Passé 1
28 juin à 18h30
Lectures et discussion à "l'heure du yoga" avec 
Vidya Gastaldon autour de son roman Bleu Extase (art&fiction, 2025)

1994, une rave. Une jeune femme se retrouve prise dans une expérience initiatique. Elle se découvre au cœur d’un océan de perceptions.
 
En cours 3
21 juillet — 14 septembre 202521 July — 14 September 2025
studio d'été
Pendant ses vacances, la Salle de bains prête son espace à
Alexandre Caretti qui y installe son atelier

Sortie d'atelier du 11 au 13 septembre
 
En cours 4
2 août — 28 septembre 20252 August — 28 September 2025
Gina Proenza
RÊVE GÉNÉRALE 

à Treignac Projet (Corrèze) - Vernissage le 1er août
 
À venir 5
26 septembre — 22 novembre 202526 September — 22 November 2025
Gina Proenza


Vernissage le 25 septembre à 18h
 
À venir 6
5 décembre 2025 — 28 février 20265 December 2025 — 28 February 2026
Simon Dybbroe Møller
proposé par Benoît Lamy de la Chapelle

1 rue Louis Vitet — Lyon

Mercredi-Samedi, 15h-19h

    06/2012 Nathaniel Mellors Ourhouse episode 3 feat. BAD COPY
    FRENVuesTexteDocuments
    Ourhouse episode 3 feat. BAD COPY - Nathaniel Mellors
    Ourhouse episode 3 feat. BAD COPY - Nathaniel Mellors
    Ourhouse episode 3 feat. BAD COPY - Nathaniel Mellors
    Ourhouse episode 3 feat. BAD COPY - Nathaniel Mellors
    Ourhouse episode 3 feat. BAD COPY - Nathaniel Mellors
    Ourhouse episode 3 feat. BAD COPY - Nathaniel Mellors
    Ourhouse episode 3 feat. BAD COPY - Nathaniel Mellors
    Photos : Aurélie Leplatre / © La Salle de bains
    Photos : Aurélie Leplatre / © La Salle de bains

    Ourhouse episode 3 feat. BAD COPY

    Du 13 juin au 29 septembre 2012From 13 June to 29 September 2012
    Décrivons brièvement le contenu de l’exposition Ourhouse Episode 3 feat. BAD COPY: une vidéo (le troisième épisode de la série Ourhouse, entamée en 2010), un photogramme, une sculpture sur un socle lumineux, et un animatronique (une sculpture dotée d’un programme électronique qui lui permet d’être animée). L’ensemble est installé dans l’espace pour l’occasion totalement transformé de la Salle de bains. Les larges baies vitrées ont été occultées, et les murs recouverts d’un feutre fin qui crée une isolation sonore en même temps qu’il constitue un ensemble sculptural aux allures primitivistes. L’exposition se construit néanmoins autour de la vidéo, projetée symboliquement au centre de l’espace, dans un dispositif d’emblée carnavalesque puisqu’on peut passer derrière l’écran.

    Ainsi les éléments qui sont visibles dans l’espace fonctionnent-ils comme des dérivés de la vidéo, sans en être pour autant des accessoires. La sculpture en résine apparaît en effet dès le premier épisode de Ourhouse. Appartenant au personnage de Truson qui voit naïvement en elle la plus ancienne œuvre d’art jamais découverte, elle est au cœur de l’intrigue, dont elle met d’emblée en question la vraisemblance (elle est par ailleurs librement inspirée de la Vénus de Hohle Fels, découverte en 2008 en Allemagne, et vieille de près de 35 000 ans). L’animatronique prend quant à lui la forme d’un personnage de l’épisode 3, le docteur Tony qui, dans la vidéo, tient dans sa main la marionnette du père Griffin. Cette technique d’autodérivation est essentielle dans le travail de l’artiste. L’oeuvre de Nathaniel Mellors mobilise en effet un fonds culturel très riche, à la fois savant et populaire, et qui s’étend de l’histoire du comique anglais à Pasolini, en passant par la littérature de l’absurde, les sitcoms, le surréalisme, le théâtre, la farce et l’histoire de l’art.

    Pour autant, son travail ressemble à tout sauf à une longue liste de citations. Il existe en effet une tendance générale (et lourde) à la référentialité dans l’art contemporain : de nombreuses œuvres semblent aujourd’hui tirer leur valeur des œuvres qu’elles citent [1]. Mais Mellors est parvenu, au contraire, et à merveille – c’est un fait rare dans le champ de l’art contemporain – à créer un langage et une esthétique propres : son univers singulier, riche et bizarre, ne ressemble à rien d’autre qu’à lui-même. Le format même de la série qu’est Ourhouse respecte d’ailleurs ce principe, puisque cet univers narratif semble s’auto-engendrer au fur et à mesure que l’histoire avance. La question de l’appropriation culturelle est au cœur de son travail, très souvent symbolisée par la métaphore digestive, que l’on songe à Giant Bum, vaste installation plaçant le spectateur à l’intérieur d’un dispositif sonore et visuel reproduisant la forme d’entrailles démesurées (« Altermodern », Tate Modern, 2009), ou encore au personnage de l’Objet qui engloutit et régurgite des livres tout au long de la série Ourhouse. L’idée de cannibalisme est elle aussi présente, avec la même signification culturelle que dans le désormais célèbre Manifeste Anthropophage [2], c’est-à-dire comme le symbole d’une réflexion sur la possibilité de se créer une culture propre à partir d’influences extérieures.

    Que cet univers soit en quelque sorte bouclé sur lui-même nous dit donc au moins deux choses. Il s’agit d’abord d’une manière de questionner les conventions du langage, et leur dimension arbitraire, une question que Mellors revisite depuis le début de sa carrière, oscillant sans cesse entre la gravité et le comique, dans la tradition des auteurs de l’absurde comme Beckett, Bataille et même Flaubert. D’une certaine manière, l’influence de l’Objet sur la famille Maddox-Wilson rappelle même le personnage d’Emma Bovary, tout entier transporté et transformé, pour le meilleur et pour le pire, par ses romanesques lectures. Mais on peut aussi rapprocher cette forme de clôture des signes abondants d’anglicité (un néologisme calqué sur la « sinité », terme inventé par Roland Barthes dans L’Empire des signes, à propos de l’identité culturelle chinoise) qui définissent si bien le travail de Mellors. Cette fermeture renvoie alors à l’imagerie d’une Angleterre géographiquement isolée et historiquement refermée sur elle-même, dont l’artiste nous livre ici une version volontairement caricaturale, exagérée. S’y rejouent avec un plaisir certain ses mythologies les plus éculées, de la country house en pleine déchéance à l’excentricité, de la lutte des classes au célèbre humour anglais.

    Jill Gasparina
    Décrivons brièvement le contenu de l’exposition Ourhouse Episode 3 feat. BAD COPY: une vidéo (le troisième épisode de la série Ourhouse, entamée en 2010), un photogramme, une sculpture sur un socle lumineux, et un animatronique (une sculpture dotée d’un programme électronique qui lui permet d’être animée). L’ensemble est installé dans l’espace pour l’occasion totalement transformé de la Salle de bains. Les larges baies vitrées ont été occultées, et les murs recouverts d’un feutre fin qui crée une isolation sonore en même temps qu’il constitue un ensemble sculptural aux allures primitivistes. L’exposition se construit néanmoins autour de la vidéo, projetée symboliquement au centre de l’espace, dans un dispositif d’emblée carnavalesque puisqu’on peut passer derrière l’écran.

    Ainsi les éléments qui sont visibles dans l’espace fonctionnent-ils comme des dérivés de la vidéo, sans en être pour autant des accessoires. La sculpture en résine apparaît en effet dès le premier épisode de Ourhouse. Appartenant au personnage de Truson qui voit naïvement en elle la plus ancienne œuvre d’art jamais découverte, elle est au cœur de l’intrigue, dont elle met d’emblée en question la vraisemblance (elle est par ailleurs librement inspirée de la Vénus de Hohle Fels, découverte en 2008 en Allemagne, et vieille de près de 35 000 ans). L’animatronique prend quant à lui la forme d’un personnage de l’épisode 3, le docteur Tony qui, dans la vidéo, tient dans sa main la marionnette du père Griffin. Cette technique d’autodérivation est essentielle dans le travail de l’artiste. L’oeuvre de Nathaniel Mellors mobilise en effet un fonds culturel très riche, à la fois savant et populaire, et qui s’étend de l’histoire du comique anglais à Pasolini, en passant par la littérature de l’absurde, les sitcoms, le surréalisme, le théâtre, la farce et l’histoire de l’art.

    Pour autant, son travail ressemble à tout sauf à une longue liste de citations. Il existe en effet une tendance générale (et lourde) à la référentialité dans l’art contemporain : de nombreuses œuvres semblent aujourd’hui tirer leur valeur des œuvres qu’elles citent [1]. Mais Mellors est parvenu, au contraire, et à merveille – c’est un fait rare dans le champ de l’art contemporain – à créer un langage et une esthétique propres : son univers singulier, riche et bizarre, ne ressemble à rien d’autre qu’à lui-même. Le format même de la série qu’est Ourhouse respecte d’ailleurs ce principe, puisque cet univers narratif semble s’auto-engendrer au fur et à mesure que l’histoire avance. La question de l’appropriation culturelle est au cœur de son travail, très souvent symbolisée par la métaphore digestive, que l’on songe à Giant Bum, vaste installation plaçant le spectateur à l’intérieur d’un dispositif sonore et visuel reproduisant la forme d’entrailles démesurées (« Altermodern », Tate Modern, 2009), ou encore au personnage de l’Objet qui engloutit et régurgite des livres tout au long de la série Ourhouse. L’idée de cannibalisme est elle aussi présente, avec la même signification culturelle que dans le désormais célèbre Manifeste Anthropophage [2], c’est-à-dire comme le symbole d’une réflexion sur la possibilité de se créer une culture propre à partir d’influences extérieures.

    Que cet univers soit en quelque sorte bouclé sur lui-même nous dit donc au moins deux choses. Il s’agit d’abord d’une manière de questionner les conventions du langage, et leur dimension arbitraire, une question que Mellors revisite depuis le début de sa carrière, oscillant sans cesse entre la gravité et le comique, dans la tradition des auteurs de l’absurde comme Beckett, Bataille et même Flaubert. D’une certaine manière, l’influence de l’Objet sur la famille Maddox-Wilson rappelle même le personnage d’Emma Bovary, tout entier transporté et transformé, pour le meilleur et pour le pire, par ses romanesques lectures. Mais on peut aussi rapprocher cette forme de clôture des signes abondants d’anglicité (un néologisme calqué sur la « sinité », terme inventé par Roland Barthes dans L’Empire des signes, à propos de l’identité culturelle chinoise) qui définissent si bien le travail de Mellors. Cette fermeture renvoie alors à l’imagerie d’une Angleterre géographiquement isolée et historiquement refermée sur elle-même, dont l’artiste nous livre ici une version volontairement caricaturale, exagérée. S’y rejouent avec un plaisir certain ses mythologies les plus éculées, de la country house en pleine déchéance à l’excentricité, de la lutte des classes au célèbre humour anglais.

    Jill Gasparina
    [1]. Voir Melanie Gilligan, « Derivative Days, Notes on Art, Finance and the Unproductive forces », Texte zur Kunst, n°69, 2008.
    [2]. Ce manifeste publié en 1928 par Oswald de Andrade, artiste et auteur brésilien, a une importance historique pour la constitution de la culture brésilienne comme culture nationale, et indépendante des influences impérialistes.
    [1]. Voir Melanie Gilligan, « Derivative Days, Notes on Art, Finance and the Unproductive forces », Texte zur Kunst, n°69, 2008.
    [2]. Ce manifeste publié en 1928 par Oswald de Andrade, artiste et auteur brésilien, a une importance historique pour la constitution de la culture brésilienne comme culture nationale, et indépendante des influences impérialistes.
    Ourhouse episode 3 feat. BAD COPY_carton d'invitation
    Ourhouse episode 3 feat. BAD COPY, 2012
    carton d'invitation
    Nathaniel Mellors, né en 1974 (Angleterre).
    Vit et travaille à Amsterdam (Pays Bas).
    Représenté par Matt's Gallery (Londres), Monitor (Rome), Diana Stigter (Amsterdam).
    Nathaniel Mellors, né en 1974 (Angleterre).
    Vit et travaille à Amsterdam (Pays Bas).
    Représenté par Matt's Gallery (Londres), Monitor (Rome), Diana Stigter (Amsterdam).
    La Salle de bains reçoit le soutien du Ministère de la Culture DRAC Auvergne-Rhône-Alpes,
    de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et de la Ville de Lyon.

    Cette exposition a reçu le soutien de Fluxus, fonds franco-britannique pour l’art contemporain, Institut Français, Nomad, Matt’s Gallery, Mondriaan fund, Smart Project Space, Nederlands Film Fonds, Eastside Projects.

    La traduction et le sous-titrage en français des épisodes 1, 2 & 4 de Ourhouse ont été rendus possible grâce au soutien de l'Ambassade du Royaume des Pays-Bas.
    Mellors 2
    Mellors-SDB-8
    Mellors-SDB-4
    Mellors-SDB-3
    Mellors-SDB-5
    Mellors-SDB-6
    Mellors 5

    La Salle de bains

    1 rue Louis Vitet,

    69001 Lyon, France

    Ouverture

    du mercredi au samedi

    de 15h à 19h

    La Salle de Bains reçoit le soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, de la Ville de Lyon et du Ministère de la Culture - DRAC Auvergne-Rhône-Alpes.

    Elle est membre des réseaux AC//RA et ADELE.

    La Salle de bains est une association loi 1901 fondée par Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot en 1998 à Lyon.

    Les activités de La Salle de bains reposent sur la production d’œuvres, d’expositions, d’éditions d’artistes contemporains nationaux et internationaux de générations différentes, et d’événements liés de manière transversale à la programmation annuelle du lieu.

    La Salle de bains assure l’accès et l’accompagnement de cette programmation auprès de divers types de publics issus de son territoire d’implantation.

    Elle travaille au développement de réseaux et à la conception de projets.

    En 2008, la structure a déménagé du 56 de la rue Saint-Jean, située dans le centre historique de Lyon (5e arrondissement), au 27 de la rue Burdeau (1er arrondissement) sur les pentes de la Croix-Rousse.
    En 2016, La Salle de bains se déplace au 1 rue Louis Vitet dans le 1er arrondissement de Lyon. L’espace se propose comme un lieu de convergence et de redéploiement d’une activité élargie hors du cadre de l’exposition.


    La direction artistique a successivement été confiée aux personnes suivantes :

    • 2025 : Julie Portier
    • 2024 : Pierre-Olivier Arnaud, Nadine Droste, Julie Portier
    • 2017 – 2023 : Pierre-Olivier Arnaud et Julie Portier
    • 2016 – 2017 : Armando Andrade Tudela, Elsa Audouin, Pierre-Olivier Arnaud, Magalie Meunier, Julie Portier
    • 2013 – 2016 : Caroline Soyez-Petithomme
    • 2009 – 2013 : Caroline Soyez-Petithomme et Jill Gasparina
    • 2004 – 2008 : Olivier Vadrot et Vincent Pécoil
    • 2002 – 2003 : Lionel Mazelaygue et Olivier Vadrot
    • 1999 – 2001 : Olivier Vadrot, Gwenaël Morin, Lionel Mazelaygue

    Crédits — Mentions légales

    Crédits

    Le site web a été conçu et réalisé en 2022 par l’atelier Diakité x Comerro.
    Design graphique : Lucie Comerro
    Programmation informatique : Samuel Diakité
    Interface : CMS Extra Backoff (Système de Gestion de Contenu initié en 2011 par Samuel Diakité)
    Font : Brut Grotesque, Bureau Brut

    La refonte du site web et son identité s’inscrivent dans le prolongement de la précédente version réalisée en 2016 par Elsa Audouin et l’équipe de La Salle de bains.

    Mentions légales

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    La directrice de la publication du site Web est Madame Agathe Chevallier en qualité de coordinatrice.

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