors de ses visites sur le site, un cookie peut s’installer automatiquement sur son logiciel de navigation. Un cookie est un élément qui ne permet pas d’identifier l’internaute mais sert à enregistrer des informations relatives à la navigation de celui-ci sur le site Web. Le paramétrage de votre logiciel de navigation permet d’informer de la présence de cookies et éventuellement de la refuser selon la procédure décrite à l’adresse suivante : www.cnil.fr.


    Le site Web « lasalledebains.net » utilise le service d’analyse d’audience « Matomo » qui utilise des « cookies » permettant d’analyser la façon dont les internautes d’utilisent le site Web « lasalledebains.net ». Les informations générées par les cookies sont stockées sur le serveur de La Salle de bains et ne sont pas communiquées à des tiers.

    Sur la base du premier paragraphe de l’article 6 du Règlement général sur la protection des données (RGPD), La Salle de bains a un intérêt légitime à analyser le comportement des utilisateurs afin d’optimiser le site Web « lasalledebains.net » et sa publicité.

    Cependant, vous avez la possibilité d’empêcher la collecte et le stockage de vos données au sein de la configuration de votre navigateur Web.


    L’internaute dispose d’un droit d’accès, de modification, de rectification et de suppression des données qui le concernent (article 38 et suivants de la loi « Informatique et Libertés »). Pour l’exercer, l’internaute peut s’adresser à l’association La Salle de bains (voir au début de ce présent document).

    La Salle de bains intègre pleinement les exigences strictes des autorités françaises et européennes en matière de protection des données lors de l’utilisation des différents services cités précédemment.

    Toute reproduction ou représentation totale ou partielle de ce site (textes et images) par quelque procédé que ce soit, sans l’autorisation expresse de La Salle de bains, ou de ses représentants légaux est interdite et constituerait une contre façon sanctionnée par les articles L335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

    Les bases de données figurant sur le site Web sont protégées par les dispositions de la loi du 11 juillet 1998 portant transposition dans le Code de la propriété intellectuelle (CPI) de la directive européenne du 11 mars 1996 relative à la protection juridique des bases de données.
    Sont notamment interdites l’extraction et la réutilisation, quantitativement ou qualitativement substantielles, du contenu des bases de données contenues sur ce site Web. Tout contrevenant s’expose aux sanctions visées aux articles L343-1 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
    Les marques de l’association La Salle de bains et de ses partenaires, ainsi que les logos figurant sur le site sont des marques (semi-figuratives ou non) et sont déposées. Toute reproduction totale ou partielle de ces marques ou de ces logos effectuées à partir des éléments du site, est prohibée, au sens des articles L713-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

    Le site Web de La Salle de bains offre des liens vers d’autres sites Web ou d’autres ressources disponibles sur Internet. La Salle de bains ne dispose d’aucun moyen pour contrôler les sites en connexion avec son site Web. La Salle de bains ne répond pas de la disponibilité de tels sites et sources externes, ni ne la garantit. Elle ne peut être tenue pour responsable de tout dommage, de quelque nature que ce soit, résultant du contenu de ces sites ou sources externes, et notamment des informations, produits ou services qu’ils proposent, ou de tout usage qui peut être fait de ces éléments. Les risques liés à cette utilisation incombent pleinement à l’internaute, qui doit se conformer à leurs conditions d’utilisation.

    Les informations contenues sur ce site sont aussi précises que possibles et le site est périodiquement remis à jour, mais peut toutefois contenir des inexactitudes, des omissions ou des lacunes. Si vous constatez une lacune, erreur ou ce qui parait être un dysfonctionnement, merci de bien vouloir le signaler par email en décrivant le problème de la manière la plus précise possible (page posant problème, action déclenchante, type d’ordinateur et de navigateur utilisé, …). Tout contenu téléchargé se fait aux risques et périls de l’internaute et sous sa seule responsabilité. En conséquence, La Salle de bains ne saurait être tenu responsable d’un quelconque dommage subi par l’ordinateur de l’internaute ou d’une quelconque perte de données consécutives au téléchargement.

    La Salle de bains met en œuvre tous les moyens dont elle dispose, pour assurer une information fiable et une mise à jour fiable de son site Web. Toutefois, des erreurs ou omissions peuvent survenir. L’internaute devra donc s’assurer de l’exactitude des informations auprès de La Salle de bains, et signaler toutes modifications du site qu’il jugerait utile. La Salle de bains n’est en aucun cas responsable de l’utilisation faite de ces informations, et de tout préjudice direct ou indirect pouvant en découler.

    Nous remercions les internautes du site de nous faire part d’éventuelles omissions, erreurs, corrections, en nous contactant le cas échéant.