Photos : Jesús Alberto Benítez et la Salle de bains.
Photos : Jesús Alberto Benítez and la Salle de bains.
Next One Is Real
À Lyon, l’exposition est répartie entre monopôle et la Salle de bains, en «deux-salles-deux-ambiances», comme il se disait des boîtes de nuit au XXe siècle, ou comme deux pièces d’une même architecture reliées par les pentes de la Croix-Rousse au lieu d’un escalier. Car la Salle de bains et l’espace d’exposition de monopôle c’est un peu la même histoire à deux époques différentes : des lieux montés à l’origine par des artistes pour faire vivre la scène de l’art, pour faire se rencontrer les artistes, pour qu’il advienne quelque chose « next » dans la ville.
Même si l’artiste aime bien confier les clés du coffre et laisser ses hôtes libres d’agencer les œuvres à leur façon, notons que l’idée de permuter les images que l’on peut se faire des deux espaces d’art vient de lui : d’où cet esprit décontracté à la Salle de bains où il est possible de se poser dans les canapés et écouter des disques si l’on ne souhaite pas faire l’effort de regarder les tableaux. À cela s’ajoute, comme s’il en fallait encore plus (more is more), la proposition à quiconque le souhaite de faire entendre un texte ou un son chaque jeudi soir le temps de l’exposition.
Le soir du vernissage, c’est le texte d’Agathe Chevallier qui sera entendu, au cours d’une performance pendant laquelle elle servira ce cocktail bleu-mauve, couleur de mélancolie, contenu dans la sculpture de Benjamin Husson. Cette dernière s’inscrit dans une série d’œuvres prestataires (de boisson, de textes) issue d’une recherche sur la figure de la pleureuse, envisageant comment elle pourrait nous aider à communier autour des chagrins que nous causent les crises du monde actuel.
L’art de Corentin Canesson, truffé de citations à l’art moderne, dans une auto-célébration en même temps qu’une auto-dérision de son médium, conjurant la fin du grand récit de la peinture par une hyper productivité quasi maniaque, semble se tenir loin de ces réalités. À l’inverse, on pourrait se dire qu’il y répond en conscience, par une surenchère d’art, de joie, d’amitiés, de musique, une manière de garder le cap. C’est une interprétation possible du titre, qui comme la plupart des peintures de textes, est la reprise d’un titre de chanson. Dans le clip du groupe de post-punk Minimal Compact (c’est drôle pour un artiste qui est plutôt dans le maximal éparpillé), le chanteur Berry Sakharof tient une pancarte dans la rue, revendiquant « Next one is real ».
In Lyon, the show is divided between monopôle and La Salle de bains and into “two-rooms-two-moods,” as they used to say in nightclubs back in the 20th century, or like two rooms with the same architecture connected by the slopes of La Croix-Rousse Hill instead of a stairway. Because La Salle de bains and the monopôle exhibition space have a bit of the same story at two different periods, i.e., venues originally mounted by artists to keep the art scene fresh and get artists to meet so that the next thing to come about comes about.
Even if the artist certainly likes to hand over the keys to the safe and leave his guests free to arrange their artworks as they see fit, we should note that the idea of swapping the images of the two art venues that visitors might have was his. Hence the current laid-back vibe at La Salle de bains, where you can settle into a sofa and listen to records if you don’t want to go to the trouble of viewing the paintings. And along with that, as if anything else was needed (let’s not forget, more really is more), for anyone who wants to, there’s the possibility of getting a text or sound heard in the venue every Thursday evening during the run of the show.
For the opening evening, a text by Agathe Chevallier will be heard at a performance during which she will serve the purplish blue cocktail, the color of melancholy, that is contained in the piece of sculpture by Benjamin Husson. That sculpture is one of a series of “service” artworks (serving the public drinks, texts, etc.) that come from an examination of the figure of the weeping woman, imaging how she could help us to come together around the sorrows caused by the crises of the world today.
Canesson’s work is filled with references to modern art in a self-celebration and self-derision of his medium, warding off the great narrative of painting through a super, almost manic productivity. Yet it seems to steer clear of those realities. On the other hand, you could say that he is reacting to that in all conscience through an exaggeration of art, joy, friendships, music, a way of staying on track. That is one possible interpretation of the title, which, like most textual paintings, is a cover of a song title. In a clip featuring the postpunk group Minimal Compact (odd for an artist who is more maximal all-over-the-place), the singer Berry Sakharof is holding a sign in the street, claiming “Next one is real.”
Translation : John O'Toole
Liste des œuvres :
List of works :
Jolijn Baeckelandt, FICTION // NON-FICTION, 2023,
acrylique et impression sur papier, 29,7 × 21 cm
Jolijn Baeckelandt, FICTION // NON-FICTION, 2023,
acrylique et impression sur papier, 29,7 × 21 cm
Jolijn Baeckelandt, FICTION // NON-FICTION, 2023,
acrylique et impression sur papier, 29,7 × 21 cm
Hélène Baril, Fioretti 18, 2022,
gouache sur papier, 25,5 × 35 cm (encadrée)
Hélène Baril, Fioretti 15, 2022,
gouache sur papier, 25,5 × 35 cm (encadrée)
Maya Bellemin & Paolo Viscogliosi, affiche pour une soirée en soutien à Lyl Radio à Ground Zero, 2023,
sérigraphie sur papier, 35x55 cm.
Maya Bellemin & Paolo Viscogliosi,
En éclats, grosse chaussette, 2023,
sérigraphie sur papier, 26 x 41 cm.
Maya Bellemin, affiche pour France Sauvage et Or Or au Périscope, 2023, sérigraphie sur papier, A3
Martin Bonnaz, sans titre, 2023,
acrylique sur toile, 100 × 100 cm
Corentin Canesson, Sleep Spaces, 2021,
acrylique sur toile, 200 × 140 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2019,
acrylique et huile sur toile, 150 × 140 cm
Corentin Canesson,
A Costume You Wear to Feel Naked, 2021,
acrylique sur toile, 200 × 140 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2021,
acrylique sur toile, 200 × 140 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2017,
acrylique sur toile, 100 × 100 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2021,
acrylique sur toile, 200 × 140 cm
Corentin Canesson,
Dance Me to The End of Love, 2021,
acrylique sur toile, 200 × 140 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2023,
acrylique et huile sur toile, 24 × 30 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2020,
acrylique et huile sur toile, 33 × 24 cm
Corentin Canesson, A Hotel Room, 2021,
acrylique sur toile, 200 × 140 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2020,
acrylique et huile sur toile, 33 × 24 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2023,
acrylique et huile sur toile, 80 × 70 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2020,
acrylique sur toile, 100 × 80 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2020,
acrylique et huile sur toile, 80 × 40 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2019,
acrylique sur toile, 80x 120 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2020,
acrylique et huile sur toile, 80 × 40 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2023,
acrylique et huile sur toile, 80 × 150 cm
Delphine Coindet, Du caviar pour Allen, 2021
sérigraphie et collage sur papier, 38 x 58 cm
Céline Cuvelier,
My skin is a wall. Prison Tatoo. Jessy, 2022,
peinture à la fresque sur enduit à la chaux,
15 × 21 × 3 cm
Jacques Duboux, Dynamie 9, 2016-2017,
acier, 119,7 × 59 × 8 cm
Corentin Canesson avec Hilary Galbreaith,
sans titre, 2022,
acrylique et impression sur papier, 42 × 59,4 cm
Mar García Albert, Bouquet painting n.8, 2021
peinture à l’huile sur toile, emballage en plastique
Mar García Albert, Study for “Tork” painting, 2021
peinture à l’huile sur toile, emballage en plastique
Mar García Albert, Study for toilet paper, 2022
peinture à l’huile sur toile, emballage en plastique
Mar García Albert, After Daan van Golden, 2023
peinture à l’ huile sur toile, packaging en plastique
Mar García Albert, Dustpan Painting n°7 (Flush), 2021
peinture à l’ huile sur toile, emballage en plastique,
pelle bleu en PVC
Camille Girard et Paul Brunet,
Le Sous-bois – face a et Face b, 2022,
techniques mixtes sur papier, 40 × 50cm (x2)
Manon Harrois, Dedicated, 2023
germoir, latex et graines de pastèque, 15x15 cm
Benjamin Husson,
fountain / directed ambiguous politeness, 2023,
acier, verre, cocktail, 75 × 95 × 175 cm
texte : Agathe Chevallier, Chef·fes de bataille, 2024
performé pendant l’exposition
Benjamin Husson, water dolorosa, 2023,
sérigraphie sur polypropylène
Hélène Janicot, sans titre, 2021,
encre de chine sur papier, 29,7 × 21 cm
François Kohler, Vitrine I et Vitrine II, 2023
Risographie deux passages à partir d'une photographie originale de Dominique Hoeltschi,
Lessebo Natural 240 g., 29,7 × 21 cm,
Boris Kurdi, sans titre, 02102020, 2024
graphite et crayons de couleur sur papier,
14.7 × 20,8cm
Damien Le Dévédec avec Corentin Canesson,
sans titre, 2023,
acrylique et huile sur toile, 130 × 120 cm
Damien Le Dévédec avec Corentin Canesson,
Crapoto Basta, 2021,
acrylique sur toile, 200 × 140 cm
Damien Le Dévédec, sans titre, 2017,
silicone, 30 × 40 × 30 cm
Marguerin Le Louvier,
Comment devrions-nous vivre ? - 1, 2023
texte illustré par Camila Viala, 11 × 18 cm
Les éditions Douteuses
Marguerin Le Louvier, sans titre, juin 2024
texte et illustrations, 28,5 × 19,5 cm
maël·le LHG, (ouvre un squatt) 2022,
stickers, 20 versions différentes
impression couleur sur papier autocollant, 21 x 4.5 cm.
maël·le LHG, ôde au solo sexe, 2022
fanzine auto-édité, 10 exemplaires
maël·le LHG, Pédæ rose, 2024
fanzine auto-édité, 5 exemplaires
maël·le LHG, Zine 2 heures 8/11/2023, 2023
fanzine auto-édité, 5 exemplaires
maël·le LHG, Zine 2 heures 14/11/2023, 2023
fanzine auto-édité, 5 exemplaires
Jean-François Maurige, sans titre, 2021,
acrylique et glycéro sur toile, 30 × 30 cm
Sordna Rémy Neves, sans titre, 2023
acrylique sur toile et collage
Sordna Rémy Neves,
Queer de Maison, v1, 2023
fanzine auto-édité
Camila Oliveira Fairclough, Some, 2013,
acrylique sur écharpe, 30 × 30 cm
Michael Schäfer, Müde, 2011,
photographie, 116 × 89 cm (encadrée)
Michael Schäfer, sans titre, 2011,
photographie, 13 × 18 cm (encadrée)
Ugo Sebastiao, La bascule, 2023
peinture à l’huile sur panneau de contreplaqué, 40 × 30 × 3.5 cm
Matthias Sohr et collaborateur·rices,
revue de bureaucracy studies n°1, 2022,
16 pages offset
Nino Svireli / Fondation d’Ur, Ur Portrait,
eau-forte, 9 × 7 cm
Aymeric Tarrade, new horizon, 2017,
acrylique sur toile, 54 × 40 cm
Sarah Tritz, Jeanne-Sara (Mood1), 2022,
boîte en bois et techniques mixtes,
10 × 30 × 20 cm
Sarah Tritz, Jeanne-Sara (Mood2), 2022,
boîte en bois et techniques mixtes,
10 × 30 × 20 cm
Paolo Viscogliosi, And see if they sticks, 2024,
techniques mixtes, laine, carton bois et papier,
45 × 60 cm.
Jolijn Baeckelandt, FICTION // NON-FICTION, 2023,
acrylic on paper, 29,7 × 21 cm
Jolijn Baeckelandt, FICTION // NON-FICTION, 2023,
acrylic on paper, 29,7 × 21 cm
Jolijn Baeckelandt, FICTION // NON-FICTION, 2023,
acrylic on paper, 29,7 × 21 cm
Hélène Baril, Fioretti 18, 2022,
gouache on paper, 25,5 × 35 cm (framed)
Hélène Baril, Fioretti 15, 2022,
gouache on paper, 25,5 × 35 cm (framed)
Maya Bellemin & Paolo Viscogliosi, poster for live show supporting Lyl Radioin Ground Zero, 2023,
silkscreen on paper, 35x55 cm.
Maya Bellemin & Paolo Viscogliosi,
En éclats, grosse chaussette, 2023,
silkscreen on paper, 26 x 41 cm.
Maya Bellemin, affiche pour France Sauvage et Or Or au Périscope, 2023, silkscreen on paper, 42 × 29 cm
Martin Bonnaz, sans titre, 2023,
acrylic on canvas, 100 × 100 cm
Corentin Canesson, Sleep Spaces, 2021,
acrylic on canvas, 200 × 140 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2019,
acrylic on canvas, 150 × 140 cm
Corentin Canesson,
A Costume You Wear to Feel Naked, 2021,
acrylic on canvas, 200 × 140 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2021,
acrylic on canvas, 200 × 140 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2017,
acrylic on canvas, 100 × 100 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2021,
acrylic on canvas, 200 × 140 cm
Corentin Canesson,
Dance Me to The End of Love, 2021,
acrylic on canvas, 200 × 140 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2023,
acrylic and oil on canvas, 24 × 30 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2020,
acrylic and oil on canvas, 33 × 24 cm
Corentin Canesson, A Hotel Room, 2021,
acrylic on canvas, 200 × 140 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2020,
acrylic and oil on canvas, 33 × 24 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2023,
acrylic and oil on canvas, 80 × 70 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2020,
acrylic on canvas, 100 × 80 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2020,
acrylic and oil on canvas, 80 × 40 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2019,
acrylic on canvas, 80x 120 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2020,
acrylic and oil on canvas, 80 × 40 cm
Corentin Canesson, sans titre, 2023,
acrylic and oil on canvas, 80 × 150 cm
Delphine Coindet, Du caviar pour Allen, 2021
silkscreen and collage on paper, 38 x 58 cm
Céline Cuvelier,
My skin is a wall. Prison Tatoo. Jessy, 2022,
fresco, 15 × 21 × 3 cm
Jacques Duboux, Dynamie 9, 2016-2017,
steel, 119,7 × 59 × 8 cm
Corentin Canesson avec Hilary Galbreaith,
sans titre, 2022,
acrylic on paper, 42 × 59,4 cm
Mar García Albert, Bouquet painting n.8, 2021
oil on canvas, plastic packaging
Mar García Albert, Study for “Tork” painting, 2021
oil on canvas, plastic packaging
Mar García Albert, Study for toilet paper, 2022
oil on canvas, plastic packaging
Mar García Albert, After Daan van Golden, 2023
oil on canvas, plastic packaging
Mar García Albert, Dustpan Painting n°7 (Flush), 2021
oil on canvas, plastic packaging,
blue PVC shovel
Camille Girard et Paul Brunet,
Le Sous-bois – face a et Face b, 2022,
mixed materials on paper, 40 × 50cm (x2)
Manon Harrois, Dedicated, 2023
germoir, latex and watermelon seeds, 15x15 cm
Benjamin Husson,
fountain / directed ambiguous politeness, 2023,
steel, glass, cocktail, 75 × 95 × 175 cm
text: Agathe Chevallier, Chef·fes de bataille, 2024
performed during the show
Benjamin Husson, water dolorosa, 2023,
silkscreen on polypropylene
Hélène Janicot, sans titre, 2021,
Chinese ink on paper, 29,7 × 21 cm
François Kohler, Vitrine I et Vitrine II, 2023
Risography from an Dominique Hoeltschi photography,
Lessebo Natural 240 g., 29,7 × 21 cm,
Boris Kurdi, sans titre, 02102020, 2024
graphite and coloured pencil on paper,
14.7 × 20,8cm
Damien Le Dévédec avec Corentin Canesson,
sans titre, 2023,
acrylic and oil on canvas, 130 × 120 cm
Damien Le Dévédec avec Corentin Canesson,
Crapoto Basta, 2021,
acrylic on canvas, 200 × 140 cm
Damien Le Dévédec, sans titre, 2017,
silicon, 30 × 40 × 30 cm
Marguerin Le Louvier,
Comment devrions-nous vivre ? - 1, 2023
text, illustration : Camila Viala, 11 × 18 cm
Les éditions Douteuses
Marguerin Le Louvier, sans titre, june 2024
text and illustration, 28,5 × 19,5 cm
maël·le LHG, (ouvre un squatt), 2022,
stickers, 20 different versions
color print on stickers, 21 x 4.5 cm.
maël·le LHG, ôde au solo sexe, 2022
fanzine, 10 exemplaires
maël·le LHG, Pédæ rose, 2024
fanzine, 5 exemplaires
maël·le LHG, Zine 2 heures 8/11/2023, 2023
fanzine, 5 exemplaires
maël·le LHG, Zine 2 heures 14/11/2023, 2023
fanzine, 5 exemplaires
Jean-François Maurige, sans titre, 2021,
acrylic and glycero on canvas, 30 × 30 cm
Sordna Rémy Neves, sans titre, 2023
acrylic and collage on canvas
Sordna Rémy Neves,
Queer de Maison, v1, 2023
fanzine
Camila Oliveira Fairclough, Some, 2013,
acrylic on scarf, 30 × 30 cm
Michael Schäfer, Müde, 2011,
photograph, 116 × 89 cm (framed)
Michael Schäfer, sans titre, 2011,
photograph, 13 × 18 cm (framed)
Ugo Sebastiao, La bascule, 2023
oil painting on plywood panel, 40 × 30 × 3.5 cm
Matthias Sohr et collaborateur·rices,
revue de bureaucracy studies n°1, 2022,
magazine, 16 pages, offset print
Nino Svireli / Fondation d’Ur, Ur Portrait,
etching, 9 × 7 cm
Aymeric Tarrade, new horizon, 2017,
acrylic on canvas, 54 × 40 cm
Sarah Tritz, Jeanne-Sara (Mood1), 2022,
wooden box and mixed media,
10 × 30 × 20 cm
Sarah Tritz, Jeanne-Sara (Mood2), 2022,
wooden box and mixed media,
10 × 30 × 20 cm
Paolo Viscogliosi, And see if they sticks, 2024,
mixed media, wool, card, wood and paper,
45 × 60 cm.
Né en 1988, Corentin Canesson vit et travaille à Troyes et Paris.
Diplômé de l’EESAB-site de Rennes en 2011. Il a participé au 21e Prix de la Fondation d’entreprise Ricard Le Fil d’Alerte et son travail a été présenté à la galerie Nathalie Obadia (2018), au Crédac – Centre d’art contemporain d’Ivry-sur-Seine (2017), à Passerelle Centre d’art contemporain Passerelle de Brest (2015) et plus récemment au Visual Arts Center à Austin, Etats-Unis (2022) et au Centre d'art contemporain CIRCUIT à Lausanne (2023).
Son travail est représenté par la galerie Sator.
Born 1988, Corentin Canesson lives and works in Troyes and Paris.
afetr his graduation from EESAB-site de Rennes en 2011. He participated to the 21st Prix de la Fondation d’entreprise Ricard Le Fil d’Alerte and his work has been shown at the galerie Nathalie Obadia (2018), at the Crédac – Centre d’art contemporain, Ivry-sur-Seine (2017), in Passerelle Centre d’art contemporain Passerelle de Brest (2015) and more recently at the Visual Arts Center, Austin, USA (2022) and at the Centre d'art contemporain CIRCUIT, Lausanne, Switzerland (2023).
Canesson's work is represented by the galerie Sator.
Next One is Real est réalisé en partenariat avec monopôle et Le Sonic, Lyon.
Next One is Real is made in association with monopôle and Le Sonic, Lyon.
de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et de la Ville de Lyon.
monopôle reçoit le soutien de la Ville de Lyon.